Strophe

subjonctif (v.12)) pour les poètes en général (bien qu’il s’adresse dans ce passage à la Muse). On remarque une progression(dans le cadre de l’énonciation) : dans les strophes 4, 5, 6, 7 il s’adresse au sculpteur tandis que dans les strophes 8, 9, 10 il s’adresse au peintre. Il s’adresse en général à l’artiste de la matière. La dernière strophe est une conclusion des différents artistes cités avec le vers 53.Cette énonciation met le lecteur dans une sorte de dialogue entre Gautier comme vieux maître et

parallèles les qualités de ces deux villes. ette chanson est composée de dix strophes (on peut considérer les strophes comme des couplets) comportant quatre vers chacune, se sont donc des quatrains. Les verssont des octosyllabes car dans chaque ver il y a huit syllabes. Ensuite si on regarde les rimes ont peut constater que se sont des rimes suivies et qu’il y a toujours le mot « Göttingen » à la fin dechaque strophe, c’est enfaite le refrain de cette chanson. Dans sa chanson Barbara évoque deux

majuscule sur chaque vers. on remarque une métaphore au troisième vers du premier strophe, « monte des fers » se qui représente la façon donc s’élance la voix violemment, « des fers » qui est ici un genre d’emprisonnement. On remarque aussi une anaphore «  tu peut vivre... vivre a genoux » troisième strophe, qui provoque est essai de pousser le poète a la trahison. Ainsi a la quatrième strophe on comprend mieux le refrain de cette ballade « la voix monte des fers » ici et la voix qui

Ces fêtes religieuses viennent dans un ordre chronologique. La St Martin (strophe 4) fête du 11 novembre, Noel le 25 décembre (strophe 4), le jour de l’an le 1er janvier, la fête des rois les jours des cendres et pour terminer pâques quarante jour après le carême ces fêtes ce succèdent entre (la strophe 4 à la strophe 6). Toutes ces fêtes sont associé à un jour donc on parle ici d’un écoulement de jour. Comme dans la strophe 1 « suivent le printemps, ils précèdent l’hiver » il y a un écoulement de

Nous étidierons d'abord cette structure originale, puis successivement: 1. 2. 3. 4. un double mouvement de rétrécissement (strophe 1) l'espérance emprisonnée (strophe 2) l'aggravation cauchemardesque (strophe 3) la crise et la défaite (strophes 4,5) La structure les trois premiers quatrains Quand... X 3 (v. 1, 5, 9) et que (v. 3,11) le ciel / la terre / la pluie quatrains 4 et 5 des cloches... sautent... lancent de longs corbillards... défilent l'espoir... pleure l'angoisse.. plante 3 subordonnées

composé de trois strophes, elle-même composées de deux sixains à rimes régulières, toutes séparées par le refrain « Là tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté ». A l’intérieur de chaque strophe, on note cette alternance de deux pentasyllabes et d’un heptasyllabe. Cette répartition étant répétée et reprise trois fois. C’est une disposition originale à la foi régulière et irrégulière. Le sizain a sa forme classique, les finales alternées masculines et féminines. Chaque strophe marque une étape

doublée d’une vitupération contre cette saison, et par une progression parfaitement maitrisée le narrateur termine son discours par une louange faite à l’hiver si sa bienaimé ne décède pas de la maladie qu’elle a contractée. Notre étude porte sur les strophes 4 à 10. Il s’agit d’une description des tourments que cause l’hiver à chaque être habitants sur terre. La mort y est omniprésente comme si toute forme de vie n’était pas compatible avec cette saison. La description de l’hiver est très imagée ce qui

est assez répandue au XVIe siècle. Le vers est donc simple, et n’a pas de césure, comme pour, par exemple, un alexandrin, et a une seule métrique (par qu’il y a que huit syllabes). Les vers sont simples et se composent de cette façon dans chaque strophe : A-B-A-B-B-C-B-C, on a seulement des rimes embrassées et équivoquées. Le schéma est un peu près le même pour la nature des rimes : F-M-F-M-M-F-M-F. Autant les rimes de Marot peuvent être compliquées (on va analyser ça tout de suite), tant elles

ponctuation . Il est composé de 14 strophes numéroté de longueur inégale alternant sans ordre précis ; vers seul , distique , tercet , quatrain ou quintile lui donnant un rythme irrégulier , ce qui traduit bien l’indignation d’Eluard . L’expression «  Beau monde » est située en tête de vers : insiste sur la beauté du peuple . Il parle du monde ouvrier pauvre Toujours thème des yeux , le peuple a un visage, une beauté, une identité. Il y a des répétition de strophes. Cres quelques vers sur la nature

la nuit flottaient sur Galgala ». (allitération en –f et en –l). II- La versification : 1/ La composition en strophe : Une strophe se définit par : - La disposition dans la page : les strophes sont séparées par des blancs - Le groupement des vers : mètres égaux ou alternance régulière des mètres - La disposition des rimes - Un strophe peut parfois être un refrain : Lorsqu’une même strophe revient régulièrement dans un poème (ou une chanson), on parle de refrain. Cette répétition a une valeur musicale