Stendhal Racine Et Shakespeare

LE ROMANTISME EN LITTERATURE ET PEINTURE UN Mouvement européen De « romantic » à romantique : romantique : l’adjectif est introduit en France en 1776 par Letourneur dans sa préface à une traduction du théâtre de Shakespeare. Le mot est d’origine anglaise et il est alors habituellement traduit par romanesque ou pittoresque. Or, ces deux qualificatifs semblent insuffisants à Letourneur. argumentation par le marquis de Girardin qui différencie les beautés pittoresques, poétiques et romantiques

Bovary : c’est la fille d’Emma (qui aurais préféré avoir un garçon). Elle est placée chez la mère Rollet en nourrice. THÈMES : Pré-naturalisme : le mouvement littéraire dans lequel s’inscrit le roman réaliste (tout comme le rouge et le noir de Stendhal par exemple). Cela dit, le style de Flaubert est novateur car il ouvre la voix au naturalisme par son ambition de dépeindre les mœurs humaines avec l’approche des sciences sociales. Romantisme et réalisme : le début du XIXe siècle est marqué par

choquer le spectateur : pas de sang ni d’expressions violentes et vulgaires ni de mort sur scène). Ces règles étant perçues comme entrave à la liberté d’expression ne sont donc pas respectées par les dramaturges romantiques. D’après Stendhal dans Racine et Shakespeare, ces règles « ne sont nullement nécessaires à produire l'émotion profonde et le véritable effet dramatique."Le succès d'une pièce de théâtre vient, selon lui, des moments d'illusion parfaite où le spectateur croit vivre la réalité. De

valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique. Le romantisme peut être présent dans les romans du xixe siècle comme chez Hugo, Chateaubriand, Stendhal, et chez les Allemands également au xviiie siècle comme Eichendorff, Goethe, Hoffmann… |Sommaire | |  [masquer] 

la présence du règne végétal dans ce texte avec son champ lexical : toute couverte de fleurs, une forêt de lauriers-roses, de myrtes et d’orangers, fleurs des champs, fleurs de jardins, un bouquet, quelques branches, d’un massif d’arbres, dont les racines, des branches d’orangers, de myrtes et de roses que j’avais cueillies, le bouquet, du côté du buiisson. On constate la reprise à la fin du texte des groupes nominaux qui ouvraient le champ lexical. Trois fleurs sont mentionnées : lauriers-roses, myrtes

PETITS CLASSIQUES LAROUSSE Le Rouge et le Noir STENDHAL D O S S I E R PÉDAGOGIQUE www.petitsclassiques.com Catherine de LA HOSSERAYE Agrégée de Lettres modernes SOMMAIRE Analyse de l'œuvre Lectures analytiques LIVRE I, CHAPITRE IV ...................................................................................................... 3 LIVRE I, CHAPITRE XI ...................................................................................................... 6 LIVRE I, CHAPITRE XVIII ........

se poignarde alors sur leurs corps. ------------------------------------------------- La théorie du drame romantique[modifier] On ne peut parler d’Hernani sans évoquer son genre : le drame romantique. Quelques théoriciens des années 1820 comme Stendhal ou Alessandro Manzoni (Lettre à monsieur Chauvet sur l’unité de lieu et de temps dans la tragédie) l'ont d'ailleurs étudié dans leurs œuvres. ------------------------------------------------- La création de la pièce[modifier] Représentation

Pierre Corneille-fondateur de la tragédie classique analyse des tragédies:"Le Cid". Jean Racine-analyse de la pièce:"Andromaque"parallèle entre le héros de Racine et Corneille.  Pierre Corneille (1606-1684), voit le jour le 6 juin 1606 au sein d’une noble famille. Aîné de six enfants, il suit ses études au Collège des Jésuites de Rouen. Brillant élève, il se passionne pour l’art de la rhétorique et les thèmes antiques. Il obtient son diplôme sans difficulté et peut désormais rejoindre le barreau

« Correspondances » – Nerval, « Vers dorés » – Hugo, deux extraits : 1.de son essai consacré à Shakespeare et 2. de son poème « Ce que dit la bouche d’ombre ». Un corpus qui pourrait s’intituler « Correspondances ». Un corpus qui prolonge également l’étude du « Mendiant » puisqu’il propose d’autres exemples de la figure du poète-oracle, du poète voyant (le « vates » dans le texte de Hugo consacré à Shakespeare).Enfin, c’est un corpus qui permet de rappeler une fonction essentielle du poète romantique

fracassante, s’il en est, non pas à cause de Cromwell, la pièce qu’il publie alors – elle est énorme et injouable – mais grâce à sa Préface qui l’accompagne. Dans cette Préface, Hugo, qui a vu représenter Shakespeare à Paris cette même année et qui connaît les deux Racine et Shakespeare de Stendhal (1823 et 1825) s’en prend à la dramaturgie classique et définit un nouveau genre pour la scène (aujourd’hui communément appelé « drame romantique »), dont il analyse et justifie les principes esthétiques