Sully Prudhomme

déplacée dans le domaine plus incertain de la chanson. 1. Les héritiers Le début du siècle montre une grande diversité avec les héritages du siècle précédent, qu’il s’agisse de la continuité du mouvement symboliste et décadentiste avec Sully Prudhomme, Saint-Pol-Roux, Anna de Noailles et certains aspects d’Apollinaire, de la lignée de la cérébralité et du travail formel mallarméen avec Paul Valéry (Charmes, 1929), ou encore de la libération des thèmes nouveaux comme l’humilité du quotidien

CHARLES BAUDELAIRE ­ LA BIOGRAPHIE DÉTAILLÉE GÉRARD DE NERVAL (1808­1855) ALFRED DE MUSSET (1810­1857) Charles Baudelaire : Jeunesse et débuts littéraires THÉOPHILE GAUTIER (1811­1872) CHARLES BAUDELAIRE (1821­1867) T. DE BANVILLE (1823­1891) SULLY PRUDHOMME (1839­1907) STÉPHANE MALLARMÉ (1842­1898) FRANÇOIS COPPÉE (1842­1908) PAUL VERLAINE (1844­1896) NÉRÉE BEAUCHEMIN (1850­1931) ARTHUR RIMBAUD (1854­1891) RAINER MARIA RILKE (1875­1926) G. APOLLINAIRE (1880­1918) JULES SUPERVIELLE (1884­1960) ANTONIN ARTAUD (1896­1948)

parnasse est un mouvement littéraire poétique apparu à la deuxième moitié du XIXème siècle. Ce mouvement littéraire se considère plus sérieux que le romantisme, il refuse le lyrisme et l‘effusion du « moi »  . Ce courant regroupe des poètes comme Sully Prudhomme, Heredia, Théodore De Banville, François Coppée, auxquels se joignent parfois Baudelaire, Verlaine ou Mallarmé. Ces poètes sont parfois considérés comme des néo-romantiques. Ils n’acceptent pas la prose et leurs principes communs tournent autour

de publications célèbrent ainsi les héros de 20 ans, tandis que d’autres cherchent à décrire ce qu’étaient Corneille, Molière ou Hugo à vingt ans. Les productions culturelles plus légitimes ne démentent pas cette impression : c’est Ronsard ou Sully Prudhomme, deux avatars du « Prince des Poètes », qui s’interrogent sur leur jeunesse, et, singulièrement, sur les/leurs 20 ans – ce que feront bien d’autres amateurs de poésie. C’est Alexandre Dumas qui publie en 1850 La Vie à vingt ans – qui suit d’ailleurs

l'ampleur du verset (Cinq Grandes Odes, 1904 - 1908 - 1910) [4] . Émile Verhaeren Les débuts du siècle montre une grande diversité avec les héritages du siècle précédent, qu'il s’agisse de la continuité du mouvement symboliste et décadentiste avec Sully Prudhomme, Saint-Pol-Roux, Anna de Noailles et certains aspects d’Apollinaire, de la lignée de la cérébralité et du travail formel mallarméen avec Paul Valéry C'est aussi le temps des « découvreurs[5] » comme Blaise Cendrars (Les Pâques à New York, 1912

de suite ces poètes qui se reconnaissent dans leur réaction contre le Romantisme. D'abord groupés autour de Théophile Gautier,  il se réunissent le samedi soir chez Leconte de Lisle ou José-Maria de Hérédia : Banville, Villiers de l’Isle-Adam, Sully Prudhomme, François Coppée apparaissent comme les plus représentatifs. À l'épanchement personnel, les Parnassiens opposent un souci d'impersonnalité qui leur fait fuir les facilités du lyrisme. Leurs métaphores, constamment empruntées au domaine de la sculpture

- Simenot - Simrock - Sivry - Skitalets - Socrate - Fédor Sologoub - Vladimir A. Sollogoub - Somadeva - Sophocle - Soulié - Souvestre - Spinoza - Sponde - Spyri - Staël - Steinmann - Stendhal - Stevenson - Stirner - Strentz - Sue - Suétone - Sully Prudhomme - Sulte - Swift - Tacite - Taine - Tallemant des Réaux - Tavan - Tchekhov - Tennyson - Termier - Théocrite - Théophraste - Sainte Thérèse d'Avila - Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus - Theuriet - Thilda - Thoreau - Tibulle - Tillier - Tocqueville

de suite ces poètes qui se reconnaissent dans leur réaction contre le Romantisme. D'abord groupés autour de Théophile Gautier,  il se réunissent le samedi soir chez Leconte de Lisle ou José-Maria de Hérédia : Banville, Villiers de l’Isle-Adam, Sully Prudhomme, François Coppée apparaissent comme les plus représentatifs. À l'épanchement personnel, les Parnassiens opposent un souci d'impersonnalité qui leur fait fuir les facilités du lyrisme. Leurs métaphores, constamment empruntées au domaine de la sculpture

rendu à la perfection formelle. - Description souvent exotique ou antique. - Théorie de « l’Art pour l’Art » - 5 Auteurs majeurs: - Théodore de Banville (1823 – 1891) - Théophile Gautier (1811 – 1872) - Leconte de Lisle (1818 – 1894) - Sully Prudhomme (1839 – 1907) - José-Maria de Heredia (1842 – 1805) - Deux textes majeurs => La ville enchantée , poème de De Banville appartenant aux recueils des Odes Funambulesques qui le font être « un poète du bonheur ». Le Vase brisé, élégante

par une grande partie des élites. Cette lettre est signée par un certain nombre de grands noms du domaine des arts et des lettres français, notamment Charles Gounod, Guy de Maupassant, Alexandre Dumas fils, François Coppée, Leconte de Lisle, Sully Prudhomme, William Bouguereau, Ernest Meissonier, Victorien Sardou, Charles Garnier… La lettre est adressée au directeur des travaux de l’exposition universelle, M. Alphand, même si sa publication dans Le Temps montre la volonté de rallier l’ensemble du