Subjectivité Chez Proust

du duc de Berry occupe une demi-page (qqs minutes), autant que l’’espace accordé au récit du mariage en lui-même (plusieurs heures) => opposition temps réel/temps vécu, dvlpmnt est bcp + important que la conclusion, et c’est par la subjectivité de l’auteur que le récit est mené2) Qui est le héros de l'Intrigue?- avec titre, identité du héros au départ limpide, il est au cœur des tractations => mais au final, assez peu présent et subit surtout les manipulations- concrètement, 3 persos

intuitions ; mais c’est l’entendement qui pense ces objets et c’est de lui que naissent les concepts. Et il faut que toute pensée, soit en ligne droite (directe), soit par détours (indirecte), se rapporte finalement à des intuitions, par conséquent, chez nous, à la sensibilité, parce que nul objet ne peut nous être donné d’une autre façon. L’impression d’un objet sur la faculté représentative, en tant que nous en sommes affectés, est la sensation, et l’intuition qui se rapporte à l’objet au moyen de

insaisissable de cette réalité (fuyante et ineffable), ainsi que les moyens proposés par les trois auteurs pour exprimer les tentatives de sa maîtrise, de même que celles qui cherchent à mettre en évidence les possibilités de l’expression littéraire (chez « un romancier hardi »4) de la complexité du temps vécu dans la conscience des personnages. A- Le temps vécu dans les œuvres I- Bergson, Essai sur les données immédiates de la conscience : Présentation analytique du chapitre II : (Voir

1973, Jean-Lou Tournay enseigne la philosophie au lycée d'Issoudun. 2 rue des minimes, 36100 ISSOUDUN, 02.54.03.26.69 jl.tournay@wanadoo.fr Merleau-Ponty n’a jamais véritablement écrit sur la photographie. Une telle absence peut paraître paradoxale chez un penseur qui interrogea tout au long de son oeuvre le problème de la perception (et en particulier celui de la vision), reprenant sans cesse et à nouveaux frais une méditation par laquelle il espérait pouvoir percer toujours davantage le mystère

Dieu est un grand artisan qui a fabriqué l'homme en l'occurrence mais contrairement à cela, Sartre pense que Dieu n’existe pas, il n’y a donc pas de nature humaine mais une liberté telle que l’homme est tel qu’il se veut. C’est ce qu’il appelle la subjectivité. Il y a aussi une profonde angoisse face à l’engagement de ce que l’on choisit d'être ; cette angoisse est liée à la prise de conscience de sa profonde responsabilité. Sartre pense profondément que nous devons tous être engagés. L’étude de l’engagement

________________________________________________________ 37 Synesthésie et significat ion des sensations (Kandinsky) _____________________________________37 Un souvenir d’enfance de Léonard de Vinci (Freud) ________________________________________38 Sensibilité et résonance (Proust) _______________________________________________________39 Le rire ____________________________________________________________ ______________39 Autres thèses ____________________________________________________________ _________39 Illustrations

entendu, ce monde est parfaitement optimal  mais, en l’absence de monnaie, d’accumulation du capital et d’une production diversifiée, on finit par s’y ennuyer ferme et la population aspire à du neuf. L’économiste Jim Happystone est envoyé par le MIT chez les Toambapiks afin de leur proposer un bouquet de réformes libérales destinées à combler leurs attentes. Au début tout va bien, mais le pays connaît par la suite une série de déséquilibres auxquels les manuels n’ont pas préparé l’économiste : disparition

. .(« . . l’étonna . . . . . . . . . . . ») ..... de . . . . . .découvrir . . . . . . . . . . . .la . . .situation . . . . . . . . . . .à . . .partir . . . . . . . de . . . .sa ....... font ..................................................... subjectivité. 2. Pourquoi le narrateur feint-il de ne pas tout connaître de l’histoire ? . . . commentaire . . . . . . . . . . . . . . . . . du . . . . narrateur, . . . . . . . . . . . . . que . . . . . le ........... Le . . . . . . . . . . .des . . . . .temps

impression. Les choses ont autant de vie que les hommes , car c'est le raisonnement qui après coup assigne à tout phénomène visuel des causes extérieures , mais dans l'impression première que nous recevons cette cause n'est pas impliquée". " Marcel Proust, janvier 1920.   " L'histoire que Flaubert nous raconte est celle de la médiocrité ; et cette déception que nous éprouvons , c'est le moment où nous découvrons que le réel est aussi le médiocre , l'ennui. mais c'est aussi ce que nous rêvons d'abord

rêve que chacun porte en soi n Une ambiguïté dans l’intitulé Les étudiants peuvent être facilement tentés d’opposer à l’objectivité absolue de la synthèse, qui refuse tout élément ressemblant à un jugement ou à une prise de position, une subjectivité donnant soudain le droit de tout dire sur le thème abordé par le sujet. C’est ce à quoi semble inviter l’adjectif « personnelle ». La synthèse est frustrante sur le plan de l’expression subjective : l’écriture personnelle peut à l’inverse être