Stars de Dallas

analystes pour évaluer NeXT, mais Jobs veilla à traiter uniquement avec Perot. L'un de ses grands regrets, confiera plus tard Perot, ce fut de n'avoir pas acheté Microsoft, du moins une bonne partie, quand le jeune Bill Gates était venu le trouver à Dallas en 1979. Lorsqu'il appela Jobs, Microsoft venait d'être coté en Bourse pour une valeur de un milliard de dollars. Perot avait raté une occasion de gagner beaucoup d'argent et de vivre une belle aventure. Il était donc impatient d'effacer cette erreur

demande Lou Anne. - Oh, c’était comme un rêve ! Et la maison de Trudy… la télé dans toutes les pièces, un mobilier ultramoderne avec des sièges sur lesquels on ose à peine s’asseoir… On est allés dans tous les grands restaurants fréquentés par les stars, on a bu des Martini et du vin de Bourgogne. Et un soir, Max Factor en personne est venu à notre table et il s’est mis à parler avec Trudy comme s’ils se connaissaient depuis toujours ! » Elle secoue la tête. « Comme s’ils se rencontraient en passant

years. One of the secrets to successful branding is to ensure that the slogan and logo are remembered, by using it frequently over a long enough period of time. In addition, what the slogan says about the city must actually be true. Whether the new Dallas slogan of “Live Large, Think Big” or San Francisco’s “Only in San Francisco” is successful remains to be seen. However, it may be Columbia, South Carolina’s new slogan of “Where Friendliness Flows” that will last the longest. Why? Because the city

culture ne s'hérite pas elle se conquiert Caro amico ti scrivo cosî mi distraggo un po’ e siccome sei molto lontano più forte ti scrivero... (« Cher ami, je t’écris pour me distraire, Et puisque tu es très loin, plus fort je t’écrirai... ») Lucio Dalla, L’anno che verrà. It’s not time to make a change Just relax, take it easy You’re still young, that’s your fault There’s so much you have to know Find a girl, settle down If you want, you can marry Look at me, I am old But I’m happy I was once like

rasseoir. - Oui, ai-je répondu. Puis, d'une voix hésitante : Tu veux me tester ? - JFK. - C'est évident, ai-je répondu. - Vraiment ? - Non. Ce sont ses dernières paroles. Quelqu'un lui a dit : « Monsieur le président, vous ne pouvez pas nier que Dallas vous aime. » Et il a répondu : « C'est évident », et, juste après, il a été abattu. 16 Elle a éclaté de rire. - C'est horrible. Je ne devrais pas rire. Mais je ris quand même, a-t-elle dit en riant de nouveau. Bien, Mister Dernières Paroles

ISSOUDUN PETANQUE BLANCOISE U S LA CHATRE PETANQUE LA PETANQUE MOULINOISE PETANQUE NEUVYCIENNE A S PETANQUE NIHERNE U S SAINT MAUR PETANQUE PETANQUE VATANAISE U S VILLEDIEU PETANQUE C P DE LUCAY LE MALE F R S B DE LYE PETANQUE GALTOISE A S C CHABRIS STARS PET CASTELROUSSINE A C S BUZANCAIS LA PETANQUE BERRICHONNE LA BOULE VELLOISE PETANQUE CLUB DE LURAIS MONTGIVRAY P C COMITE DE L INDRE LA PETANQUE ANJOUINAISE PETANQUE CLUB MARTIZAY A B ATHEE SUR CHER U S CHAMBRAY PETANQUE AMICALE PETANQUE DE DESCARTES

”7 Your office manager may not like it, but if some trees are bugging you, hack those suckers down. Be buttoned-up. This is a business. The whole chaos-is-good, whiskey-and-cigarettes, showing-up-late-for-work thing is fine for artists and rock stars. But advertising is only half art. It’s also half business. The thing is, both halves are on the deadline. So don’t be sloppy. Don’t be late. Meet your deadlines. Don’t lose your writer’s headlines. Don’t leave your art director’s layouts at home.

services participe à une certaine occidentalisation des consommations. On distinguera les consommations courantes, par exemple la consommation alimentaire (doc. 2), les cosmétiques (L’Oréal), de la consommation de biens dits culturels (films tels que Stars Wars, livres comme Harry Potter, musique ou console vidéo…) (doc. 1). Ces consommations sont porteuses de nouvelles normes et valeurs qui peuvent rendre obsolètes les cultures « traditionnelles ». On pourra développer le rôle de l’informatique dans

citer le cas des deux fondateurs de la plateforme de déploiement de solutions de cloud computing Dotcloud qui se sont aussi installés à San Francisco et ont levé $10m sur place57 ! Et puis l’éditeur de logiciels Yseop a créé sa filiale américaine à Dallas et son fondateur, Jean Rauscher s’y est installée en 2012. En 2013, la startup française Sharalike est partie d’installer à Boston après y avoir fait son premier tour de financement de $600K. C’est une une plateforme de gestion, de partage et de montage