Style tintinnabuli

situation, une personne sans la nommer (un fait historique, un mot célèbre, un texte fameux). Pour l’interrogation: Donner les termes de l’ellipse et expliquer à quoi fait référence l’allusion. II. LES FIGURES DE CONTRASTE RAPPEL : figures de style = procédé d’expression qui s’écarte de l’usage ordinaire de la langue et donne une expressivité particulière au propos. Permettent de mettre en regard deux réalités, deux idées, pour les opposer et ainsi leur donner plus de force. CONTRASTE : Opposition

certains grands courants ; par exemple : le Romantisme, le Surréalisme… 2-2- sur quelques auteurs importants étudiés en classe 3- de connaître un minimum de vocabulaire : 3-1- en vue de l’analyse littéraire ; par exemple : registres, figures de style, versification… 3-2- en vue de l’analyse de l’image (qu’elle soit publicitaire, picturale ou cinématographique)   LECTURE ANALYTIQUE : questionner le texte D’abord questionner le texte de façon stricte et méthodique | pour l’expliquer, c’est-à-dire

courtisans :   Personnages : lion brutale et injuste   Utilisation de modélisateurs / de verbes d’actions qui expriment la brutalité (« dévorer »)   Nombre de vers consacrés au Roi important   Courtisans : rhétorique, pouvoir de la parole, figure de style, énonciation (pas à la première personne)   Certains ne font pas de confession : le renard   La justice :   Vocabulaire de la justice   Scène représentant le tribunal (défilé à la barre des animaux)   Solennité de la scène : vocabulaire

route, un sentiment de « rancune jalouse » en vers Mouret, qui ne parvient pas à arrêter sa soif d’achats. Quoiqu’il ne soit pas écrit en vers et qu’il ne comporte pas de rimes, Zola donne une teinte poétique au texte. Il emploie des figures de style et du vocabulaire esthétique et il suit le champ lexical du blanc. Les figues rhétoriques sont présentes en très grandes quantités, celles-ci sont des outils indispensables à la poésie, on relève essentiellement des hyperboles qui servent à amplifier

éléments (figures de style, registre, métrique, etc.), éparses dans l'œuvre, soient rassemblés, elle nous offre une compréhension globale d'une intention d'auteur. Cependant nous pouvons nous interroger : sous l'angle d'une problématique contemporaine, ne pouvons-nous pas y voir des informations nouvelles? De plus, produire une interprétation, la publier, n'est-ce pas là une manière de transmettre un savoir? Est-il possible, lors d'une lecture littéraire, de constater une figure de style ou encore de faire

L'aveu de Phèdre est donc incompréhensible parce qu'il est un discours à double sens dans lequel, pour faire le portrait de l'aimé, elle mêle la figure du père à celle du fils. En effet, un même amour l'unit à l'un et à l'autre et la confusion des deux figures entraîne une reconstruction du passé. De Thésée à Hippolyte, c'est d'un même amour que se réclame Phèdre. Sa déclaration initiale, "je l'aime", est aussitôt nuancée par la comparaison qu'elle établit entre le père et le fils. En effet, niant

de ce thème est surtout situé dans les trois derniers vers. Le « fier dédain » (vers 12), dont la femme aimée de Ronsard fait preuve, sera sujet d’un grand regret plus tard quand elle sera vieille et seule. Il s’agit aussi de la première figure de style de ce thème, plus précisément d’une personnification. « N’attendez » (vers 13) : exprime un avertissement tel que « n’attendez » pas que votre chance soit passée. « Aujourd’hui » (vers 14) n’arrivera qu’une seule fois, donc afin de ne pas regretter

tiendra à l'univers romanesque. Au départ, elle servait à montrer que l'écrivain maîtrisait un certain savoir-faire ; comme le peintre qui maîtrise l'utilisation de son pinceau, le romancier sait se servir des outils de la rhétorique : les figures de style, les images, les métaphores et comparaisons, etc... Le romancier rivalise avec l'artiste peintre. La fonction de la description se voulait ornementale. Puis, à partir du XVIIIème siècle, et surtout au XIXème siècle, la description affiche ouvertement

des lignes 15 à 18. 6. Pourquoi, avant le début du second repas, le second cuisinier est-il dans une position moins favorable que le premier ? 7. a) «La finesse, l’originalité, la richesse et la succulence des plats» (ligne 15) : quelle figure de style est ici employée et dans quelle intention ? b) Relevez une série d’adjectifs qualifiant un plat du deuxième repas. Que constatez-vous ? 8. Le second banquet joue-t-il le rôle attendu ? Justifiez votre réponse. III. Réactions des convives et du calife

douleurs sont augmentées par ce désir de mort. Conclusion : Dans ce poème, Baudelaire fait se croiser les douleurs physique et morale, l’une entraînant l’autre et vice versa. Ces douleurs sont évoquées indirectement grâce à de nombreuses figures de style : champs lexicaux de la prison et de la douleur, allitérations en «r» et en «s», comparaison, images chocs (le corbillard dans le silence = une libération), ainsi qu’une gradation de la chute de l’espoir. Ces procédés font de ce poème une définition