Stichomytie Godot

en fait un ensemble de dialogues décousus mettant en évidence l’absurdité de la répétitivité quotidienne de la vie). ; Rhinocéros, (1959). Samuel Beckett (il a une volonté de faire un spectacle laissant une impression de vide) avec En attendant Godot, (1952). Jean Genet avec Les Bonnes (Il y dépeint l’univers des domestiques) (1947). 


THÉÂTRE Sujet de dissertation: Comparaison de l’élément comique dans les deux pieces: ‘Le Malade imaginaire’ de Molière et ‘En attendant Godot’ de Samuel Beckett. Introduction Au XVIIème siècle, le théâtre est déjà au Coeur des discussions vives les plus vigoureuses. Durant cette époque, il y a une séparation artificielle entre public raffiné de la tragédie et public populaire de la comédie. Bien entendu, la comédie séduit toutes sortes de publics. La cour appréciait davantage les farces et

Pour l’exposé : Lectures analytiques : 1) S. Beckett, En attendant Godot, I [début de la pièce jusqu’à : « Vladimir :  C'est long, mais ce sera bon. Qui disait ça ?»  ] 2) N. Sarraute, Pour un oui ou pour un non [début de l pièce jusqu’à « H.2 : (…) ce n’est pas sans importance »] 3) B.-M. Koltès, Combat de nègre et de chiens, scène I (entière) Pour l’entretien : • Autour de En attendant Godot : le théâtre de l’après-guerre ; le « théâtre de l’absurde ». – Visionnage

une attente qui ne sera jamais comblée et dans une logique de répétition (piétinement cyclique, temps « zéro » beckettien) où un processus de dégradation se substitue à la progression d'un conflit en fin de compte improductif (Beckett, En attendant Godot, 1953, Fin de partie, 1957), ou bien qu'elles se perdent dans une conversation réduite à l'échange de lieux communs, de répliques incohérentes (Ionesco, La Cantatrice chauve, 1950). Car c'est le langage, et avec lui la capacité même des personnages

cohérente. A l’inverse, l’anti théâtre ou théâtre de dérision rejette en bloc tous ces éléments. C’est le cas de « En attendant Godot » c’est une pièce en deux actes écrite par Samuel BECKETT en 1952, cet ouvrage s’inscrit dans le mouvement de théâtre de dérision. En effet les personnages principaux de cet «anti théâtre » Vladimir et Estragon, sont en attente d’un certain Godot. Mais sans savoir dans quel objectif, quelle motivation, à part celle d’attendre espérer un changement. Les personnages attendent

4 L’occupation p. 110 ligne 20 – 22 : Estragon et Vladimir sont obligée de rester, pour cela ils cherchent quelque chose à faire. Le « au secours ! » de Pozzo a été aperçu. ligne 12 : Vladimir pense que rêver fait passer le temps en attendant Godot, mais il ne veut pas savoir ce que Estragon a rêvé. 5 La répétition p. 111 ligne 1 : Une répétition de l’action. p. 113 ligne 5 – 7 : Une répétition de la réponse de Pozzo. 6 L’irréalité p. 113 ligne 9 : Peut-être rien n’est réelle. Peut-être

a) Le comique expose les peurs humaines    L'illusion comique de Corneille b) Le comique nous offre l'occasion de nous interesser aux relations humaines    ? Les comédies révèlent les différents aspects de la condition huamine    En attendant Godot de Beckett I/ les aspects comiques servent à faire rire- le public vient voir une pièce pour se distraire, pour voir un acteur en particulier parfois qui les fait vraiment rire (ex: ? )- gestes,répliques où attitudes droles (ex:dans Rhinocéros

Fiche en attendant Godot – « attendre » Introduction Théâtre de l’absurde – style de théâtre apparu dans les années 1950 durant l’apres guerre, se caractérisant par une rupture par rapports aux dramaturges classiques du drame ou de la comédie. Traite fréquemment l’absurdité de l’homme et de la vie en général, celle ci menant toujours à la mort. Beckett expose dans « en attendant Godot », une philosophie dans le langage lui même absurde, ce qui détruit toute possibilité de communication

Introduction Amorce : Dans la seconde moitié du xxe siècle, pour rendre compte de l'absurdité de la vie humaine, certains dramaturges prennent le contre-pied du théâtre traditionnel. Beckett, après En attendant Godot (1952) écrit Oh les beaux jours (1962). Présentation du texte : La pièce débute par une longue didascalie : deux personnages - un couple - sont visibles, mais la scène est composée d'un long monologue de Winnie, sans réelle consistance. Annonce du plan : Cette scène rejette

nouvelle vison du monde (pas de Dieu, pas de sens ; spirale) b) Un personnage moderne : l'anti-héros ► Dépassé par le monde dans lequel il vit → n'agit pas librement Personnages = pantins Fin de l'humanité → réification En attendant Godot, Samuel Beckett Introduction Entrée en matière ► Nietszche postule « Dieu est mort » au XIXe siècle → Absurdité Création d'un nouveau théâtre au XXe siècle : Le théâtre de l'absurde ► Basculement historique : monde totalitaire et les camps