Stimulation Basale

traumatisme à la tête ou au cerveau. De plus, les recherches suggèrent toutefois que le TOC implique un problème de communication entre la partie frontale du cerveau (le cortex orbital) et les structures plus profondes de celui-ci (le ganglion basal). Il y donc des perturbations dans plusieurs circuits cérébraux qui sont davantage impliqués dans la gestion des émotions. Ces structures utilisent comme messager chimique la sérotonine qui aide à transmettre l'information aux différentes parties du

de CRH, activation de l'adéno-hypohyse, qui libère de l'ACTH, qui active les glandes corticosurrénales, qui libérent de la cortisol (glucocorticoïdes), qui augmentent le sucre disponible pour les cellules. Modulation de la réponse immunitaire. Stimulation du nerf splanchnique, activant les glandes médullo-surrénales, qui sécrètent de l'adrénaline, ce qui augmente le rythme cardiaque, la tension artérielle, la fréquence respiratoire. Ces deux processus permettent d'augmenter le taux d'oxygène et

des exemples Le rétro-contrôle (feed-back) permet à l’effet biologique entraîné par une stimulation hormonale spécifique d’agir en retour sur la source de cette stimulation. Mécanismes de rétro-contrôle Rétro-contrôle positif : lorsque l’effet entraîne une accélération de la stimulation Rétro-contrôle négatif : lorsque l’effet biologique a pour effet d’inhiber le stimulus hormonal Ex Stimulation de la production d’hormones thyroïdiennes par la TSH et la TRH :TrH Stimule hypophyse ; TSH

forme grossièrement conique ou pyramidale avec une base et un sommet, l'apex (ou pointe). L'axe base-apex est orienté approximativement en avant et à gauche selon un angle de 45°, et légèrement vers le bas. On décrit au cœur les faces postérieure (ou basale), inférieure (ou diaphragmatique), antérieure (ou sternocostale), et latérales (ou pulmonaires) gauche et droite. Le cœur d'un adulte mesure environ 12 cm de la base à l'apex. Son diamètre transversal maximal est de 9 cm et son diamètre antéropostérieur

biphasique : élévation immédiate atteignant un premier pic en quelques minutes suivi d’une diminution malgré la persistance du stimulus, puis d’une remontée plus lente pour atteindre un niveau supérieur de sécrétion ; l’arrêt de la stimulation est suivi d’un retour à la sécrétion basale. b. Autres facteurs humoraux Les autres métabolites insulino sécrétagogues sont : les acides aminés en particulier la leucine et l’arginine, les acides gras et les corps cétoniques. c. les facteurs nerveux

efférente → effecteur - Les excitants occasionnels surtout la vue et l'odeur des aliments, déclenchent la sécrétion salivaire par réflexes conditionnés Contrôle parasympathique de la salivation : Stimulation des fibres parasympathique → salive fluide et abondante Contrôle orthosympathique de la salivation Stimulation des fibres sympathiques → salive visqueuse et peu abondante Page |7 La déglutition Une fois le bol alimentaire formé par la langue, celui-ci est avalé : c’est le processus de la déglutition

polyposes, on fait appel aux corticoïdes, voire à un traitement chirurgical », ajoute le Pr Coste. Quand il y a hallucination olfactive Bien distincte de la parosmie, l’hallucination olfactive, ou phantosmie, se caractérise par la perception d’une stimulation olfactive alors qu’aucune molécule odorante n’est perceptible par un sujet normal. Elle témoigne le plus souvent de l’existence d’une maladie neurologique (épilepsie) ou psychiatrique (schizophrénie). L’odorat en général : Par rapport aux autres

colonisation, favorise l’agrégation et la clearance - Barrière de diffusion contre les substances très hydrophiles (qui restent dans la lumière) Composition du mucus: HCO3- = effet tampon. Défenses anti-bactériennes et immunitaires: PGE2: cytoprotective (stimulation de la production de mucus et de bicarbonate EGF (salive et glandes duodénales) TGF-alpha (cellules épithéliales gastriques) - Stimulent la prolifération cellulaire et stimulent la production de mucus Rupture de cette monocouche cellulaire = accès

(Oxycontin®LP, Oxynorm® et Oxynormoro®) : 2 prises/j (LP, 5, 10, 20, 40, 80, 120mg), 4-6 prises/j (LI, 5, 10, 20mg) Fentanyl : Doses et intervalles variables en fonction de la voie d’administration. * Voie orale et nasale en appoint d’un morphinique « basal », lors des crises douloureuses paroxystiques - voie orale (transmuqueuse - Actiq®, sublinguale - Abstral®, gingivale – Effentora) : 100 à 1600µg/prise, titration par intervalles de 15-30 min (2 unités), intervalles 4h, maxi 4 prises/24h. - voie

nos poumons en captant les poussières et les autres particules et en les propulsant vers la trachée (conduit aérifère). L’épithélium stratifié squameux se régénère rapidement grâce à une division cellulaire ayant lieu près de la membrane basale (voir ci-dessous). Les nouvelles cellules sont poussées vers la surface libre de façon à remplacer celles qui desquament continuellement. Cette variété d’épithélium se situe généralement sur les surfaces soumises à l’abrasion, comme la partie