Stanley Kubrick

Marc Dugain, sur les gueules cassées et le retour à la vie civile des officiers, 1998), Le feu d’Henry Barbusse (1916, sur les poilus), Les croix de bois de Rolland Dorgeles (1919, sur les poilus) Le cinéma avec Les sentiers de la gloire (de Stanley Kubrick, sur les tranchées et l’absurdité de la justice militaire, 1957) ou Un long dimanche de fiançailles (2004, de Jean-Pierre Jeunet, c’est une histoire d’amour durant la guerre) La bande dessinée avec C’était la guerre des tranchées de Tardi (1993)

œuvre de comparaison : l’art aztèque et les fresques de la Renaissance en Italie. [possibilité de présenter en anglais ou en espagnol pour les plus motivés]. Œuvre de comparaison : Pacifique 231 de Honeger (1923). - « Les Sentiers de la gloire », Stanley Kubrick, 1957 (extrait de films avec plans de travelling)  question n°5 portant sur l'installation question portant sur le patrimoine et l'art contemporain > thématique : « Arts, espace, temps » / « Arts, ruptures, continuités » - « L'arbre des voyelles

Annexe 7.2) afin de cibler les éléments jugés indispensables pour la comparaison des films entre eux. Nous nous sommes aussi inspirés des bonus des films sur format DVD pour affiner notre analyse. 1, 2, 3, 4, 5, 6, Full Metal Jacket | 1987 | Stanley Kubrick Apocalypse Now | 1979 | Francis Ford Coppola Nous étions soldats (We Were Soldiers) | 2002 | Jim Lemley Arne L. Schmidt Jacques Dalloz | 2004 | La guerre contre le communisme N°23 | Les collections de l’histoire François d’Orcival et Jacques-François

capacité à convaincre et à émouvoir lorsqu’elles empruntent les canaux de la fiction, en font une source appréciée pour les adaptations au cinéma ou à la télévision, ce qui leur donne la notoriété. On peut penser à l’œuvre cinématographique de Stanley Kubrick avec notamment Orange mécanique qui a fait connaître le roman de l’écrivain anglais Anthony Burgess, un conte philosophique et satirique de politique-fiction dont le ton est proche du Candide de Voltaire, et qui est traversé de références à Swift

Jacket (1987) de Stanley Kubrick avec Matthew Modine, Adam Baldwin, Vincent D”Onofrio et R. Lee Ermey. Synopsis:Pendant la guerre du Vietnam, la préparation et l”entrainement d’un groupe de jeunes marines, jusqu’au terrible baptême du feu et la sanglante offensive du Têt a Hue, en 1968. Le film de Stanley kubrick est considéré par les vétérans comme l’oeuvre la plus réaliste sur la guerre du Vietnam. A travers l’inoubliable le sergent instructeur Hartman Lee Eermey, Stanley Kubrick dresse un regard

capacité à convaincre et à émouvoir lorsqu’elles empruntent les canaux de la fiction, en font une source appréciée pour les adaptations au cinéma ou à la télévision, ce qui leur donne la notoriété. On peut penser à l’œuvre cinématographique de Stanley Kubrick avec notamment Orange mécanique qui a fait connaître le roman de l’écrivain anglais Anthony Burgess, un conte philosophique et satirique de politique-fiction dont le ton est proche du Candide de Voltaire, et qui est traversé de références à Swift

capacité à convaincre et à émouvoir lorsqu’elles empruntent les canaux de la fiction, en font une source appréciée pour les adaptations au cinéma ou à la télévision, ce qui leur donne la notoriété. On peut penser à l’œuvre cinématographique de Stanley Kubrick avec notamment Orange mécanique qui a fait connaître le roman de l’écrivain anglais Anthony Burgess, un conte philosophique et satirique de politique-fiction dont le ton est proche du Candide de Voltaire, et qui est traversé de références à Swift

l’âme des personnages par une image sans cesse en mouvement. La caméra peut enfin avoir une « fonction rythmique» et ou « chorégraphique » ; la caméra ne suit pas les évolutions des acteurs, elle imprime à l’image le mouvement de la danse (Cf. Stanley Kubrick avec le ballet des vaisseaux spatiaux de 2001 : l’Odyssée de l’espace (1969), ou avec Orange mécanique (1971), dont les scènes de violence deviennent dans l’œil de la caméra des moments de danse). 1) Le panoramique - Le mouvement panoramique (ou

et l’absurdité de la guerre (il ne faut pas cependant oublier que des précédents films, mais n’ayant pas pour sujet le Viêt Nam, ce qui donne à M*A*S*H sa singularité, avaient déjà été réalisés dans ce sens à l’instar des Sentiers de la Gloire de Kubrick en 1957) au sein d’une industrie qui en est, jusque-là, plutôt effacée, tombe comme un pavé dans la mare. Parmi les scènes à choisir, j’ai essayé de prendre deux passages représentants deux instants les plus différents possibles, en complète opposition

du Viêt-Nam se sont multipliés. Les deux autres grand films, approuvés par les vétérans de la guerre du Viêt-Nam sont Platoon d’Oliver Stone en 1986 et Full Metal Jacket de Stanley Kubrick en 1987. Oliver Stone était un vétéran de la guerre du Viêt-Nam, ce qui apporte une crédibilité difficile à efface ; et Stanley Kubrick est connu pour ses recherches minutieuses pour coller au plus près de la réalité notamment avec Les sentiers de la gloire (film sur la première guerre mondiale). Analyses filmiques