Suaire

chasser les lapins Le vent faisait danser en rond tous les sapins Lotte l'amour rend triste - Ilse la vie est douce La nuit tombait Les vignobles aux ceps tordus Devenaient dans l'obscurité des ossuaires En neige et repliés gisaient là des suaires Et des chiens aboyaient aux passants morfondus Il est mort écoutez La cloche de l'église Sonnait tout doucement la mort du sacristain Lise il faut attiser le poêle qui s'éteint Les femmes se signaient dans la nuit indécise Apollinaire, «

Jérusalem céleste. Les couleurs des ailes de l’ange font allusion à l’arc-en-ciel, reliant le monde céleste au monde terrestre, image de l’alliance entre Dieu et les hommes. L’Enfant, nu et potelé, est assis sur un petit linge blanc (– évocation du suaire –) posé sur les genoux de la Vierge, tient le globe de cristal surmonté d’une croix orfévrée. C’est l’emblème du double pouvoir, spirituel (– la croix du Christ –) et temporel (– le globe –), symbolisant l’univers. Le cristal est une référence à

d’une poitrine séduisante qui contraste avec l’aspect terrible de sa plaie ouverte. Elle veut montrer qu’elle reste femme malgré tout. Enfin, le drap blanc qu’elle porte autour des hanches fait penser au saint suaire que le Christ portait sur le chemin du calvaire et qui fut attaché à la croix avec des clous semblables à ceux qui transpercent Fri Atteinte de poliomyélite à l’âge de 10 ans puis victime d’un très grave

seins nus. Elle s'est représentée dotée d'une poitrine séduisante qui contraste avec l'aspect terrible de sa plaie ouverte. Elle veut montrer qu'elle reste femme malgré tout. Enfin, le drap blanc qu'elle porte autour des hanches fait penser au saint suaire que le Christ portait sur le chemin du calvaire et qui fut attaché à la croix avec des clous semblables à ceux qui transpercent Frida. 

Les oiseaux du souci Pluie de plumes plumes de pluie Celle qui vous aimait n'est plus Plumes de pluie pluie de plumes Depuis que tu n'es plus je ne sais plus Je ne sais plus où j'en suis Je ne sais plus que faire Pluie de plumes plumes de pluie Suaire de pluie pluie de suie Plumes de suie... Allez ouste dehors hirondelles Quittez vos nids... Hein? Quoi? Ce n'est pas la saisondes voyages?... Je m'en moque sortez de cette chambre hirondelles du matin Hirondelles du soir partez... Où? Hein? Alors

et l’amertume. La huitième strophe ne donne la parole qu’au narrateur et ne montre que le monde extérieur, la venue de la nuit et la présence de la neige rendant la nature sévère et même funèbre avec des mots tels que «ossuaires», «gisaient», «suaires», «morfondus».   La dernière strophe confirme cette impression. Le sacristain «moribond» du vers 11 est «mort», mot qui est répété un peu inutilement. Contre la mort du sacristain, ou de tout humain, qui est éternelle, le feu peut être ranimé, et

septième personnage annoncé dans le poème est le sacristain, sachant que 7 est un chiffre maudit pour Apollinaire le sacristain soit sourd boiteux et moribond est sacrifié. On remarque une nature sévère et funèbre avec tels que ossuaire, gisaient, suaires et morfondus. La dernière strophe confirme cette impression. Le dernier thème est la résistance de l’humain sur ce qui l’entoure par exemple le feu peut être ranimé et on peut se prémunir du froid et se réfugier dans le geste religieux qui apparait

est mise en valeur par ses seins nus. Elle s'est représentée dotée d'une poitrine séduisante qui contraste avec l'aspect terrible de sa plaie ouverte. Elle femme malgré tout. Enfin, le drap blanc qu'elle porte autour des hanches fait penser au saint suaire ( le drap ) que Jésus Christ portait quand il a été crucifié il a attaché à la croix avec des clous semblables à ceux qui transpercent Frida. Conclusion : Pour conclure nous pouvons dire qu'a travers tous les instrument de torture entre guillemet

passé : « on ait aimé » au vers 13, « emporta » au vers 16, « furent » au vers 17. On peut noter que Victor Hugo associe des termes naturels à des adjectifs appartenant à la mort comme, par exemple, la métaphore du premier vers « L’étang mystérieux, suaire aux blanches moires ». En procédant ainsi, Victor Hugo donne l’illusion d’une mort associée à la nature, ce qui peut-être perçu comme une antithèse, étant donné que la nature est vivante et la mort est sont opposé. Considérons maintenant la place

1, 5). Toute cette neige, Voile froid de la terre au suaire pareil. L'Année Le ciel faisait sans bruit Pour cette avec la terrible, 16 (Prologue) neige épaisse immense armée un immense linceul. Les Châtiments, 274 (V, xm, Ils gisent dans le champ 1). terrible et solitaire... La neige les modèle avec son linceul blanc. U Année terrible, 119 [Décembre, vin). La neige nous avait tous couverts en silence D'un suaire, et j'y fis en me La Légende des 3. Les Misérables, V