Stendhal Indirect Libre

les ressentis de Thérèse : « Elle avait vécu, jusqu'à ce soir, d'être traquée ; maintenant que la voilà sauve, elle mesure son épuisement. », cela nous permet de mieux comprendre le personnage de Thérèse. Mauriac utilise également le discours indirect libre toujours dans ce même but : « Quelles seront les premières paroles de Bernard dont le témoignage l'a sauvée ? ». La ponctuation montre l'inquiétude de Thérèse, elle est déstabilisée : « le juge d'instruction... encore lui... ».

accède aux pensées de Roubaud -l.10/21 pensées rapportées au discours direct -l.14-15 discours indirect libre (rapporte les paroles (ou les pensées) de manière indirecte) -pensées retranscrites spontanément -même procédés l.22 ----> l.38 avec les réactions de Séverine -Focalisation interne (le narrateur raconte ce qu’il voit) l.24 -focalisation zéro (narrateur omniscient) l.26.29-30 -discours indirect libre l.32 -le lecteur suit d’abord les réactions de Séverine puis le cheminement de la pensée de Roubaud

l'énonciation au moment où la parole est produite. Une ponctuation expressive. Ses effets : spontanéité du discours oral ; présence accrue du personnage qui révèle ainsi son caractère ; authenticité donné au récit ; dynamisme de la narration. LE DISCOURS INDIRECT (COUPÉ DE LA SITUATION D'ÉNONCIATION) Il rapporte indirectement des paroles prononcées en les subordonnant à un verbe introducteur (verbe déclaratif de parole ou de pensée). Il s'insère sans rupture dans la narration ou l'argumentation, en transcrivant

qu’obéir ou répondre ; contradiction flagrante avec le sans déguiser par lequel le roi tente de montrer sa mansuétude.       Discours narrativisé : Le Singe approuva fort cette sévérité (20) ; L’autre aussitôt de s’excuser    (30)       Discours indirect libre : 23-24 (discours du singe)   c.    Alternance des temps -          temps du récit : imparf / passé simple -          30 : L’autre aussitôt de s’excuser : infinitif de narration, qui exprime la rapidité, l’immédiateté de la réaction (servilité

personnages. Lorsque le personnage est seul, on parle de monologue; lorsque se sont ses pensées qui sont rapportées, de monologue intérieur. - Le discours indirect : Les paroles sont rapportées dans des propositions subordonnées où le verbe est soit déclaratif, soit interrogatif. - Le discours indirect libre : On n'utilise le discours direct libre que pour citer des paroles dont la teneur a un véritable intérêt. Lorsqu'il est inséré dans un récit, le dialogue doit s'en distinguer visuellement :  -

narrateur qui pointe le décalage entre la vision romanesque d'Emma et la réalité Description péjorative du duc (contraste avec l’admiration d’Emma) champ lexical de la déchéance ≠ superlatifs d’Emma jeu de superposition des points de vue discours indirect libre But : Donner à voir au lecteur ce que le personnage de perçoit pas b) Satire de l'aristocratie et de la société vision grotesque du duc = satire de l’aristocratie contraste entre le luxe du repas et la description du duc Ironie du narrateur

rapportées telles quelles, sans être modifiées. On remarque la présence des guillemets précédés de 2 points et de verbes introducteurs comme (demander ou répondre, dire…). On peut également trouver des points d’interrogation ou d’exclamation… Discours indirect : Il rapporte les paroles en introduisant une subordonnée complétive. Ex : Il a dit qu’il aimait tant ses parents. Il se caractérise par l’absence de guillemets ainsi que des points d’interrogation et d’exclamation. On change les adjectifs, les

la méthode expérimentale du physiologiste Claude Bernard. Quand ? : Vers 1860-1890 Qui ? : Émile Zola, Gérard Hauptmann, Maupassant Comment ? : Procédés narratifs récurrents : la description, la focalisation externe, le discours indirect libre Courants dont le thème est issu : Le réalisme Courants dont le thème ont été créé à partir du thème : OEUVRES NATURALISTES : Nana, Émile Zola Une vie, Maupassant Germinie Lacerteux, Edmond et Jules de Goncourt Le réalisme

ligne 8 « elle est délurée » mais aussi dans celui de Marie de Kerangal à la ligne quarante « Ils sont sous la bâche ». Nous avons différents types de discours comme du discours indirect dans le teste d'Albert Cohen à la ligne 24 « retourne- toi, ordonna-t-il » ou dans le texte de Marie Kerangal au discours indirect libre à la ligne 10-11 « T’habites loin ?, J’habite en haut et toi ? ». Il y a aussi du discours direct dans le texte de Sylvie Germain, avec l’emploi des guillemets, à la ligne douze

types de discours : discours direct ⇒ le lion l.15 à 33, le renard l. 34 à 42, l’âne l.49 à 54 ; Il rend compte de la puissance des protagonistes ; Pour l’âne c'est pour mieux l’accuser. Le discours indirect ⇒ le loup (l.56 à 57) péroraison. Dénonciation anonyme, pas de jugement. Le discours indirect libre ⇒ l.60 il rapporte le déchaînement qui accompagne la prise de position du loup. Le discours narrativisé ⇒ (l.44 à 48) les autres animaux restent dans l’anonymat, on se contente de suggérer leur lâcheté