Stan Smith

écoles ; - les physiocrates (XVIIIème, Quesnay, Turgot) : "laisser faire les hommes, laisser passer les marchandises" (Vincent de Gournay), l'intervention se limite au maintien de l'ordre naturel ; - les classiques (XIXème) : "la main invisible" (Adam Smith), l'Etat Gendarme limite son intervention aux fonctions régaliennes (défense nationale, police, justice, administration, affaires étrangères) ; - l'école des choix publics (XXème) : l'Etat est l'expression d'intérêts particuliers, les maux publics

Capitalism Gets Ugly Summary In his article “Capitalism Gets Ugly”, Robert Bridge gives his estimation of the modern capitalism, and analyses the consequences of this crisis. The author bases his conclusions on statistical data and facts demonstrating the realities of capitalism. According to R. Bridge, first of all, modern capitalism is a system which differs from those described by Karl Marks in his works. It has been transformed, and today’s situation in economics,

naturel du marché Les classiques pensent que l’addition des intérêts individuels conduit la société vers le bien-être et le progrès et que la « main invisible » du marché, loi naturelle de l’économie, harmonise les intérêts particuliers. Adam Smith est le précurseur de tous les classiques et libéraux en économie. C) Non-interventionnisme de l’état La confiance vis-à-vis du marché conduit les classiques à demander que l’Etat intervienne le moins possible dans l’économie. Pour eux l’Etat

du commerce avec pour corolaire la liberté de la concurrence est vue par nos sociétés occidentales comme le moyen d’assurer la croissance et la prospérité. Ainsi on renvoie aux théories « économiques de la liberté du marché qui s’autorégulent (Adam Smith : Main invisible, Ricardo : Théorie de la spécialisation). Le postulat est qu’en se concurrençant, les entreprises devraient fournir le meilleur produit au meilleur prix. En effet, la libre concurrence va être favorable au consommateur puisqu’elle

Dissertation Sciences économiques et sociales Les limites du marché [L’extension de la logique marchande à l’ensemble de l’économie est-elle souhaitable ?] Intro I- Lemarché est favorable pour l’économie. 1) Le marché a plusieurs côtés positifs. 2) Les prix de ces biens et services sont autorégulés. 3) L’Etat est un acteur essentiel dansle marché. II- Le marché comporte aussi des failles. 1) Les prix sont erronés 2) Le problème des taux de change 3) Le problème des cartels

industriel et scientifique ont contribué au progrès économique; 1 ère révolution industrielle 1780 : coton, charbon, machine a vapeur, 2ème révolution industrielle 1850 : sidérurgie, électricité, chimie, transport ferroviaire 1776 : ADAM SMITH -> Division du travail Libéralisme économique (But : diviser les tâches pour ainsi baisser le salaire) 1991 De Charles Babbage à F. TAYLOR : Recherche de productivité OST; OST : organisation scientifique du travail H

D’une manière globale, au cours des deux derniers siècles la croissance mondiale a connu plusieurs phases, mais a nettement progressée dans l’absolu. II. De nombreux économistes se sont interrogés sur les déterminants de la croissance. Adam Smith, célèbre économiste du XVIIIeme siècle, pensait que la croissance était le résultat de la productivité, nettement accrue par la division du travail. Cette analyse propre au courant libéral classique a été révisée depuis. En effet, Simon Kuznets puis

dépenses de l’Etat et de financer les guerres • L’Etat exerçait un contrôle sévère du commerce extérieur en limitant la concurrence des autres pays en favorisant l’exportation Classique Le libre échange est considéré comme un jeu positif. Pour Adam Smith : Il justifie l’échange par la loi de l’avantage absolu. - La spécialisation de l’économie dans les activités (les ressources) qu’elle possède. - Autrement dit chaque pays doit concentrer toutes ses ressources à produire le bien pour lequel il a

commerciale par le commerce extérieur au moyen de l'interventionnisme étatique. Outils d'analyse: le commerce extérieur, balance commerciale. Les classiques ou la doctrine libérale La doctrine est libérale ou le laissez-faire, laissez-passer. Adam Smith (la richesse des nations, 1776) Méthode et moyen : Il n'appartient pas au gouvernement de favoriser une activité plutôt qu'une autre. Le choix individuel optimal (meilleur) induit le choix le plus avantageux pour la société. Instruments d'analyse

mercantiliste. Antoine de Montchrestien invente ainsi le terme économie politique pour qualifier son approche scientifique. Au 18e siècle, la pensée économique s’affirme comme discipline indépendante dotée d’institutions autonomes formalisées par Adam Smith, le paradigme libéral ou classique contribue à la détacher définitivement de l’analyse politique. Au 19e siècle, la révolution financière et la révolution industrielle contribuent à une remise en cause partielle du paradigme classique. Des théories