Stage Neuropsychologie

Neuropsychologie cognitive Plan du cours-Qu'est ce que la neuropsychologie cognitive ?-Postulats de base et méthodes.-La mémoire de travail : la mémoire est quasi le sujet incontournable dans un cours de neuropsychologie cognitive dans la mesure où il n'existe pas de trouble neurologique qui n'entraîne pas d'une manière ou d'une autre des problèmes de mémoire (que l'on parle de traumatisme crânien, de commotion cérébrale, de tumeur cérébrale, d'accident vasculaire cérébrale).-La mémoire à long terme

Coordination éditoriale Sandrine Broussouloux, chargée de mission, coordinatrice du programme « Santé des enfants et des jeunes », Inpes L’auteur remercie Pour leur contribution à cet ouvrage : – Patrice Gillet, psychologue spécialisé en neuropsychologie, Centre de Ressources Autisme, Service universitaire d’explorations fonctionnelles et de neurophysiologie en pédopsychiatrie, CHRU Bretonneau-Tours – Frédérique Lefèvre, chargée de mission, Bureau des écoles, Degesco Pour leur relecture attentive

social des personnes. Principaux thèmes d’études : Comment se forme-t-on des impressions sur autrui et sur soi-même ? Comment s’influence-t-on mutuellement ? Comment établit-on des relations les uns avec les autres ?  Psychophysiologie et Neuropsychologie (proche de la biologie, de la médecine)= établir les liens entre les conduites humaines et les structures neuronales et physiologiques. Comment les structures physiologiques de notre corps nous permettent de parler par exemples ? Etude des

discutables. Avec l’imagerie cérébrale on s’est aperçu de beaucoup de zones de lésions provoquaient des troubles. Les progrès technologiques en neurophysiologie du cerveau disent que le langage est partout dans le cerveau. L’arrivée de la neuropsychologie a ramené les problèmes linguistiques à des problèmes plus généraux (cognition, mémoire, informatique, …). La performance pathologique du langage est donc ramenée à un trouble d’une ou plusieurs formes de langage : une aphasie n’est plus un symptôme

donc mis en avant les disfonctionnements dans l’adaptabilité du patient schizophrène à des situations qui demandent un effort d’attention et d’organisation. Cela touche donc la perception et la relation avec la réalité. 2) Les recherches en neuropsychologie Les recherches neuropsychologiques ont relevé plusieurs anomalies anatomiques comme « une réduction du volume de matière grise dans les régions gauches de l’hippocampes et de l’amygdale, du gyrus et parahippocampique gauche et du gyrus temporale

l’animal, les structures et mécanismes nerveux responsables du fonctionnement psychologique. On parle de psychobiologie lorsque l’on étudie les mécanismes fins, cellulaires et de psychophysiologie lorsqu’on étudie les organes. La neuropsychologie La neuropsychologie est le lien de cause à effet entre un trouble organique et un trouble psychologique. Ce secteur a été enrichi avec le développement des techniques d’imagerie médicale. On citera uniquement l’amnésie de Korsakoff (incapable d’enregistrer

Apparait au milieu du 19ème siècle. Psychologues importants : Fechner, Wunt, Galton, Pavlov, Vygotski, James et Lange, Watson, Ribot, Alfred Binet. Il existe plusieurs psychologies : psychologie du développement, psychologie cognitive, neuropsychologie, psychologie clinique. Psychologie clinique : Le fondateur de cette psychologie est Daniel Lagache. Anzieu en 1983 la définit comme « une psychologie individuelle et sociale, normale et pathologique, qui concerne le nouveau-né, l’enfant

Psychologie sociale et Psychologie du travail Médecine / Psychiatrie Neurosciences / Neuropsychologie Importance de l'ergonomie, des nouvelles technologies et de l'informatique. Application des outils en fonction de leur capacité. Évolution scientifique = Nouveaux moyens et nouvelles connaissances. Ces approches se basent sur le modèle

 Résumé de l'émission sur le traumatisme crânien France inter s'est interessé au handicap invisible qu'est le traumatisme cranien et aux difficultés rencontrées par les personnes qui en souffrent. Trois personnalités ont donc été invités : François Cortal, journaliste à France Bleu victine d'un traumatisme crânien en 2005, Olivier Serfati, médecin et président de l'association Handicap invisible et Céline Sellier, neurospychologue et expert judiciaire. Le présentateur parle de maladie sournoise

Relations entre symptômes négatifs et déficits cognitifs Traditionnellement, une altération cognitive était associée principalement aux personnes âgées souffrant de schizophrénie. Cependant, il est devenu aujourd’hui évident que les déficits cognitifs, observés dans des domaines variés comme la mémoire épisodique, les fonctions exécutive, la vigilance, la vitesse motrice et la fluence verbale, font partie intégrante du cours de la maladie et qu’ils précèdent même celle-ci (O’Carroll, 2000)