Strophe Saint John Perse

désire,Sire Nous t’édifierons un tombeauBeau »— Victor Hugo, Odes et Ballades, La chasse du Burgrave | | l’homéotéleute | [stylistique] Répétition d'un phonème dans une même phrase | « Et les servantes de ta mère, grandes filles luisantes »— Saint-John Perse | | | [poétique] souvent à l'hémistiche (rimes internes) | « J'aime le son du cor, le soir, au fond des bois,Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille,Et que le vent du nord porte

s’agit de dénoncer les travers de la société (Régnier), lyrique pour chanter l’amour (Théophile de Viau), religieuse (Malherbe). La Préciosité devient aussi un langage amoureux poétique : des images choisies, raffinées côtoient les hyperboles chez Saint-Amant. Il crée de nouvelles formes poétiques comme le madrigal, court poème qui exprime subtilement une pensée amoureuse. Dans les Salons qui se développent dans les milieux mondains, on joue, on dit des poèmes… La poésie se définit alors par deux

de perfection, sait nous faire tendre vers ce qu'il y a sans doute de plus humain, le désir de connaître, de créer, d'être au-delà de nos limites physiques et temporelles. Lors de son allocution au Banquet Nobel du 10 décembre 1960, le poète Saint-John Perse déclara :"Plus que le mode de connaissance, la poésie est d'abord le mode de vie et de vie intégrale. Le poète existait dans l'homme des cavernes, il existera dans l'homme des âges atomiques : parce qu'il est une part irréductible de l'homme

résulte de la perte de sa fille, dans l'intégralité du poème. Ensuite sa douleur se manifeste par la peine qui suit un décès. En effet, on observe que l'auteur utilise des phrases courtes dans la première strophe, qui grandissent au fur et à mesure de l'avancement du poème. En outre, dans la deuxième strophe, on remarque une certaine énumération de sentiments ou d'attitudes tristes telles que : « Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, / Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. ». De plus

prsents dans tous les pomes en prose, mais il suffit que quelques uns soient actualiss pour que la forme du pome en prose soit reconnue, dfaut d'tre nomme. Par exemple, il existe une forme compacte du pome en prose, l'oppos de l disposition en pseudo-strophes (par exemple, dans Le Spleen de Paris Le Port est diffrent de Un hmisphre dans une chevelure); une composition qui refuse le bouclage: c'est le cas chez Rimbaud dans Barbare (Illuminations, 1886), chez Reverdy, chez Ponge dans Les Berges de la Loire

et défend la « Liberté » des hommes. Ce poème leur fut d'ailleurs distribué afin de leur redonner espoir et de les encourager à continuer leur combat. A la même époque, Louis Aragon utilise le langage poétique comme une arme rhétorique dans ses « Strophes pour se souvenir », poème dans lequel il célèbre le courage d'un groupe de résistants à l'occupant nazi. Quatre siècles plus tôt,dans Les Tragiques, Agrippa d'Aubigné s'engage pour sa foi du côté des protestants, en répondant aux catholiques et

cf. l’élégie amoureuse romaine —, la Liberté défunte, etc.). L’éloge fait ressortir les qualités de quelque chose, elle loue quelque chose. Une partie très importante de la poésie universelle, d’ailleurs, fait l’éloge de quelque chose (cf. St John Perse, prix Nobel de littérature, et ses Éloges). L’élégie est un chant de louange et un chant de deuil. Porter le deuil de quelque chose, c’est la chose la plus difficile qui soit pour l’homme (comme le prouve l’histoire de l’art ou de la religion)

régie par un certain nombre de contraintes liées à l’usage du vers, de la rime, de la strophe. Ces contraintes sont fortement remises en cause dans le courant du 19è siècle, les poètes se tournant alors vers des formes plus libres. 1. Les formes fixes On appelle ainsi des formes poétiques obéissant à des contraintes de composition rigoureuses tant au niveau du type de vers que des rimes et des types de strophes, leur agencement ou leur nombre. Au cours du Moyen Âge (du XIè au XVè siècle), musique

affaire de préméditation : ou le cerveau précède l'économie des mots, ou bien il passe après eux, pour y installer la raison. J'ai donc fait, par vos poèmes, l'apprentissage de la négritude. Je vous lisais comme on lit CLAUDEL, ou CENDRARS, ou SAINT-JOHN PERSE, dans une éloquence où tout est fraternité. Je découvrais une vibration inconnue pour moi, un vocabulaire qui roulait ses rocs et ses écorces, un esprit qui ne correspondait pas à celui de mes latitudes. Comme vous écriviez dans ma langue, je

vomira Quand de son estomac le diable s’enfuira. Fonction référentielle de la poésie : poésie didactique : poésie populaire : Les Odes : forme qui oblige au poète à répéter tout au long du poème le schéma métrique qu’il a choisi à la 1er strophe : ne pas oublier qu’au départ la poésie doit être chantée : Mignonne, allons voir si la rose Qui se matin avait déclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu cette vesprée Les plis de sa robe pourprée Et son teint au votre