Stendhal Indirect Libre

« compagnon » (l.28) langage familier « mectons », « champes », « bagnole » Course – signe de camaraderie 2) Les signes implicites d’une situation embarrassée * Le jeu des pronoms : « on », « je », « il » pour parler de lui Discours indirect libre, discours direct Malaise de Riquet, embarras, confusion * Les points de suspension Riquet parle de lui-même. Vides, Aurélien ne répond pas. II°) Une barrière entre les deux 1) L’opposition sociale Milieu Langage Vêtement

m’a-t-on fait enrager avec celui-là...nous flanquer une jolie tripotée...Filons, filons, mes petites chattes » La narration elle-même se charge de rendre compte de cette façon de parler et de penser propre aux courtisanes au moyen du discours indirect libre: « Blanche, ayant toujours sur le coeur l’expulsion de son Prussien, osa défendre Bismarck. Il n’était peut-être pas méchant. Chacun son métier. Elle ne put continuer. Ces dames se jetaient sur elle. », « Hein? quoi? une tripotée! C’était Bismarck

inspiré par des faits réels, l’affaire Delmare (à développer sur deux lignes en cas de questions). Flaubert s’inspire de la vie et de ses vicissitudes pour créer son chef d’œuvres réalistes. Cet ouvrage décrit la vie d’Emma Bovary, qui rêve d’une vie libre, comme celle des courtisans, qui elle se retrouve très vite déçue par son mariage, la déception la prends souvent en raison de son mari dénué de caractère de d’intérêt, qui plus est apparaît comme médiocre à ses yeux. Elle décida d’accepter de se lier

comme une moral, en rapportant mot à mot les dires de Gervaise. Zola se sert aussi du discours indirect "Elle se défendait, elle disait n'avoir aucune mérite à être bonne"(l.27) pour rapporter les réponse qu'apporte Gervaise aux habitants du quartier"Quant à mourir dans son lit, ajoutait-elle en plaisantant, elle y comptait, mais le plus tard possible, bien entendu."(l.32). Et enfin le discours indirect libre, pour montrer ce que pense les habitants du quartier de Gervaise "Le quartier trouvait Gervaise

Dans ce texte, nous assistons à la montée de l’ivresse en Gervaise. L’extrait est au discours indirect libre afin d’observer les conséquences physiologiques et morales de l’alcool. 1-Les valeurs du style indirect libre La progression du texte est chronologique. Zola nous montre au fil du texte, l’évolution de Gervaise, au fur et à mesure des verres qu’elle boit. Nous suivons les différentes phases de l’ivresse. A- La rêverie de Gervaise Dans un premier temps, Gervaise cherche à s’auto persuader

trois alexandrins. 2- La présence de paroles rapportées : - Le discours direct (v28-29)-paroles du Lion. Le Lion s’adresse au renard en le tutoyant ce qui montre sa supériorité. - Le discours indirect libre (v23-24)-paroles du singe : « Il n’était ambre, il n’était fleur qui ne fût-ail au prix » - Le discours narrativisé (il résume les paroles rapportées sans les reproduirent complètement) (v30-32)-paroles du renard. La Fontaine

discours direct est prononcée par elle (elle réagit au mot « victime », utilisé par l'avocat). Au fil du texte, sa voix s'efface : sa seconde réplique est rapportée au discours indirect. «Oui, la petite place semblait déserte.Heureusement, les jours avaient bien diminué.» On a ici un discours indirect libre qui prouve qu'il s'agit bien d'un point de vue interne. Le narrateur rapporte les pensées de Thérèse : elle n'est pas préoccupée par la discussion des deux hommes, mais se soucie de savoir

29/04/2014 INVENTION - Réécrire la scène racontée par Manon ou vous choisissez d’alterner des discours directs, discours indirect et discours indirect libre (voir mémé narrative). * Je m’assis, elle demeura debout, le corps à demi tourné, n’osant l’envisager directement, elle commençait plusieurs fois une réponse en disant que j’étais naïf, sans cœur et n’éprouvait ni tendresse, ni affection pour elle. Mais loi j’étais immobile à ma place et je lui répondais : « Je vous aime et je vous aimerai

versification L'alternance des différents types de discours v. 29-30 : discours direct, rythme ternaire → autorité avec l'impératif → contradiction : il ordonne d'être sincère v. 20 : discours narrativisé v. 23 à 25 et v. 30 à 33 : discours indirect libre L'alternance des temps → imparfait, passé simple, infinitif de narration La Fontaine propose à son lecteur un récit rapide, vivant, qui fait alterner des temps, des mètres pour égayer l'histoire. La première fonction de la fable est de plaire

effacée (l 26 à 44) Thérèse parle très peu : une seule réplique au discours direct est prononcée par elle (elle réagit au mot « victime », utilisé par l’avocat). Au fil du texte, sa voix s’efface : sa seconde réplique est rapportée au discours indirect. L’impression qui domine est qu’elle est détachée de ce que disent les deux autres personnages, elle ne se sent pas concernée. Le narrateur brosse rapidement le portrait d’une femme frêle, soumise : « immobile, serrée dans son manteau, et ce