Style De Beckett

grossis, mais c’est pour illustrer la répression de la guerre, qui sévit alors l’époque de l’écriture de la pièce. La langue et la beauté de l’écriture sont aussi importantes : le théâtre est un genre littéraire. Exemple : époque classique où le style est très important : alexandrins, rimes… Ou dans Hernani de Victor Hugo, où le rejet d’un vers a fait scandale. Conclusion : Aujourd’hui, on voit naître de nouvelles formes de théâtre, plus sous forme de récitation : par exemple Jean-Louis Trintingnan

| Le semeur | Datation | 1888 à Arles | Dimensions | 32 x 40 | Technique | Peinture à l’huile sur toile | Genre | Paysage rural avec un semeur | Localisation | Amsterdam, Hollande, Fondation Van Gogh | Description : Ce tableau de style impressionniste est une représentation d’un paysage rural. Il est séparé en deux parties plus ou moins égales. La ligne d’horizon coupe horizontalement le tableau à la moitié. Sur cette ligne d’horizon se trouve, à droite, une maison, qui pourrait

la Tragédie est chargée de récits : les actions se passent ailleurs, à l'entracte ou dans les coulisses. Le spectateur l'apprend par les récits que font les personnages. La Tragédie doit aussi respecter la bienséance ; le langage sera noble, le style soutenu. Toute familiarité et tout comique est exclu. On ne montre pas de réalisme vulgaire, pas de duel, pas de combats ou de suicides. Le sujet doit être emprunté à la légende, l'histoire ou la Bible. Les héros doivent être des personnages d'un

presque sourd, il décide donc de se consacrer à la littérature. Il forme avec Joachim Du Bellay la Pléiade, groupe de sept poètes de la Renaissance luttant pour défendre la langue française, développer l'art poétique et enrichir le vocabulaire et le style. Il devient un des plus grands poètes de l'époque en publiant Odes. Le recueil le plus connu est « Sonnets pour Hélène ». Il est désigné comme un génie oratoire et satirique ainsi qu'un maître de la poésie lyrique et est surnommé le Prince des poètes

certaine manière que toute littérature est transpersonnelle puisqu’elle tend à déborder les frontières habituelles du moi. Toute littérature est toujours personnelle mais d’une manière différente de ce que l’on entend habituellement. L’énonciation, le style = personnels.  Les écritures qui ont rapport au moi renouvelle notre vision de ce qu’on appelle une personne. Deleuze oppose l’universel abstrait de la morale humaniste à la singularité de chaque œuvre littéraire qui est une « singularité au plus

destinataire *L’implication du destinataire par les sentiments et par le jeu des pronoms : utilisation de « on » qui peut remplacer tous les pronoms personnels sujets et qui permet à l’utilisateur de ne pas assumer son propos *L’utilisation de figures de style (métaphores, comparaisons, hyperboles) Les mouvements littéraires : Ensemble d’auteurs et d’œuvres qui présentent à une époque donnée une communauté d’idées, de pensées, une vision de l’humanité et de l’art s’appuyant sur des traits communs.

traditionnelle (un personnage parle à un autre) mais très travaillée au niveau de la langue. − Paragraphe 4, Texte D : Voix Off = énonciation moderne qui nécessite des moyens matériels modernes (texte du XXe). Effet sur le spectateur : la surprise car le style est télégraphique et très sec. On a l'impression que la voix off débite des didascalies. Décalage comique entre le ton léger et le sujet grave. Le spectateur comprend qu'il s'agit d'une parodie. Cl : 4 énonciations très variées qui montrent que

scène donne, tout de même, un corps au théâtre à travers la scénographie et le jeu des acteurs. Pour guider le réalisateur à travers la construction de sa représentation les didascalies ont l'obligation d'être présente, comme dans le texte de Samuel Beckett Oh les beaux jours oú les didascalies sont nombreuses pour nous faire visualiser le décor de la pièce très détaillé:''Willie invisible, Winnie enterrée jusqu'au cou [...] à la droite de la tête''. Parmi le monologue du personnage Winnie, les didascalies

esthétique ou documentaire (une pause). • verbes de perception (visuelle notamment) et indices spatiaux qui structurent le lieu; verbes d'état et/ou de mouvement. • champs lexicaux en rapport ou non avec le sujet décrit. • densité des figures de style (métaphores, personnifications) qui renseignent sur le degré de subjectivité de la description. REGISTRES La focalisation (qui voit ?) détermine une description objective (effet documentaire) ou subjective (présence implicite ou explicite du narrateur)

des mots (des insultes comme « pauvre folle » ou des termes réalistes comme « cracher ») s'allie au rythme emporté de ses répliques qui reposent parfois sur des anaphores (« à genoux... », « pour qui... ? »). Sa veulerie est sensible dans son style qui abonde en questions rhétoriques (et non en affirmations), qui recourt au conditionnel modalisateur (irréel du passé : « tu aurais été bannie » et irréel du présent : « on te cracherait ») ; ses formulations sont souvent indirectes, cauteleuses