Stasi

démocratie dans l'entreprise et des élections libres. Au fil du temps le syndicalisme est-allemand est devenu prestataire de service ( aides sociales, crèches etc..) Enfin, Le contrôle de la population est passé après cette date par la surveillance par la Stasi, la police politique. Le système, profondément miné, s'est donc effondré en 1989 sans grand heurt, la chute du Mur de Berlin en novembre ayant succédé à des manifestations de 500 000 personnes à Leipzig durant l'automne, qui réclamaient plus de liberté

un appartement type de Berlin-Est a été reconstitué, avec son mobilier des années 50. Pour les amateurs de sons, des écouteurs diffusent, en permanence, les virgules sonores de la radio d'Etat. Dans un coin mal éclairé, le bureau d'un membre de la Stasi. Un casque mis à la disposition du visiteur diffuse une conversation volée enregistrée. Sinistre. Au mur, trône le portrait de Honecker, camarade-secrétaire général du Parti. Il fixe, est-ce le hasard, une vitrine où sont exposés une matraque télescopique

du Tribunal Révolutionnaire qui siégea à Orange sous la Terreur : le bourreau avait, certes, la réputation d’être un pervers, mais les juges étaient des hommes ordinaires. Dans le film de Donnersmarck, La vie des autres, Wiesler, l’officier de la Stasi chargé de surveiller l’écrivain soupçonné de dissidence, est lui-même peu à peu bouleversé et cesse d’être un bourreau. De même, dans La liste de Schindler, le film de Spielberg la mutation psychologique et morale de Schindler est très finement présentée

présence : le POUP (PC polonais), l’Eglise catholique et Solidarnosc. Mais l’URSS ne peut tolérer une telle évolution. Aussi, le général Jaruzelski qui remplace, en septembre 80, Kania procède à l’établissement, en février 81, avec le soutien de la STASI et du KGN, d’une liste de suspects. Puis, il proclame, dans la nuit du 12 au 13 décembre, la loi martiale. 70 000 soldats, 30 000 miliciens, 1 750 chars prennent position dans les grandes villes et les sites industriels. La répression qui s’en suit

interne par les troupes frontalières comme « zone d'action » – était placé sous secret militaire et donc mal connu des citoyens de la RDA. Les soldats détachés à la frontière devaient garder le silence. Comme nul ne savait exactement quel espion de la Stasi (le service de police politique, de renseignements, d'espionnage et de contre-espionnage du régime communiste de la République démocratique allemande) pouvait faire un rapport sur un bavardage inconséquent, tous s'astreignaient fermement au silence

syndicat, un modèle social, économique et politique d’Occident. Sa capitale est Bonn. La RDA a perdu toutes les bases d’avant guerre. Elle est mise en avant comme un modèle de réussite par la propagande, notamment avec les sportifs est-allemands. La Stasie, la police politique est un des plus redoutables des pays de l’Est. En Octobre 49, le rideau de fer est bien installé. A l’Ouest, les états démocratiques, symbole de vitalité. A l’Est le communisme. 2) La guerre froide s’étend à l’Asie En Octobre

principe de la laïcité dans la République puis d'un vote par les membres de la commission Stasi1, dont Jean Baubérot fut le seul participant à s'abstenir face à une majorité de pour (il fut d'ailleurs à ce titre qualifié « d'hérétique » de la commission Stasi ). C'est dans ce contexte que Baubérot rédige son livre ayant pour but de retracer l'histoire et l'évolution de la laïcité depuis la révolution française à nos jour. Il a aussi pour double ambition à travers cette relecture de l'histoire de démontrer

Hiéron ou Gélon de Syracuse : les Deinoménides. La partie occidentale de la Sicile est dominée par les phéniciens installés à Carthage : les carthaginois. Syracuse est une ville florissante, attractive, mais la Sicile elle connaît des guerres civiles (stasis) entre les partisans de la démocratie qui eux sont pour Athènes, et partisans de la tyrannie qui sont pour Sparte. Syracuse étant peuplée de doriens, il ne sont pas vraiment en bon termes avec Athènes. Athènes lance une grande expédition qui part

Bibliographie 0. Ouvrage : 1. Beck Ulrich, La société du risque, sur la voie d’une autre modernité, Éditions Aubier, Paris, 2001 2. Lepage Corinne, Guéry François, La politique de précaution, Presses Universitaires de France, Mayenne, 2000 3. Stasi Jean-Pierre, L’ère du risque, Bourin éditeur, Courtry, 2005 0. Article de presse : 4. Frachon Alain, « Ben Laden et Big Brother » in Le Monde, 12/03/2010 5. Ledoux Bruno, « Inondations : une politique de prévention qui n’a pas fixé les

L’Acropole B. Les institutions politiques III/ Le reflet d’une puissance économique et militaire A. L’Agora B. Le Pirée Introduction Pendant longtemps, Athènes a connu la gloire grâce à son régime démocratique notamment. Le problème du stasis c'est-à-dire les discordes qui ont déchirés les cités grecques à l'époque archaïque a été résolues par les grecs par la tyrannie mais aussi par le phénomène de colonisation. Athènes ayant connu des graves crises, les athéniens vont essayer de mettre