Stigmatisation Personnes âgées

Réflexion sur les lois3LoisVisées principales N° 75-534 du 20 juin 1975 d’orientation en faveur des personnes handicapées Obligation d’éducation Accès aux institutions ouvertes Maintien en cadre ordinaire de travail et de vie Avant 1975, on parlait d’INSERTION, puis d’INTEGRATION. N°2005-102 du 11 février 2005 pour légalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées Définit le handicap (selon art 2 de la loi 2005-104) Politique de « compensation du

76,3 ans, qui se traduisent par une augmentation de la durée de la retraite. Ce qui se traduirait, en outre, par une baisse significative de la population, entre 12% et 17% pour l’Europe et le Japon (soit environ 65 millions de personnes). Pourcentage de populations âgées de 60 ans ou plus dans le monde Si ces chiffres s’avéraient corrects, le résultat serait, pour les pays développés, et sans changement significatif des conditions actuelles, une baisse importante des salaires et des conditions

3. L’accessibilité 17 CONCLUSION 19 INTRODUCTION  Le Centre Hospitalier du Bois Petit est un établissement de soins au sein duquel le stage a été effectué. Il s’agit d’un EHPAD de statut public (Etablissement d’Hébergement des Personnes Agées Dépendantes). Les personnels qui y travaillent relèvent de la Fonction Publique Hospitalière (FPH). Tous les agents ne sont pas des fonctionnaires ; en effet, certains sont des contractuels. L’effectif de cet établissement comprend d’une part

accueilli au sein des projets et des activités du pôle d’animation gérontologique et intergénérationnelle……………p 9 II. Le travail en partenariat 1. Présentation d’une problématique spécifique du public • La problématique de l’isolement chez la personne âgée ………………p 10 à 11 • Modalité et organisation du travail en partenariat ………………..p 11 à 12 • Place et rôle des différents acteurs …………………..p 12 III. Réflexions personnelles • L’inter professionnalité…………….p 13 • Le travail en équipe : ses avantages

problème. Sur le plan quantitatif, les banlieues représentaient 10.millions d'habitants, sur ces 18.millions, quand on tente d'établir un bilan des zones sensibles, on appelle cela les Zones urbaines sensibles. Cela montre 750 ZUS soit 4.5 millions de personnes. Il n’existe pas une banlieue mais des banlieues qui se différencient selon plusieurs critères : 1) La distance à la ville-centre 2) Ses formes architecturales (grands ensembles de l’après guerre jusqu’aux villes nouvelles : habitat individuel

de quantifier les opinions et les perceptions du public ainsi que ses attitudes à l’égard des différents facteurs de risque. Cet article décrit quelques-uns des principaux enseignements d’une enquête nationale menée en 2005 auprès de plus de 4 000 personnes. Résultats : le cancer reste la maladie jugée la plus grave, loin devant le sida et les maladies cardio-vasculaires ; 86 % des enquêtés estiment qu’il peut toucher tout le monde et que l’on sait actuellement guérir de nombreux cancers ; 61 % pensent

voire l’occulte, tout en la manipulant, ce qui complexifie le travail de prévention de ces violences. La présente contribution examine la façon dont le racisme manipule la dénonciation du sexisme, puis présente les effets de ces discours sur les personnes qui en sont la cible. Elle soutient que loin de faire diminuer les violences sexistes, les logiques racistes qui se cachent derrière l’anti-sexisme tendent à les renforcer. Ma démonstration s’appuie sur des données recueillies lors d’une recherche

Accès aux soins des personnes les plus démunies Sommaire INTRODUCTION I) Le système de protection sociale et l’accès aux soins des personnes les plus démunies A) Santé et précarité 1. Définition : exclusion, précarité, pauvreté, marginalité et quart-monde 2. Progression de la précarisation en France a) L’explosion de la précarité de l’emploi b) La dégradation du niveau de vie 3.Liens entre précarité et santé B) La prise en charge des personnes en situation précaire

l’exemple de certains cantons et communes qui ont choisi d’interdire la mendicité ou alors la tolérer ? Au quotidien, face à une personne mendiante, il n’est toutefois jamais aisé de savoir si elle est exploitée par un réseau, si elle est victime de la pauvreté ou si elle se réfère à un mode de vie particulier. Le public est rarement sûr des motivations d’une personne mendiante et de sa sincérité. Cette incertitude se retrouve dans le choix de donner ou non : le don contribue-t-il à renforcer la

lien social. Conclusion. • Vocabulaire : Normes ; reproduction sociale ; interaction sociale ; rôles ; statuts ; valeurs. Contraintes ; production de normes ; règles ; sanctions. Déviance ; délinquance ; étiquetage ; marginalité ; stigmatisation. SOCIALISATION, REGULATION et CONTRÔLE SOCIAL La vie en société nécessite la maîtrise du langage et de certains codes sociaux, de systèmes con-ventionnels de règles, de lois. Mais cette maîtrise n’est pas innée et c’est