Style Régence

La dénonciation de la guerre : violence destructrice et mépris des hommes. Plusieurs procédés de style sont mobilisés pour faire ressortir une double idée : la guerre tue, la guerre constitue un acte de mépris des gouvernants à l’égard des peuples. On remarque d'abord les figures d'analogie. L'expression « crachats rouges de la mitraille » combine plusieurs figures de style. Une métaphore (mitraille = crachats rouges) semble donner naissance à une autre association, complexe, qui

afin de les sortir de l’obscurantisme. - Cet extrait fait suite à la mort de la mère de Moni. (Voir les explications sur le texte). Commentaire: I. Un témoignage pathétique 1. Le début d’une descente aux enfers. - Antithèse: figure de style qui domine cet extrait, indiquant une « différence » entre les deux supérieures, et donc une dégradation: « l’une et l’autre »; « la première/celle-ci »; « La mère de Moni/la seconde, au contraire »; « règne antérieur/règne qui suit ». - Parallélismes

Dans la culture le corbeau est souvent associé à un mauvais présage, un mauvais évènement à prévoir. À la ligne 12 il illustre que la maladie est bien installée en lui, lorsqu’il écrit « Déchirant à larges coups de bec, sans quartier »,(figure de style; la métaphore) il décrit bien que le travail de destruction est bien commencé et que la fatalité de la folie est proche.(134 mots) Synthèse Il est évident que les 2 poètes ont une vision similaire de la fatalité. Chacun illustre par des métaphores

dans son poème. Les chevaliers sont en vérité les résistants et la belle à libérer est en fait la France ! Ainsi la France est représentée sous la forme d'une personne. Cette métaphore filée, ou plutôt cette personnification, est même une figure de style particulière, une allégorie. *AVEC CE POINT COMMUN : Tous les hommes fusillés de la dédicace (Péri, d'Estienne d'Orves, Môquet et Dru) ont pour point commun la lutte pour la liberté de leur pays. Pourtant on peut les distinguer selon leurs convictions :

La mort et le tragique → Termes préparent fin : 'cache-mort, fusillé, face camarde du spectre'. Mort attendue → Chanson interrompue, préd réalisée 'tombé par terre'. Mort digne, un bras en l'air et 2 balles pour l'achever. Figures de style atténuent le pathétique. Conclusion : Hugo fait mourir son personnage favori en plaisanteries et en chansons, il alterne plaisanteries, pauses et vitesse de Gavroche, transfigure la mort de ce gamin de Paris. Aujourd'hui encore le mot Gavroche est

mon tombeau » Hyperbole : Le janséniste exagère également la vue de la prison et de l’enfermement en la comparant à la mort. « le désir d’ouvrir son cœur et de déposer le fardeau qui l’accablait » Métaphore : Voltaire emploie cette figure de style pour traduire le chagrin de l’Ingénu et son envie de se confesser. « Il faut, dit le janséniste au Huron, que Dieu ait de grands desseins sur vous, […] je crois que le diable s’est mêlé seul de ma destinée. » Antithèse : L’auteur oppose le bien

FIGURE DE STYLE: ALLEGORIE n.f. Personnification d'une idée abstraite ex: - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine : Cassandre sous son Capuce ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers ex: - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits ANTITHESE n.f. 2 termes de

| | |LES REGISTRES LITTERAIRES ou TONALITES | |« attitudes qui correspondent à des façons fondamentales de ressentir »

personnalisé par cette dormeuse, ce n’est qu’un retrait qui est équivalent à un changement d’ongle de vision, aussi c’est l’élargissement d’une inspiration pour évaluer ses idées et les renouveler. L’emploi abandant de style de figures dans le poème ayant rapport à l’âme fait paraitre sa puissance et sa sainteté avec une gradation tel que : le feu, brulé, chaleur, rayonnement, mais en mettant un point d’interrogation d’un autre coté sur cette même âme, ce qui provoque

En outre, il peut aussi utiliser un style ampoulé comme aux lignes 22-23 (« Un pauvre homme de bien est traité comme un misérable.»). L’opposition des termes « homme de bien » et « misérable » relève de l’antithèse. Le contraste sémantique entre les items provoque ici une accentuation du propos. D’ailleurs, cette accentuation est renforcée par l’utilisation de l’adjectif qualificatif épithète antéposé « pauvre ». Cette réplique qui, enrichie de figures de style qui mettent l’accent sur le fait que