SRY

à la place d’un nucléotide à cytosine. L’allèle de cette personne est donc muté par rapport à celui d’une personne normale. 3. La mutation du gène SRY aboutit à une personne de sexe génétique mâle mais présentant un phénotype de femme avec des ovaires. En présence d’un allèle normal de SRY, l’individu aurait été un homme. On en déduit que le gène SRY doit intervenir dans le déterminisme du sexe des mâles. 5. Androgènes anabolisants 1. Chez une personne qui ne fait pas d’exercice physique, des injections

(identiques chez homme et femme) 1 paire de chromosomes sexuels (XX chez la femme, XY chez l’homme) (Y + petit et contenant le gène SRY déterminant le sexe masculin) Le sexe d’un individu est déterminé par les chromosomes du père. Le développement des embryons de sexe masculin et ceux de sexe féminin est identique pendant 7 semaines après la fécondation. Puis si le gène SRY (Sexdetermining Region of the Y chromosome) est présent et fonctionnel dans un ovule fécondé, le fœtus aura des testicules et

Document 3. Un chromosome déterminant… Depuis 1959, on sait que le sexe dépend de la présence ou de l’absence du chromosome Y. En 1990, on a identifié au niveau du bras court du chromosome Y, un gène de masculinité appelé gène SRY (pour Sex-determiting Region of Y). Ce gène code pour un facteur de détermination testiculaire, la protéine TDF (pour Testis Détermiting Factor). La présence de cette protéine entraine la différenciation des gonades en testicules dès la 7ème semaine

Y; le gène SRY (Self Determining region of Y chromosome)   üCe gène code pour une protéine Sry ou TDF, cette protéine se fixe ensuite sur des gènes architectes présents dans les cellules des gonades indifférenciées et induit leur expression, aboutissant finalement à la mise en place des testicules.     üChez les hommes, des la 7ème semaine après la fécondation, les gonades se différencient en testicules en présence de la proteine Sry   üChez la femme, en absence de protéine Sry, les gonades

sur X ou Y. Une femelle ne possédera aucun des gènes propres à Y. - Sur Y, le gène SRY est activé. Il code la protéine TDF. - La protéine TDF uniquement produite chez le mâle agit sur un ensemble de gène du dvpt qui entraine la différenciation des gonades indifférenciées en testicules : acquisition du sexe gonadique mâle. - Chez la femelle en l’absence de la protéine TDF (car absence de Y donc absence du gène SRY) les gonades se différencient en ovaires : acquisition du sexe gonadique femelle.

XX par exemple) amènent à évoquer des transferts d’une partie de chromosome Y sur un chromosome X. Ce phénomène peut être évoqué pour permettre| |l’analyse des documents, mais ne constitue pas un objectif notionnel, tout comme l’existence du gène SRY, qui peut être évoqué, mais ne constitue pas non| |plus un objectif notionnel. | |Cette étude est l’occasion d’entraîner les

Un petit chromosome comme le Y est responsable de la masculinité d’une personne. Si on place un fragment de ce chromosome y sur une personne XX, elle peut être de sexe masculin et être un homme. On a ainsi détermine une zone appelée en anglais SRY responsable de la masculinité d’une personne et on nomme cette zone GENE car elle correspond à une information génétique ou héréditaire : ici être un homme. Ainsi sur ce chromosome Y, on peut repérer plusieurs zones correspondant à une information

phénotype masculin est lié à la présence d’un chromosome Y, alors que le sexe féminin est lié à son absence. •L’existence d’un gène « architecte » de la masculinité Sur le chromosome Y, on a pu mettre en évidence un gène de la masculinité appelé SRY qui gouverne la synthèse de la protéine TDF (Testis Determing Factor), en effet cette protéine est capable de se lier spécifiquement à une région de l’ADN et d’activer une cascade d’expression de plusieurs gènes architectes. Ces gènes architectes sont

testicule. - 8e semaine (chez la fille), différenciation des gonades en ovaire. Les gonades ont une double fonction : -produire les cellules reproductrices (gamètes) - la production d’hormones naturelle. Chez le mâle, l’expression du gène SRY (gène « architecte » placé dans la partie terminale du chromosome Y) entraîne la synthèse d’une protéine, nommée TDF. Cette protéine permet la différenciation de la gonade indifférenciée en testicule. En l’absence du chromosome Y, la gonade se transforme

fécondation, le sexe de l’embryon est déterminé par ses chromosomes sexuels: XX pour les femmes et XY pour les hommes. Lors du développement embryonnaire, la gonade se différencie en testicule ou en ovaire sous l’action de nombreux gènes. Le gène SrY (sur le chromosome Y) est à l’origine de la différenciation de la gonade en testicule. La puberté est la dernière étape de la mise en place d’un appareil sexuel fonctionnel, sous le contrôle d’hormones sexuelles mâle (testostérone) et femelle (œstrogènes)