Surhomme

ainsi, par un évident processus d'identification, n'importe quel petit employé de n'importe quelle ville d'Amérique nourrit le secret espoir de voir fleurir un jour, sur les dépouilles de sa personnalité, un surhomme capable de racheter ses années de médiocrité. Umberto Eco, De Superman au surhomme, © Éd. Bernard Grasset, 1993.

d'expression, comme les séries télévisées ou la variété. "Il y découvre le kitsch, les vedettes du petit écran et, plus généralement, certains aspects de la culture populaire". Il évoquera ces sujets dans La Guerre du faux (1985) et De Superman au surhomme (1978). Ses études l'amèneront également à se pencher sur les genres considérés comme mineurs tels que le roman policier ou le roman-feuilleton. Il y "analyse les procédés et les structures, mais également sur certains phénomènes propres à la civilisation

pas faire la liste slt il faut dire que c des valeurs MORALES=argument donc a mettre dans les finalités sociales Doc 3 * Dopage = ethique ou morale * Surhumanite : on recherche un surhomme doit se depasser et gagner donc se depasser physiquement et moralement (citer au bts la theorie du surhomme de Nieztche) * Sport miroir de la societe * Religiosite du sport : apporte valeur morale d’un point de vue individuel mais la en sociologie la religion est culturel * Sacralisation

société) et une version optimiste (quand elles prétendent améliorer l'espèce humaine et réaliser le surhomme, sur le modèle de l'amélioration des races animales domestiques). Leur motivations, avouées ou sous-entendues, sont très diverses. Elles vont de l'économie pure et simple (les individus tarés coûtent cher à la société) jusqu'à l'idéalisme racial, esthétique, ou autre (la fabrication de surhommes, beaux, intelligents, en bonne santé, efficaces, etc), en passant par la charité qui souhaite éviter

d'instituer de nouvelles valeurs dépassant le ressentiment et la volonté de néant qui ont dominé l'histoire de l'Europe sous l'influence du christianisme, par l'affirmation d'un Éternel Retour de la vie et par le dépassement de l'humanité et l'avènement du surhomme. L'exposé de ses idées prend dans l'ensemble une forme aphoristique ou poétique. Peu reconnu de son vivant, son influence a été et demeure importante sur la philosophie contemporaine de tendance continentale, notamment l'existentialisme et la philosophie

adulé par les critiques de la Nouvelle Vague, en particulier Claude Chabrol et Jean-Luc Godard qui l'a sollicité pour jouer son propre rôle dans Le Mépris, il est l'auteur d'une œuvre traversée de nombreux thèmes tels que la vengeance, la mort, le surhomme, la soif de pouvoir et surtout le double, thématique présente dans la quasi-totalité de son œuvre. Il a également signé La Rue rouge et Désirs humains, d'après deux films de Jean Renoir, La Chienne (écrit par Georges de la Fouchardière) et La Bête

· améliorer condition humaine par dépassement limites génétiques / informatique (≠éducation / culture)Un antihumanisme :· Dépasser condition naturelle de l’homme => « l’homme a été un animal, il peut devenir un Dieu » => surhomme (cyborg) · Libération technique / individuelle (≠économique / politique => ≠ Lumières ) · Croisement de 2 prophéties auto-réalisatrices :· Humanisation de la

Selon Freud, les gênes influent, mais pas dans le cas du surhomme. Celui ci est capable de canaliser ses pulsions afin d'avoir plein contrôle de son être pour toujours pouvoir se surpasser. Marx présente donc une forme de déterminisme basée non pas sur les gênes mais sur les conditions sociales, Nietzche présente aussi une forme de déterminisme social créé par la religion et la morale, mais dans ce cas, ce déterminisme ne s'applique par au surhomme qui rejette ces systèmes. 3- Selon la philosophie de

l’ensemble des valeurs anciennes liées à la morale et à la religion. • Le lion correspond au libre plus esprit qui est l’esprit qui ne se soumet à rien. => Ces trois métaphores => l’enfant, l’esprit surhumain, le fondateur de valeurs nouvelles. Le surhomme correspond à : vaillant, puissant, actif, libre et sans scrupule. L’homme du troupeau correspond à : faible, lâche, vertueux, soumis et miséricordieux. Le diagnostic : La religion est la maladie de l’homme faible. Elle renforce et exprime cette

nouvelles dépassant le ressentiment et la volonté de néant qui ont dominé l'histoire de l'Europe sous l'influence du christianisme ; ceci notamment par l'affirmation d'un Éternel Retour de la vie et par le dépassement de l'humanité et l'avènement du surhomme. L'exposé de ses idées prend dans l'ensemble une forme aphoristique ou poétique. Peu reconnu de son vivant, son influence a été et demeure importante sur la philosophie contemporaine de tendance continentale, notamment l'existentialisme et la