Sur Quel Quiproquo Amphitryon

du devoir 04 écrit et vice-versa. Objet d’étude : Le théâtre, texte et représentation. Corpus : Texte A : Molière, Amphitryon, Acte I, scène 3, (1668) Texte B : Jean Giraudoux, Amphitryon 38, Acte II, scène 2, (1929) Texte C : Marivaux, Le Jeu de l’Amour et du Hasard, Acte I, scène 7, (1730) Texte D : Racine, Andromaque, Acte V, scène 3, (1668) Texte A : Molière, Amphitryon, Acte I, scène 3 JUPITER Je ne vois rien en vous dont mon feu ne s’augmente : Tout y marque à mes yeux un cœur bien enflammé;

située en Romagne) et mort en 184 av. J.-C à Rome. Les trois pièces : -L’Amphitruo : Jupiter, amoureux d'Alcmène, la séduit en prenant les traits de son mari, le général thébain Amphitryon; Mercure, fils et messager de Jupiter, a pris, lui, les traits de Sosie, l'esclave d'Amphitryon. Il s'ensuit une série de quiproquos, jusqu'au dénouement final où Jupiter avoue sa culpabilité au mari outragé, afin d'innocenter la vertueuse épouse. Enceinte des oeuvres de son mari et de Jupiter, Alcmène accouche

parler à Sylvia et Lisette de s’adresser à Dorante. Les valets déguisés en leur maître parlent d’une façon ridicule pour essayer de leur ressembler, mais ils n’y arrivent pas, « Je brûle, et je crie au feu » dit Arlequin pour déclamer son amour. Ce quiproquo installe tout de même l’illusion théâtrale car les spectateurs ont connaissance de l’action des deux camps et rient donc du double tour qui est joué. Le spectateur devient actif, il ne se demande plus ce qui va se passer mais plutôt comment les personnages

la gestuelle marquée du personnage de Sganarelle que se réservait le comédien Molière, gifle évitée par Pierrot et reçue par Sganarelle acte II, scène 3. - Comique de situation : naît de tout ce qui désordonne la bonne marche de l’intrigue (quiproquos, malentendus, renversements de situation) Exemple : confrontation de Charlotte et Mathurine (acte II, scène 4) - Comique de mot (verbal) : ironie (antiphrase) ; l’esprit (rechercher des formules heureuses), l’humour (moins agressif que l’ironie

Hugo et Musset et le texte Racine et Shakespeare de Stendhal qui définit lesprincipes du romantisme. Les alentours de 1900 Au début du XXème siècle, le théâtre de “boulevard” est ce qui rempli le mieux les salles avec des intrigues légères à quiproquo, dont les auteurs emblématiques sont Feydeau ou Labiche. Le plus grand succès de l’époque est Cyrano de Bergerac, d’Edmond Rostand : une pièce remarquable, mais dépourvue d’originalité ou d’audace théâtrale. Voulant rompre avec ce théâtre, André

l’École des femmes. L’Impromptu de Versailles. Le Mariage forcé. La Princesse d’Élide. Tartuffe. Dom Juan. L’Amour médecin). ŒUVRES COMPLÈTES III (Le Misanthrope. Le Médecin malgré lui. Mélicerte. Pastorale comique. Le Sicilien ou l’Amour peintre. Amphitryon. George Dandin. L’Avare. Monsieur de Pourceaugnac). ŒUVRES COMPLÈTES IV (Les Amants magnifiques. Le Bourgeois gentilhomme. Psyché. Les Fourberies de Scapin. La Comtesse d’Escarbagnas. Les Femmes savantes. Le Malade imaginaire. Poésies). TARTUFFE

bouffonne jusqu'à la psychologie la plus élaborée. Ses principales comédies sont :· Les précieuses ridicules (1659)· L’École des maris (1661)· L’École des femmes (1662)· Dom Juan, l'Amour médecin (1665)· Le Misanthrope, le Médecin malgré lui (1666)· Amphitryon, George Dandin, l'Avare (1668)· Le Tartuffe, Monsieur de Pourceaugnac (1669)· Le Bourgeois gentilhomme (1670)· Les Fourberies de Scapin, la Comtesse d'Escarbagnas (1671)· Les femmes savantes (1672)· Le Malade imaginaire (1673)Molière mourut lors

LAvare Fiche de lecture  : Titre :L’AvareAuteur: Jaen-Batiste POQUELIN dit « Molière » Atmosphère du livre :► L’Avare est une pièce de théâtre, plus précisément une Comédie : En effet, la loi des trois unités est respectée, on retrouve bien -L’unité de temps : la diégèse se s’effectue dans un espace temporel réduit .-L’unité de lieu:Le lieu reste le même tout le long de la diégèse (Maison d’Harpagon)-L’unité

les ministres, invitent Molière à jouer cette pièce chez eux. Le roi Louis XIV assiste à la représentation des « Précieuses ridicules » le 29 juillet 1660 et à celle de « Sganarelle ou le cocu imaginaire » le 31, dont l’histoire tourne autour de quiproquos. Dans cette pièce, Molière joue Sganarelle et en fera 123 représentations dans son théâtre, plus que les autres pièces. « Les Précieuses ridicules » connaîtra seulement 55 représentations jusqu’en 1661. Après avoir remarqué que ses comédies sont

conquérir la respectabilité dramatique, se plie aux normes du modèle tragique — cinq actes en vers —, mais la prose de Dom Juan n’avait nullement, en 1665, rebuté le spectateur. Lassitude du public? Molière vient de donner, cette même année 1668, Amphitryon en janvier et George Dandin en juillet. En tout cas, si un espoir de remontée subsistait pour l’Avare, il fut balayé par le triomphe du Tartuffe enfin autorisé au début de 1669. Les sources de l’Avare étaient trop «classiques» ou apparentes pour