Stendhal Indirect Libre

dans la présentation des rêves de Charles puis de ceux d’Emma. L’unité de ce passage est renforcée par deux évocations du berceau de Berthe qui l’encadrent. Les deux rêves sont exprimés grâce au discours indirect libre, ce qui leur donne une grande proximité formelle. Le discours indirect libre : il se caractérise par l’absence de verbe introducteur ; ainsi, la proposition subordonnée qui contient les paroles rapportées ou les pensées est privée de la principale qui l’introduit habituellement et

tantôt ! », l’autre répond : « Je m’en suis… … en place. ». » (lignes 12/13) « en balbutiant « La charité s’il vous plait. ». » (ligne65) « Puis il ajouta : « Bast ! faut pas… …manger la soupe. ». » (lignes 74 à 76). Propos rapportés au discours indirect : « il affirma devant ses gens qu’il ne l’avait plus retrouvé. » (ligne74). Ces propos représentent la réalité sans toutefois l’idéaliser. 3°) Les parents de l’aveugle s’occupent plutôt correctement de lui. « Tant que le père et la mère vécurent

rudimentaire : «toujours vêtu de la même manière» (l. 18), puis de l’alambic personnifié et des «piliers de bar» par Zola grâce au point de vue omniscient et donc à des termes péjoratifs «récipients de forme étrange» (l. 8) et à l’utilisation du discours indirect libre, utilisé pour retranscrire avec exactitude les pensées de Mes-Bottes comme à la ligne 15 «Tonnerre de Dieu ! Elle était bien gentille !». On remarque une différence en ce sens, car les textes de Diderot et de Robbe-Grillet ne présentent pas ces

prise de conscience Pour commencer, on assiste à une agréssivité, une révolté de la part de Meursault "je me suis mis à crier", " je l'avais pris par le collet de sa soutane". C'est Meursault lui meme, qui parle, grâce à un discours indirect libre (l16 a 18). Dans un second temps, Meursault se calme, il est en paix avec lui même. On peut remarquer ce changement grâce au champs lexicaux, " je l'ai insulté " exemple durant sa colère , puis " lui parti, j'ai retrouvé le calme " d'ou son apaisement

(préten)dit / reconnut / cria Elsa. Le discours indirect Le discours indirect perd se construit donc comme une subordonnée, complément d’un verbe principal signifiant « dire » ou « penser ». Il est généralement bien intégré au discours dans lequel il s’insère et n’est pas marqué par une rupture énonciative. Exemple : Robespierre a dit que Danton était un traître. Le discours indirect libre Le discours (ou style) indirect libre est essentiellement un procédé littéraire qui se

cause, (l.13 et 20) : « parce qu’il a fallu que je monte », « comme il était occupé », ° conséquence : « si longtemps que je ne savais trop.. » Majorité de discours direct rapporté (l. 12.18.23/25° =/=deux discours indirects, ceux du militaire et du concierge Pas de discours indirect libre   3. La défaillance du langage a. L’acquiescement comme signe d’incapacité à communiquer -         à Céleste : acquiescement silencieux. -         au militaire : « oui » -         au directeur : « Oui, Monsieur le

des sentiments est tellement important que l'on peut se douter que l'intention du narrateur est ironique. Il y a un décalage entre l'interprétation de son comportement et ce qu'elle vit intérieurement (15). Le narrateur va utiliser le discours indirect libre pour rapporter les pensées de Mme Walter, c'est à dire ce qu'elle se dit à elle-même, elle entre alors dans son monologue intérieur : "Et voila qu'un évêque mariait sa fille, et devant elle !". La ponctuation exclamative traduit la fureur du

Budos Lecteur ne sait pas les raisons pour lesquelles l’action se passe dans un tribunal, les raisons pour lesquelles Thérèse est inculpée  Lecteur se pose des questions et veut savoir la suite b) Secret THERESE SE CACHE DES AUTRES Discours indirect libre : «  oui, la petite place semblait déserte » Point de vue interne : « heureusement, les jours avaient bien diminué » [Argument] : Narrateur rapporte pensée Th. S’en fout de discussion/ se soucie du regard des autres (journalistes…) , elle les

rendre service, de lui faire croire que j’estime son opinion, ou de l’embarrasser … III/ 2) Les actes de langage directs Exemple : fermez la fenêtre ! ->forme linguistique associé (injonction, question, insertion…) III/ 3) Les actes de langage indirects =intention du locuteur. Exemple : il fait froid ici ! ->je voudrais que tu fermes la fenêtre. Allocutaire peut ne pas reconnaître l’intention du locuteur ou faire semblant, et le locuteur peut très bien dire qu’il n’avait pas cette intention

belle-mère Yvonne qui porte le même nom que lui mais féminisé, qui hait-il finalement ? Elle ou lui ? Insulte « égoïste » + hyperboles « la plus chaotique » Discours direct « je lui dit maman… » et « elle me dit… » Discours indirect + « s’écrie Cathy » Discours indirect libre « dixit Mme Roméro » « je finis par me laisser convaincre » Hyperbole « en surtension » Hyperbole « tout s’organise sans moi » + CL du complot « contre moi », « trame », « derrière mon dos » « Toujours mieux à faire », « tout