Stratégies Firmes Transnationales

puissance américaine face à l’émergence de nouveaux compétiteurs économiques (Japon et Allemagne). Cela conduira à inscrire au centre de l’agenda de recherche de l’EPI la question de la puissance, de ses fondements économiques et de la façon dont les stratégies de puissance influent sur les relations économiques internationales. De fait, le premier choc pétrolier, la fin des Accords monétaires de Bretton Woods et le climat de détente entre l’URSS et les Etats-Unis conduisent à relativiser les enjeux

pourrait parler d’un archipel de grandes agglomérations reliée par des canaux avec des liens invisibles ou visibles. Elles ne se limitent pas aux relations inter étatiques, ne dépend pas que des états. Elles sont aussi inter individuel ou encore transnational. Les différences entre les relations internes et externes continuent d’exister. C’est l’Etat avec son territoire et ses frontières qui se situent à l’interface de l’interne et de l’externe. L’Etat appartient à la société internationale autant qu’à

des ressources mondiales alors que les Etats du globe ne détiennent que 49%. Il n’en a pas toujours été ainsi, c’est seulement vers la fin des années 70 que ces firmes sont montées en puissance et en nombre, effectivement elles sont passées de 7 000 dans les années 60 à 37 000 en 1993 puis l’ONU a recensé environ 70 000 firmes transnationales en 2006, qui représentaient environ la moitié du PIB mondial. Pour ce faire une idée de la puissance de certaine de ces sociétés il faut savoir qu’en 1999 Ford

téléphones portables. Les firmes transnationales vont avoir une stratégie de localisation de la production en fonction des caractéristiques propres de chaque espace national de manière à maximiser leurs profits. La division du processus de production entre des pays différents exploite les différences de conditions de production entre les pays : dans certains pays, les matières premières sont peu chères, dans d'autres ce sont les impôts ou le coût du travail. Les firmes transnationales vont chercher à profiter

transport, révolution des contenaires, baisse des tarifs douanières (Grace a l'OMC: Organisation Mondiale de Commerces), augmentation du trafic aérien, internet.... B) Pendant les années 70, des acteurs se sont imposé surtout les firmes transnationales*. Les FTN ont des stratègies à l'échelle planétaire (nouveaux marchés, meilleures conditions). C) On ne parle plus d'éco-monde correspondant a une partie de la planète, on parle d'économie mondiale a l'echelle planétaires, il y a plusieurs pole de puissance

variees ( charbon, petrole ,cours d’eau) et une population dont la croissance est alimente par une forte immigration. Ils sont egalement la premiere puissance commerciale , c’est pourquoi ils favorise la libralisation des echanges. Leurs Firmes transnationale exporte leur produit dans le monde entier Lors des deux conflits mondiaux , ils affirment leur puissance financiere en pretant a l’Europe (Plan Mareshall,1947) . En 1944 le dollard devient la monnaie des echanges internationaux et echange

mondialisation. La mondialisation est le fer de lance des firmes multinationales et leur permet d' atteindre un profit maximal. Pour ce faire, les firmes investissent à l'étranger et participent au développement des pays du Sud. La mondialisation entraine plus de choix et plus de produits et la délocalisation crée de l'emploi. Les firmes apportent trois soutiens importants au développement : premièrement une source de financement stable. Les firmes qui s'installent dans un pays suivent une logique

I)Quelles sont les causes et les conséquences du pouvoir de marché ? 1.1 Les barrières à l'entrée Une barrière à l’entrée désigne le fait que les conditions de marché (dans un secteur donné) limitent ou rendent impossibles l’entrée de nouvelles firmes sur le marché. Le concept de barrière à l’entrée est crucial dans l’orientation de la politique de la concurrence.Les économies d’échelles : il peut être difficile de concurrencer une entreprise qui a réussi à obtenir un coût de revient très faible

de la zone résulte de la combinaison et du panel d’activités dans lesquelles les entreprises asiatiques se sont perfectionnées. Grâce à leur circuit intégré, aux triangles de croissance et à la stratégie du vol d’oies sauvages, les entreprises ont su être efficaces et accroître leur productivité. La stratégie du vol d’oies sauvages repose sur quatre étapes : l’importation du produit, son imitation, la conquête de marchés extérieurs et enfin la délocalisation de la production pour diminuer les coûts

Elle cristallise les débats, et est souvent rapprochée du phénomène de mondialisation, dont une des corollaires serait, d’après certains politiques et ONG, l’insécurité alimentaire. En effet, dans l’économie ouverte actuelle, les actions des firmes transnationales et des Etats ne se bornent plus à un territoire, mais à l’économie mondiale. Et le pouvoir concentré par les Etats du Nord, qui remonterait à la colonisation, s’exercerait au détriment des petits pays qui souffriraient, dès lors, de la dérégulation