Strophe

même d'une strophe à l'autre - Pas de rimes régulièrement disposées (les strophes sont du reste des quintils, il y a donc un vers qui reste "orphelin"). Certaines rimes sont approximatives ou "osées" Ex : "que n'ai-je" - Pas de fil conducteur parfois : on cite souvent le cubisme pour donner une image du style d'Apollinaire, qui juxtapose les images (défi à l'explication "linéaire"!) Il y a même rupture dans l'écriture : ainsi on passe brusquement au "récit" au début de la dernière strophe... Remarque

prédominants. (accroche) Un hémisphère dans une chevelure est d’ailleurs la reprise d’un poème plus ancien des Fleurs du mal, « Une Chevelure ». Le poème en prose garde les mêmes thèmes (voyage, rêverie, éloge de la femme), la même construction (sept strophes pour sept paragraphes), mais se différencie de l’original par son écriture adaptée à la prose. Il n’est plus question ici d’écrire une ode, mais un texte lancinant et musical. (présentation du texte) Comment à travers un poème en prose, Baudelaire

son retour». Un autre ami, Henri Hignard, se souvint qu’il lui lut ‘’L'albatros’’ à I'hôtel Pimodan, par conséquent entre 1843 et 1846, et il ajouta qu’il avait été «composé sur Ie pont du navire en pleine mer». Et, en effet, les trois premières strophes du poème donnent bien l’impression du souvenir d’un fait vécu. Cependant, il y avait déjà eu un albatros victime de marins dans la ballade ‘’The rime of the ancient mariner’’ de Coleridge, publiée en 1798 et très goûtée à l’époque romantique.

Les rimes sont croisées et alternées féminines et masculines. - Tout au long du poème, le vin est personnifié (désigné comme une personne) car il chante et il parle. - Il est le narrateur (en "je"), le récepteur est le buveur. • Première strophe : Au vers 1, on a comme un début de texte narratif (le reste du poème est entre " ") avec un verbe à l’imparfait, qui introduit « un soir » comme si c’était un moment adéquat pour boire. Ici, c’est le vin qui parle, et il a une âme. Le vin apprécie

de trois parties - une évocation de ce que les passants pouvaient voir sur cette affiche (3 premières strophes et début de la 4ème) - un hymne à la vie écrit par Manouchian à sa bien-aimée (fin 4ème strophe et les deux suivantes) - une sorte de requiem (messe pour les morts) en l’honneur des vingt-trois fusillés pour la France (dernière strophe) Le texte s’organise autour de 7 strophes comme si elles brillaient sur un chandelier à 7 branches. Ce rapprochement avec le chiffre 7 se rapproche

d’Apollinaire se présente sous forme de 5 quintils en alexandrins, d’un vers isolé lui-même en alexandrins, d’une précision de date et de lieu et d’un acrostiche. Le poème épouse en réalité la forme d’une lettre avec son adresse (à Lou), son contenu (les 5 strophes), sa formule d’adieu (le vers isolé), sa datation et la précision du lieu, ainsi que son post-scriptum (acrostiche). Tous ces signes ancrent le poème dans la réalité de la guerre. Par ailleurs, étant donné le pressentiment funeste du texte, on peut

terrorisé le Québec. L’octobre est un poème qui n’a pas de forme fixe, c’est a vers libre et la structure est libre aussi. Il n’y a pas des rimes. Le sens du poème réside donc dans les mots choisi par Miron. Le poème est compose de six strophes, chaque strophe contiennent un différent nombre de vers. L`octobre est un mois de l`année qui est emblème de l`automne. Dans ce poème, l’octobre fonctionne comme l`image symbolique du Québec avec «les arbres en feux» comme aux couleurs rouge et oranger

deviennent universelles. -Musicalité des vers avec des allitérations en « s » vers 9 (fait penser au temps qui passe, qui se faufile), en « l » v 38 (fait penser à l'eau qui coule, sa fluidité) et le rythme est vif : notamment dans les deux premières strophes, il y a absence de points et les enjambements (3-4, 7-8) rallongent les vers. -L’obsession du temps (v 30 : temps qui fuit) avec champ lexical du temps : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité"

d'Aloysius Bertrand. Gaspard de la nuit désigne le diable. Livre 3 intitulé « la nuit et ses prestiges » D'après prologue fantaisies à la manière de Rembrandt et de Jacques Callot. Ce sont donc des ballades, poèmes de forme libre constitué de strophes, ici 5 dans un style famillier ou légendaire. 1Ére foi que l'on ente écrire poésie qui ne soit pas en vers. Publié posthume en 1828. La nuit et ses prestiges, cas ici car Ondine nymphe germanique apparaît de nuit. Tonalité ambigüe, sait pas si protectrice

La Plaine Les strophes de « La Plaine » nous font suivre le parcours d’un regard attentif aux transformations de la campagne en un espace industriel. I.) Observation des changements affectant la nature a.) Le parcours du regard Le champ de vision est d’emblée entièrement occupé par l’image de la plaine ; le titre au singulier repris en anaphore et l’énumération au pluriel des différents lieux s’étirant sur un enjambement nous font survoler la plaine dans une vision panoramique, « … avec