Stanley Cup

ANALYSE D’UNE EXPERIENCE DE PSYCHOLOGIE Auteur de l’expérience : Stanley Milgram Nature de l’expérience : Année de réalisation de l’expérience : 1960 Documentation : Ouvrage(s) : Site(s) internet : http://www.philo5.com/Mes%20lectures/MilgramStanley_SoumissionAL%27Autorite_061009.htm http://www.evene.fr/celebre/biographie/stanley-milgram-14851.php Présentation de l’expérience : Dans cette expérience, Milgram met en place un expérimentateur, un élève et le sujet. L’expérimentateur

est probant de voir à quel point la téléréalité est devenu un sujet de controverse. Afin de mieux saisir l’enjeu du sujet, il serait intéressant de comprendre en premier lieu les objectifs de cette transposition de l’expérience du psychosociologue Stanley Milgram à notre époque. Il sera par la suite nécessaire d’analyser et de traduire les résultats obtenus par Christophe Nick et par son équipe d’experts dans son documentaire. Enfin, il faudra mettre en avant les limites de la démarche afin de pouvoir

Michael qui vient de perdre, sur la plage de Filey, son jouet favori, un petit chien en plomb. Il propose le texte à son éditeur, Allen & Unwin, en 1936, qui avait alors accepté avec enthousiasme Bilbo le Hobbit ; mais le succès de ce dernier incite Stanley Unwin à en réclamer une suite, et Roverandom ne fut probablement jamais sérieusement envisagé pour la publication, de même que les autres textes proposés par Tolkien à la même époque, Mr. Bliss et Le Fermier Gilles de Ham. Roverandom est finalement

considérer les conséquences de son action. Conclusion : Les gens agissent plus facilement quand ils reçoivent l’ordre d’une autorité car ils prennent come prétexte d’avoir exécuté les ordres. Ils font du mal une banalité. 3ième expérience : Stanley Milgram : la soumission à l’autorité (1960) Objectif : Démontrer la soumission à l’autorité. Dans l’expérience, il y a un élève complice et un enseignant qui ignore tout. L’élève est questionné et à chaque fautes, l’enseignant doit envoyer

informations qualitativement différentes mais cependant toutes au service de la narration et/ou du propos artistique, formel, plastique, tant du point de vue de l’image que de celui –paradoxalement- du son. La caméra portée (la Steadicam) : Shining de Stanley Kubrick, images de Garret Brown, est le film prototype de la réalisation avec le procédé Steadicam, il s’agissait alors de suivre un enfant emporté dans une course dans les couloirs d’un très grand hôtel. Ce procédé permet de maintenir une certaine

artiste, la représentation de la guerre : ne court-il pas toujours le risque d’esthétiser ou de magnifier la violence et la mort ? THEME : LA GUERRE DE 14-18 SITOGRAPHIE / BIBLIOGRAPHIE - Sur You Tube : extrait de Les sentiers de la gloire, de Stanley KUBRICK : «L’assaut». - Site officiel de Gus Bofa : http://gusbofa.com/ 1/ LIVRES DE JEUNESSE : - L’Or et la boue, de Christophe Lambert, Nathan. Deux amis, dans les tranchées, vont essayer de récupérer le butin d’un truand, dans les lignes ennemies

la fin de sa vie. D'autres comédiens sont connus pour avoir sombré dans la dépression, comme Shelley Duvall par exemple lors du tournage de Shining, qui ne pouvait plus supporter de jouer son rôle en compagnie de Jack Nicholson et du réalisateur Stanley Kubrick, car la pression qu’elle subissait sur le tournage du film était devenue trop forte pour elle. Après une courte pause, elle réussit néanmoins à reprendre le rôle qu’elle devait jouer et fit, par la même occasion, une prestation surprenante

son époux le Comte, infirme et alcoolique. Après réflexion Redmond Barry se rend compte que désormais l’amour est la seule absence dans sa vie épanouie depuis sa rencontre avec le Chevalier Irlandais. 3. Quel est le rôle de la voix-off ? Stanley Kubrick utilise pour ce film une particularité sonore qui est la voix-off. Cette voix-off représente un discours externe qui commente le cours de l’histoire, le contexte, l’évolution de Barry et l’évènement à suivre. C’est comme une voix narratrice

Los Angeles. Il remporte à deux reprises le trophée James Norris, trophée remis chaque année au meilleur défenseur de la LNH, et une fois le trophée Conn Smythe du meilleur joueur des séries éliminatoires. Il remporte avec les Canadiens six Coupes Stanley. Un des défenseurs les plus dominants de sa génération, il fait partie d’une des meilleures brigades défensives de l’histoire de la LNH : en compagnie de Serge Savard et Guy Lapointe, ils forment le Big Three. À la fin de sa carrière, il occupe le

montages temps et espace. La position du visage détermine le cadrage. C’est a dire, les arrêts sur image qui sont souvent en gros plans, deviennent une émotion rare. L'image est fixée de la même manière qu'un portrait. On peut parler de BARRY LYNDON de Stanley Kubrick, un film qui a décliné la peinture au cinéma. Certains disent que ce n’est qu’une imitation, mais tous les artistes récitent. Comme Degas, le cinéma moderne utilise le hors champ on peut le constater avec l’effet sonore qui est de plus en