Statistiques évolution Travail Des Femmes 1914

SOCIAL PLACE DES FEMMES DANS LA PROFESSIONNALISATION DES ARMÉES 2004 Etude présentée par Mme Michèle Monrique Année 2004. - N°20 NOR : C.E.S. X000030420 Vendredi 9 juillet 2004 MANDATURE 1999-2004 Séance du Bureau du 22 juin 2004 PLACE DES FEMMES DANS LA PROFESSIONNALISATION DES ARMÉES Etude du Conseil économique et social présentée par Mme Michèle Monrique au nom de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre hommes et femmes III SOMMAIRE

Séance 2 Thème 2 : l’évolution du système de production et ses conséquences sociales. Séance 3 Une entreprise et son évolution depuis le début du XXe siècle : Renault. Séance 4 Un siècle d’immigration en France, les conséquences sociales de l’évolution GUERRES MONDIALES ET REGIMES TOTALITAIRES (1914-1945) Thème 3 : La première guerre mondiale : vers une guerre totale (1914-1918) Séance 5 La première guerre mondiale est caractérisée par une violence de masse. Séance 6 La révolution russe de

guerre sur la puissance économique respective des Etats ? Que nous montre l’analyse du cas de l’Irak ? I. Les causes explicatives et les enjeux des guerres contemporaines A. Le concept d’économie de la guerre et sa signification (définition, évolution, les différentes formes) La guerre comprend de nombreux enjeux économiques et non pas seulement des implications militaires. Le concept d’économie de guerre pourrait se définir de la manière suivante, il s’agit de l’ensemble des rapports économiques

agricole : quantité de biens agricoles produite par quantité donnée de travail. Rendement agricole : quantité de biens agricoles produite par unité de superficie (tonnes, quintal,…) L’espérance de vie a augmenté, car la productivité a eu une croissance démesurée. Il y a un gain de productivité agricole dans la longue durée. Exemple : production de 1 tonne de blé Avant la révolution industrielle  : -- 1200 à 1800 heures de travail Après la révolution industrielle  : -- 86 heures vers 1840

PERIURBANISATION APPROCHES, N°2 : L’INFORMATION STATISTIQUE 1. POPULATIONS, MENAGES 2. LOGEMENTS, CONSTRUCTION 3. CONSOMMATION FONCIERE 4. EMPLOI 2 2 2 3 7 7 7 8 8 APPROCHES N°3 : CADRAGES CONTEMPORAINS, GENERAUX ET ALSACIENS, DE LA PERIURBANISATION 9 1. EVOLUTION SOCIO- DEMOGRAPHIQUE 2. L’AMELIORATION DES SYSTEMES DE CIRCULATION ET L’AMPLIFICATION DES MOBILITES 3. MUTATIONS ECONOMIQUES DANS LEURS EFFETS SUR LA PERIURBANISATION 4. MUTATIONS SOCIOLOGIQUES 5. LES EVOLUTIONS EN MATIERE D’URBANISME ET DE GESTION

Épistémologie et méthodes de la sociologie Sciences sociales Cours de François Denord (chercheur au CNRS, sociologue et historien, travaille sur les élites – patrons, hauts fonctionnaires, politiques -, la mondialisation, socio histoire du libéralisme en France, approche classique = filiation de Weber, Durkheim, Marx, Bourdieu = macrosociologique) Prémices, méthodes et difficultés de la sociologie Tout raisonnement scientifique suppose de la réflexivité. Qu’est-ce qu’un point de vue

population résidant en Belgique a augmenté de 0.576%, cette croissance de la population est en grande partie due à un taux de migration élevé (+1.22%). Selon l'ONU, l'espérance de vie dans le pays est de 77,8ans pour les hommes et 82,9 ans pour les femmes. La population belge tend d’ailleurs à vieillir, avec un âge moyen de 40 ans, la majeure partie de la population (7 millions de personnes) a entre 18 et 64 ans, 18,7% de la population ont plus de 64 ans. Si les classes d’âge nées du baby-boom restent

Chapitre 7: Population et société de 1850 à 1914. I) La démographie: une faiblesse mal perçue. A) Une situation peu brillante. Le ralentissement de l'essor démographique continua, s'aggrava même peu à peu: sur l'ensemble de la période 1850-1914 la population ne s'accrut en moyenne que de moins de cent mille personnes par an: un taux d'accroissement moitié moindre de ce qu'il avait été durant la monarchie de Juillet, et qui diminuait lentement1. Sous le second Empire, à frontières égales le pays ne

ECONOMIQUE ET POLITIQUE DE L’EMPLOI CHAPITRE 1 TRAVAIL ET LES POLITIQUES DE L’EMPLOI SECTION I : LE TRAVAIL ET L’EMPLOI I. Les perspectives historiques : Le travail est un fait humain à dimension multiple car c’est une source d’enrichissement, une dépense d’énergie et c’est un facteur de production. La signification du travail varie selon le système de valeurs. Par ex : le travail était considéré comme une souffrance mais aussi comme un enrichissement. Le travail est un élément essentiel dans la vie de

les autres pays quand ils sont touchés à leur tour ; la France et le Royaume-Uni tentent de se replier sur leurs colonies, mettant au point la « préférence impériale », interdite lors de la Conférence de Berlin (1885) mais largement pratiquée après 1914. Les relations économiques étant à l'époque bien moindre qu'aujourd'hui, ces répercussions mettront du temps à se diffuser : par exemple la France sera touchée à partir du second semestre de 1930, soit six mois plus tard. L'Italie fasciste est touchée