Sujet

Sujet : Pensez-vous que la télévision propose une image objective de la réalité ? Trouvez des arguments et des exemples pour répondre à cette question. Choisissez un de ces arguments et rédigez un paragraphe où vous le développerez avec exemples à l’appui. La télé et la réalité sont deux mondes qui ne vont pas ensembles. Les gens ne pourraient se passer de télévision. La télé ne représente qu’une certaine réalité. Dans les journaux télévisés quotidiens, les seuls événements réels dont ils nous

s’oppose-t-elle pas à la réalité qui est plus concrète ? En effet, les produits de notre pensée, de notre imaginaire, ne peuvent correspondre à la réalité hors de notre esprit. La pensée s’oppose-t-elle nécessairement à la réalité ? Dans ce sujet, « pensée » et « réalité » possèdent toutes deux un sens subjectif car chacun a sa pensée, sa réalité vécue. Afin de déterminer le rapport entre pensée et réalité il faut dégager un sens plus objectif de ces deux termes. On peut cependant distinguer

mécanismes et des instincts. Grâce à la conscience, l’homme peut espérer : Agir de manière libre Se construire une histoire L’homme pense et sait qu’il pense  cogito ergo sum : « Je pense donc je suis » Descartes. L’homme se reconnaît comme un ● sujet = un être qui connaît ≠ un ● objet = la chose qu’il connaît. La conscience peut être un fardeau : l’homme vit avec ses souvenirs et comme il ne peut oublier, il connait l’expérience douloureuse du remords ou le regret nostalgique de sa vie passée

Kant montrer que l'on pense à partir du moment où l'on a la capacité de prononcer le Je, comme l'enfant qui au départ emploie la troisième personne, et se confond avec toute chose que l'entoure, ce qui lui est extérieur. Le Je assure l'apparition du sujet en tant que tel donc l'enfant se pense et pense le monde lorsqu'il dis Je. Kant montre qu'il y a là un passage décisif, celui du sentiment de soi à la conscience de soi, et une fois que l'on dit Je il n'y a pas de retour en arrière possible.

Résumé Plan détaillé de dissertation de Philosophie (bac +2) ayant pour sujet : "Peut-on penser par soi-même sans se soucier de ce que pensent les autres ?". Nous croyons penser par nous-mêmes, mais est-ce le cas ? Ne sommes-nous pas soucieux du regard des autres ? Dans ce cas, pensons-nous vraiment de façon indépendante, ou alors seulement en fonction de l'opinion des autres ? Extrait: Un homme qui pense est un homme qui réfléchit et qui cherche des réponses, qui se construit des opinions

Disserte en dix phrases Sujet posé 1- La maladie de Chloé est liée à la perte de la liberté du personnage principal. Idée principale 2 2- Vian critique cette perte de la liberté en nous démontrant que Colin fait face à des réalités puisqu’il doit affronter la misère que la maladie lui inflige. 1ere idée secondaire 3- La première réalité à laquelle Colin fait face est la mort. Même s’il met de l’effort à sauver Chloé, elle fini tout de même par mourir. 2e idée secondaire 4-

dans notre intimité –étalé à la vue de tous- notamment grâce ou plutôt à cause des réseaux sociaux. Il n’est en effet pas rare qu’un employeur demande à un candidat s’il est inscrit sur un réseau social. Toutes ces obligations peuvent contraindre le sujet jusqu’à ce que celui-ci ne se reconnaisse même plus. De plus nous ne pouvons pas avoir tous ce que nous désirons. Au fur et à mesure que nous avançons sur le chemin de la vie nous devons faire des choix et les assumer. Parfois nous faisons de mauvais

Définition: être : Du latin esse, « être ». 1) Verbe : exister, se trouver là. En logique, copule exprimant la relation qui unit le prédicat au sujet (exemple : l'homme est mortel). 2) Nom : ce qui est, l'étant. 3) Le fait d'être (par opposition à ce qui est, l'étant). 4) Ce qu'est une chose, son essence (exemple : l'être de l'homme). 5) Avec une majuscule (l'Être), l'être absolu, l'être parfait, Dieu. Problématique: Le don est-il une condition nécessaire et suffisante pour être un artiste

immédiatement, dans ce qui s'offre à lui extérieurement. Il y parvient en changeant les choses extérieures, qu’il marque du sceau de son intériorité et dans lesquels il neretrouve que ses propres déterminations. L'homme agit ainsi, de par sa liberté de sujet, pour ôter au monde son caractère farouchement étranger et pour ne jouir des choses que parce- qu'il y trouve une forme extérieure de sa propre réalité. Ce besoin de modifier les choses extérieures est déjà inscrit dans les premiers penchants de l’enfant;

l’homme a à sa disposition est de transformer autrui, à son tour, en objet. Il faut se délivrer d’autrui, lui échapper pour se réapproprier soi-même et le monde qu’autrui lui vole. La conscience invente ce subterfuge pour continuer à exister en tant que sujet. Or autrui tente de résister à cette tentative de subordination. Ce qui ouvre une véritable lutte des consciences, dans laquelle je ne peux être reconnu par autrui que si je parviens à l’objectiver. Sartre a donc une vision conflictuelle des relations