Structuralisme Levi Strauss

culturelle (Diffusionnisme, culturalisme, fonctionnalisme : à quoi servent les institutions (ex. prohibition de l'inceste, avec Malinovsky), structuralisme (C. Lévi-Strauss) B- Ethnologie : Chez les anglo-saxons : Equivalant à Anthropologie, Chez les Français, au début réservé à l'étude exclusive de société primitive, puis introduction par Claude Lévi-Strauss (1950) du terme d'anthropologie. Une méthode : ethnographie, enquête de terrain, immersion du chercheur C- L’Habitus : Produit d'un type

« Observateur, analyste et classificateur incomparable, Radcliffe-Brown déçoit souvent lorsqu'il se veut théoricien », écrit Lévi-Strauss dans Anthropologie structurale 1, et cette déclaration est significative des liens qui attachent, au fondateur du structuralisme, son successeur et critique le plus éminent. Il semble, à la lecture des textes consacrés par Lévi-Strauss à Radcliffe-Brown, qui s'échelonnent sur près de vingt années, que s'établissent entre les deux maîtres de l'anthropologie une

poste de professeur de sociologie à l'Université de São Paulo. C. Lévi-Strauss, qui occupait ce poste depuis 1935, s'intéressait particulièrement aux indiens d'Amazonie. Il démissionna donc fin 1937 pour aller étudier des ethnies indiennes (Nambikwara et Bororo), rentrer en France et publier ses travaux. La guerre de 1939/40 et l'invasion allemande le feront émigrer aux États Unis. R. Bastide est pressenti pour remplacer C. Lévi-Strauss. Les autorités universitaires brésiliennes souhaitent un enseignement

L’ANTHROPOLOGIE DE LA NATURE a. Constat et dépassement d’un paradoxe de départ b. Aux origines de l’anthropologie de la nature : la crise environnementale c. Reformulation théorique de l’anthropologie écologique 4. DÉCONSTRUCTION ET RECONSTRUCTION DU PROJET LÉVI-STRAUSSIEN a. Rejet de la dichotomie nature – culture b. Maintien du projet universaliste c. Question de méthode 5. ÉCLAIRCISSEMENTS THÉORIQUES a. Anthropologie de la nature et postmodernisme i. Le paradigme postmoderne ii. L’anthropologie postmoderne

imaginer l’échange individuel cela signifierai qu’il se détache du groupe. Cependant il existe un échange d’homme à homme : l’échange de femmes par les chefs de clans familiaux, les femmes font les enfants donc elles sont le lien génétique. Claude Lévi-Strauss né en 1908 a repéré des constantes : 3 types de sociétés, la société de départ a connu des changements mais ils ne changent rien. Tour d’abord les matriarcats c’est une société matrilinéaire, il y a la polyandrie les femmes ont plusieurs maris

milieu social. (Plus de choix quand on a de l’argent). La place qu’on occupe dans la société détermine le nombre de choix de l’individu. Question de la place qu’on occupe dans la société. Bourdieu va aussi essayer de dépasser le structuralisme (1960-1970). Le structuralisme vient de la linguistique : c’est la discipline scientifique qui étudie le langage. Saussure fonde la linguistique structurale. Son idée c’est que la langue est un système de signes. La signification des mots dans une phrase va être

Epreuve d’ordre général Copie (septembre 1991) note : 16/20 Faut-il respecter toutes les cultures ? Dans Tristes tropiques, avant de conclure, Lévi-Strauss se demande avec amertume si un jour « l’arc-en-ciel des cultures humaines aura fini de s’abîmer dans le vide de notre fureur », en montrant bien les méfaits de l’ethnocentrisme et du non-respect des autres cultures, des autres réseaux de règles et de valeurs avec lesquelles l’individu s’identifie. Pour éviter la destruction de cet arc-en-ciel

travers ses recherches en sémiotique (création de la sémanalyse qui est une contraction de psychanalyse et de sémiologie), Julia Kristeva a tenté de faire éclater la structure en la rendant à l’histoire, et cela à l’encontre de ce que proposait le structuralisme traditionnel.   La comparaison entre les deux dispositif théoriques est pertinente puisque Kristeva a traduit et introduit certains écrits des membres de Tartu-Moscou. Elle s’est même rendue à leur séminaire en 1969. Elle croyait trouver en

imaginaires, qui a connu depuis 1960 près d'une dizaine de rééditions. Dans Figures mythiques et visages de l'œuvre, publié d'abord en 1979, puis réédité en 1992, le philosophe grenoblois raffine sa méthode. On y trouve entre autres une critique des structuralismes formalistes, alors à la mode dans les années 70, et une démonstration du «réalisme» ou plutôt de la persistance, voire de la pérennité des figures mythiques et de la topique antagoniste des configurations structurales. Mais surtout l'ouvrage est

dans un contexte où les problèmes ont pour noms « culture », « nation », « État », et, à un autre plan, mais aussi essentiel, où des termes tels que « classes », « idéologies », « imaginaires », etc., et des théories telles que « marxisme », « structuralisme », « herméneutique », désignent les outils que nos savoirs manipulent et auxquels ils se réfèrent. Qu'est-ce qui est science, monde, philosophie, et que faire de tout cela ? Claude Savary, “La philosophie et la sociologie et leur rapport à