STMicroelectronics

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possibilités d’emplois du bassin à différents niveaux de qualification. L’enjeu étant de garder les jeunes sur le territoire. UN PÔLE DE MOBILITÉ RÉGIONALE INTERENTREPRISES Territoire : Bassin d’emploi grenoblois - Rhône-Alpes Partenaires : STMicroelectronics, Hewlett-Packard, Cap Gemini et Radiall, DDTEFP, Assédic, ANPE, OPCA. Enjeux et éléments de diagnostic : la création de ce projet repose sur un certain nombre de constats qui ne sont pas propres à la région : - la faible mobilité régionale

l’agroalimentaire, a racheté Perrier, et voudrait surement racheter l’Oréal. LVMH : le premier groupe de luxe mondial. Un des secteurs où nous ne parvenons pas à délocaliser. Michelin est situé à Clermont, grande entreprise du XIXème. STMicroelectronics : spécialisée dans les puces 33/ Le plus ancien des syndicats : la CGT fondée à Limoges en 1895, issue de la seconde raide internationale ouvrière. Eclatement de la CGT après la 1re GM, la CGT change d’orientation idéologique, elle devient

l’équipementier télécoms du Cac 40, où il sera remplacé par Gemalto. Le changement sera effectif à compter de la séance de Bourse du 24 décembre. L’ANALYSE. On l’attendait depuis longtemps. A moins de 2 milliards d’euros, soit deux fois moins que STMicroelectronics, Veolia et Vallourec, la capitalisation boursière de l’équipementier tient la dernière place de l’indice parisien et la 92e du SRD. Clas- siquement, cela a entraîné un recul du titre, vendredi, de plus de 2 %. L’action avait toutefois repris

Dans le secteur automobile, l’implantation de Renault à Tanger va permettre de développer une véritable filière en attirant de nombreux équipementiers. Certains investissements s’assortissent de transferts de technologie (centre de R & D de STMicroelectronics, Alcatel Lucent, Sofrecom, Cetim…) ou de l’apport d’autres formes de savoirs-faires : dans le secteur domaine des services collectifs et grâce à leur taille internationale, les entreprises françaises (Veolia, GDF-SUEZ, Pizzorno) apportent sur

qui animent un tissu industriel local, stimulant un réseau de PME. Cet effort public a rendu possible l’amélioration de la spécialisation industrielle française en créant un pôle mondial dans les nanotechnologies. Ainsi, une entreprise comme STMicroelectronics est passé du quinzième rang (en termes de part de marché) en 1987 au quatrième rang mondial en 2002. Les sites de Crolles et de Rousset attirent maintenant des entreprises étrangères (Motorola et Atmel, notamment, ont décidé d’y implanter des

: 60 % en 2000, 18,8 % en 2006, 32,45 % en 2007 o Renault : 44 % en 2000, 15,01 % en 2007 9 http://fr.wikipedia.org/wiki/Entreprise_publique#France 11 • EADS : 15,04% en 2007 Aéroports de Paris : 70 % en 2006, 68,39 % en 2007 STMicroelectronics : 10,9 % en 2007 ( via Areva) CNP Assurances : 60 % en 2000 , 1,18 % en 2006… Entreprises non cotées : o La Banque postale : 100 % en 2006 (via La Poste) o Charbonnages de France : 100 % en 2006 o La Française des jeux : 72 % en 2007… o o o

renforcé l’inquiétude des travailleurs et a élargi l’audience des responsables politiques qui s’opposent à l’ouverture au commerce international et à la mobilité des capitaux. En effet, de nombreuses firmes multinationales (comme Hoover, Flodor, STMicroelectronics ou encore Daewoo) ont fait le choix ces dernières années de fermer une unité de production en France et, simultanément, d’en ouvrir une autre à l’étranger. Bien sûr, ces délocalisations d’activité ne sont en définitive qu’une forme particulière

valorisation de la recherche et sa dynamisation, a été instauré à l’UM5A durant les quatre dernières années. Il s’agit du concept de parc technologique (ou parc scientifique). En effet, grâce à une convention de partenariat entre l’UM5A et la société STMicroelectronics, l’EMI a hébergé dans ses locaux un centre de design et un centre de R&D en microélectronique appartenant à cette société multinationale. Plus de deux cents ingénieurs marocains travaillent dans ces deux centres qui vont être transférés, dans

Technologies[modifier | modifier le code] Le pays tente également de développer le secteur des nouvelles technologies. Le pôle d’El Ghazala, dans la banlieue de Tunis, accueille déjà quelques poids lourds du secteur (Alcatel, Ericsson ou STMicroelectronics) convaincus de la compétitivité des ingénieurs tunisiens. En effet, à compétence égale, leur salaire est deux fois moins élevé que celui d’un ingénieur français. Les exportations de services de centres d’appel connaissent également un développement