Streetwear

noir et brut, blousons, mini-jupes, bermudas, pantalons, sweats et Tee-Shirts. Une collection qui est dès à présent disponible dans une sélection de magasins de l’enseigne. .Naf Naf souhaite ainsi séduire les jeunes de 25-35 ans, grâce à un style streetwear très féminin, un univers haut en couleur et aux codes empruntés au créateur à savoir les coutures apparentes contrastées, les sérigraphies laissant la part belle au lettrage ainsi que les étiquettes extérieures. Cette collaboration s’inscrit

progressivement ses Nike Town (boutiques géantes de 5000 m²) au profit de plus petites mais plus nombreuses franchises.   De plus, afin d’accroitre encore la rentabilité, Phil Knight propose ses modèles sports (Total 90, Tiempo, Air…) sur le marché du streetwear (avec quelques modifications car crampons et bitume ne font pas bon ménage…).  Quant aux canaux de distribution, la marque ne se limite plus à commercialiser ses produits dans les boutiques de sport, on les trouve aussi dans les rayons de

leader en France. Nous avons trouvé l’heureuse combinaison entre, d’une part, un nouveau concept qui propose une offre dont 50 % est composée d’exclusivités, et d’autre part, une communication très ciblée touchant les 15-25 ans, amateurs de mode streetwear. Dans les magasins où le nouveau concept a été mis en place, le chiffre d’affaires est de 15 % supérieur à la moyenne du réseau. 2 / GROUPE GO SPORT RAPPORT ANNUEL 2006 NOS EFFORTS SE SONT TRADUITS PAR LA SURPERFORMANCE DE NOS DEUX

en lumière une cinquantaine de femmes à la « beauté singulière », par exemple trisomiques, atteintes de vitiligo ou en fauteuil roulant. Quant à Universal http://madame.lefigaro.fr/personnalite/rihanna-1http://madame.lefigaro.fr/style/apres-le-streetwear-et-la-beaute-rihanna-se-lance-dans-la-lingerie-230418-148351http://madame.lefigaro.fr/style/chocolat-nouveau-nude-selon-nubian-skin-120914-923864http://madame.lefigaro.fr/tag/me-too14 Standard, autre marque militante, elle s’est récemment choisi

du xxe siècle naissent de nouveaux genres artistiques (expressionnisme abstrait) et musicaux (punk rocket hip-hop dans les années 1970). Une culture de la rue (street culture) se développe autour du rap, du graffiti, du deejaying, du break danceet du Streetwear et se diffuse dans le monde entier depuis New York. New York demeure aujourd'hui l'un des principaux foyers culturels de la planète. En effet, la ville accueille environ 2 000 organisations culturelles et artistiques et plus de 500 galeries d'art85

Salomon se positionne ici sur un créneau haut de gamme et adopte un style assez éloigné des marques établies du secteur telles que Quiksilver, Rossignol ou Millet. Mariant des articles destinés à la pratique du ski et du snowboard et une ligne de streetwear, Voice, cette collection sera vendue dans 1 000 magasins triés sur le volet. En France, seuls une centaine ont été choisis, dont, à Paris, le magasin Adidas et Citadium, le magasin de PPR. Une distribution très sélective que le groupe allemand

(bambou...) selon des techniques de tricot diverses. Leurs formes sont variées : près du corps, over-size, micro-ponchos, tunisien... à col rond, en V, roulé, camionneur... Et leurs styles très différents : classique, décontracté-chic, casual, streetwear... * Robes, jupes : Les robes et jupes sont des pièces phares de la plupart des collections de prêt-à-porter pour femme. Symboles de féminité, elles se déclinent dans toutes les matières (chaîne et trame / maille, soie, laine, coton, lin

extrêmement courtes et si elle adopte le pantalon, ce sera plutôt un jean délavé à taille basse, avec vue sur le haut de son string. * Le Bling bling Le bling-bling aime les bijoux et il veut que ça se voit. On le reconnaît à : ses tenues streetwear, c’est-à-dire, un sweet ou une doudoune à capuche, un tee-shirt basique ou imprimé, un jean black à taille basse avec des logos brodés, des baskets… Le Bling-Bling porte également plein de bijoux (souvent en toc). Il apprécie particulièrement les

cœur de cible sont les femmes de 25 à 35 ans. Depuis sa création en 2006, Attractive n’a cessé de changer de positionnement en ciblant une clientèle plutôt milieu de gamme à une clientèle entrée de gamme pour les 15/ 25 ans avec la collection « streetwear » comme Adidas Heritage mais aussi en passant par une clientèle haut de gamme pour les 35/ 55 ans. * En ce qui concerne la stratégie d’implantation, les deux frères ont choisi des emplacements stratégiques dans Paris, près de grands axes et

chiffre d’affaire en 2009 était en recul de 2,8% avec 693,8 millions d’euros. L’enseigne Go Sport est positionnée comme le sélectionneur des grandes marques pour la pratique de différents sports alors que l’enseigne Courir possède un positionnement streetwear destiné au 15-24 ans, qui ne commercialise que des baskets et vêtements. Nous voyons aussi qu’il existe une menace venant de la grande distribution alimentaire : par exemple les magasins Auchan, Leclerc, Carrefour, déjà très bien implanté, pourrait