Stéréotype Italien Le Patriotisme

son retour sur la scène Européenne. C'est au XVème siècle que se développe l'état monarchique moderne par les royaumes d'Espagne et de France. D'un point de vu commercial les villes de la Flandre se développent considérablement et les cité-états italiennes deviennent les grandes places marchandes du Sud. Se développe par le retour de paix un foisonnement des échanges artistiques. La Renaissance elle tient en un retour à une grandeur passée dont Florence est le fer de lance. Ce renouveau artistique

de ports et de capitales politique sans cesse parcourus (de transferts de fonds, d'échange de marchandises, de déplacements de marchands). Dans cette Europe marchande, les villes jouaient un rôle nodal essentiel : les grandes sociétés familiales italiennes, suisses et allemandes entretenaient succursales, facteurs et correspondants dans les principales d'entre elles. Le XVIIIe vit la reconversion du textile régional de la laine vers la soie, Nîmes jouant un rôle moteur dans ce processus. Aucun partage

Mais il n’est pas sans intérêt de préciser en quoi il en diffère, pour le mettre à sa vraie place dans la littérature dramatique du Grand Siècle. La comédie française du XVIIe siècle, qui va chercher ses sources d’inspiration dans la comédie italienne et peut-être encore davantage dans la comédie espagnole, est essentiellement une comédie romanesque, aux péripéties multiples et inattendues, dont l’intrigue souvent compliquée est le seul ressort comique. Le public ne lui demande qu’un divertissement

son corps, sur l'autel, par celui d'une jeune biche (ce qui n’eût guère paru crédible dans la mythologie). Ainsi, le personnage le plus fort moralement n'y est pas Agamemnon, chef pusillanime, mais Iphigénie, qui pousse le respect filial et le patriotisme jusqu'à accepter la mort. Dans ‘’lphigénie en Tauride’’, Iphigénie, devenue prêtresse d'Artémis et installée en Tauride, épargne à son frère, Oreste, d'être lui-même immolé. Par rapport à la mythologie ou à ses deux prédécesseurs, Euripide dépeignit

son corps, sur l'autel, par celui d'une jeune biche (ce qui n’eût guère paru crédible dans la mythologie). Ainsi, le personnage le plus fort moralement n'y est pas Agamemnon, chef pusillanime, mais Iphigénie, qui pousse le respect filial et le patriotisme jusqu'à accepter la mort. Dans ‘’lphigénie en Tauride’’, Iphigénie, devenue prêtresse d'Artémis et installée en Tauride, épargne à son frère, Oreste, d'être lui-même immolé. Par rapport à la mythologie ou à ses deux prédécesseurs, Euripide dépeignit

son corps, sur l'autel, par celui d'une jeune biche (ce qui n’eût guère paru crédible dans la mythologie). Ainsi, le personnage le plus fort moralement n'y est pas Agamemnon, chef pusillanime, mais Iphigénie, qui pousse le respect filial et le patriotisme jusqu'à accepter la mort. Dans ‘ ’lphigénie en Tauride ’’, Iphigénie, devenue prêtresse d'Artémis et installée en Tauride, épargne à son frère, Oreste, d'être lui-même immolé. Par rapport à la mythologie

son corps, sur l'autel, par celui d'une jeune biche (ce qui n’eût guère paru crédible dans la mythologie). Ainsi, le personnage le plus fort moralement n'y est pas Agamemnon, chef pusillanime, mais Iphigénie, qui pousse le respect filial et le patriotisme jusqu'à accepter la mort. Dans ‘’lphigénie en Tauride’’, Iphigénie, devenue prêtresse d'Artémis et installée en Tauride, épargne à son frère, Oreste, d'être lui-même immolé. Par rapport à la mythologie ou à ses deux prédécesseurs, Euripide dépeignit

amoral. L’État, c’est mal. C’est le mensonge, la dissimulation, le machiavélisme. On comparait : chez nous, l’État est au contraire l’incarnation sacrée du bien. De l’intérêt général. Il protège nos libertés contre l’Église et les féodaux. Les Italiens nous ont enseigné à la Renaissance les rudiments du machiavélisme politique. Louis XIV jeune a été à l’école de Mazarin ; et toute la France avec lui. Le mensonge d’État n’est pas une tare pour les Français s’il sert le bien commun. Au commencement

Seuil, 1988 • L’immigration Ralph Schor, Histoire de l’immigration en France, de la fin du XIXe siècle à nos jours, Armand Colin, 1996 Gérard Noiriel, Le Creuset français, Histoire de l’immigration, XIXe- XXe siècles, Hachette, 1988 ; Le Massacre des Italiens, Aigues Mortes, 17 août 1893, Fayard, 2010 CHAPITRE 1 Croissance et mondialisation (depuis 1850) Après avoir présenté les tendances sur le long terme de la croissance économique (leçon  1, p. 20-21), le chapitre suit l’évolution de l’économie-monde

Seuil, 1988 • L’immigration Ralph Schor, Histoire de l’immigration en France, de la fin du XIXe siècle à nos jours, Armand Colin, 1996 Gérard Noiriel, Le Creuset français, Histoire de l’immigration, XIXe- XXe siècles, Hachette, 1988 ; Le Massacre des Italiens, Aigues Mortes, 17 août 1893, Fayard, 2010 3 CHAPITRE 1 Croissance et mondialisation (depuis 1850) Après avoir présenté les tendances sur le long terme de la croissance économique (leçon  1, p. 20-21), le chapitre suit l’évolution de l’économie-monde