Supériorité D Une Civilisation Sur Une Autre

ainsi une quarantaine d’autre Yahoo à entourer Gulliver. Il craint qu’il allait mourir jusqu’à ce que les Yahoos fuissent soudainement à cause d’un cheval gris venant vers eux. Le cheval s’intéresse à Gulliver et tourne autour de lui jusqu’à ce qu’un autre cheval le rejoigne. L’auteur observe leur comportement, et leur hennissements l’un à l’autre semblent presque comme une langue. Gulliver entend le mot Yahoo plusieurs fois et le répète à la grande surprise des deux chevaux. Ils apprennent alors le

Augustus et fait un geste capital en imposant des insignes impériaux. La reconnaissance par les peuples germains de la romanité. C’est le début du Moyen Age (qui a duré 1000 ans). Cette période est marqué par la rencontre de la civilisation germanique et la civilisation romaine. Elles ne se sont pas anéanties, mais ont fusionné. ( Origine des grands Etats Européens. Le territoire sur lequel se sont installés les germains, la Gaulle, se caractérise par un morcellement politique avec l’émergence

favorable à la croissance économique et au développement ? Le libre-échange repose sur une théorie formulée par D. Ricardo (économiste classique du XVIIIe siècle) : la théorie des avantages comparatifs. Que dit cette théorie ? Ricardo démontre la supériorité économique de la division internationale du travail, et donc l’intérêt pour chaque pays de participer aux échanges internationaux. Exercice 3 Document 7 La théorie des avantages comparatifs de Ricardo « L’Angleterre peut se trouver dans

également le capitalisme. En effet, ils rendent l’homme malheureux car ils engendrent l’inégalité et la misère. Selon Rousseau, la propriété est aussi source d’esclavage. Pour lui, l’égalité disparue lorsque qu’un homme eut besoin du secours d’un autre, que l’homme comprit qu’il était utile d’avoir plus de provisions que nécessaires, donc lorsque la propriété s’introduisit. Ainsi, Rousseau considère que le progrès rend l’homme mou, craintif. Il trouve que l’homme n’est plus aussi robuste qu’autre

La Troisième République a été fondée en réaction contre le second Empire, elle continue sur bien des plans l'Empire de Napoléon III. Comme ce dernier, elle est portée par la vague du progrès scientifique et technique et par l'avènement d'une civilisation industrielle en croissance. Jusqu'en 1914, la France est dans une bonne situation financière, elle prête à tout le monde. Le développement industriel, même si il aurait pu prendre plus d'ampleur, a connu une croissance honorable : entre 1869 et

bonté ou une rectitude morale dont il n'a de toute manière pas conscience. Bien que caricaturale, cette opposition a été considérée comme vraie pendant une longue période, notamment pendant les Lumières et la colonisation. De nos jours, parler de supériorité serait déplacé, mais il faut admettre une réelle différence entre l'Homme éduqué et instruit et l'Homme ignorant. Cette différence est due à l'éducation dont a bénéficié l'Homme cultivé. Diderot dira, dans son Encyclopédie: "nos neveux, devenant

au même titre que les mauvaises caractéristiques, partie de l’organisation perceptive raciste » [17]. La phrase « Les Noirs courent vite » constitue ainsi un énoncé raciste malgré son apparence méliorative. Le discours raciste peut évoquer la supériorité physique des groupes visés (ainsi la vigueur ou la sensualité des Noirs) pour souligner par contraste leur infériorité intellectuelle. Les qualités qui leur sont attribuées (l’habileté financière des Juifs par exemple) sont la contrepartie de leur

Quelquefois, les coiffures montent insensiblement, et une révolution les fait descendre tout à coup. Il a été un temps que leur hauteur immense mettait le visage 15 d’une femme au milieu d’elle-même. Dans un autre, c’étaient les pieds qui occupaient cette place : les talons faisaient un piédestal qui les tenait en l’air. Qui pourrait le croire ? Les architectes ont été souvent obligés de hausser, de baisser et d’élargir leurs portes

COLONISATION ET INDEPENDANCE LA COLONISATION EUROPEENNE ET LE SYSTEME COLONIAL La deuxième partie du XIXème siècle est marquée par une course à la colonisation (processus d'occupation puis d'exploitation d'un pays, d’un territoire au profit d'un autre) menée essentiellement par la Grande-Bretagne et la France. L’Europe domine le monde et assume sa le fameux « »1 si cher à Rudyard Kipling. Le système colonial prend des formes variées mais il porte en lui de nombreuses contradictions que les nationalistes

fait que l’homme s’est cramponné à un père, à un père cette fois plus puissant. » (l5). L’homme a donc constamment besoin de se sentir inférieur, et porte alors un sentiment ambivalent à l’égard de ce père, celui de la crainte par rapport à sa supériorité et en même temps de l’adoration, car il lui apporte aussi satisfaction au niveau de la réalisation de désirs inconscient, tel qu’un attachement infantile à une figure paternelle.