Surhomme

prie t-elle un dieu ? 2. v. 678 à 701, 2ème personne du singulier très employée. 3. v. 699 et 701 Phèdre se dévalorise : « odieux amour, venge, punis, délivre, monstre, irrite » et v. 700 Hippolyte est mis en valeur : «  digne héros ». Hippolyte=surhomme, dieu ? Phèdre=monstre ? Phèdre : parle d'elle à la troisième personne du singulier « connais donc Phèdre dans toute sa fureur ». allitération en [f], « Phèdre » et «fureur » se répondent, la fureur de Phèdre est personnifiée. Elle emploie encore

nous appartiennent Nous crions « heil ! » droit vers la figure d'Herr Goebbels Quand Herr Göring dit qu'ils ne nous atteindront jamais Nous crions « heil ! » droit vers la figure d'Herr Göring Ne sommes-nous pas des surhommes, nous la pure race aryenne Ja ! nous sommes des surhommes Notre terre nazie est si belle La quitterions-nous si nous le pouvions ? Ja ! cette terre nazie est belle Nous la quitterions si nous le pouvions Nous remettrons de l'ordre sur la Terre Faire crier Heil ! à la

Prémonition de la Guerre Civile (1936)  Salvador Dalí, Visage de la Guerre (1940)  Pablo Picasso, Guernica (1937)  Pablo Picasso, Le Charnier (1944)  Jean Fautrier, série Les otages (1940-43)  John Heartfield, Adolf le surhomme (1932)  John Heartfield, No Pasaran (1936) L'artiste visionnaire : I'art comme pressentiment et mise en garde.  Kurt Schwitters, Merzbau (commencée en 1923 - détruite en 1937) Merzbau (commencée en 1923 et détruite en 1943) est une

l’épopée qui demeure une œuvre littéraire. Enfin, et surtout, elle incarne l’exemple d’une possible victoire humaine sur des difficultés apparemment insurmontables : sous une forme prestigieuse, dans un passé fascinant avec des héros qui sont des surhommes auxquels les membres de l’auditoire tendent à s’identifier, l’épopée offre à une société donnée un tableau de ses propres problèmes et des solutions qu’on peut y apporter de manière positive ou négative. A cet égard, l’épopée est très proche du

En 1923, il est aretté à cause du Putsch. En 1926, le groupe est refondé. Le premier chef de la jeunesse du reich était Baldur von Schirach. En 1930, elle compte plus de 25000 membres. Les jeunesses hitleriennes etaient formées pour etre des surhommes Aryens et des soldats pour le troisieme reich. L'éducation physique et militaire passe avant l'éducation scientifique et academique. On leur apprenait à se servir d'armes, le développement de la force , la stratégie militaire et une doctrine antisémite

« grandeur plus étonnant », « force gigantesque »... Les dieux sont donc des surhommes, tout droit sorti de l'imagination des hommes. Puis [l.9à13], l'auteur met en avant une évolution de la perception des dieux par les hommes en utilisant l'articulation «  et surtout » : il ajoute que les dieux seraient invincibles et immortels, car « aucune puissance pût facilement en venir à bout » l.10. Ainsi, on passe de surhommes ayant des qualités surhumaines donc, à des êtres qui ne craignent pas la mort

manifestations sportives a l’inverse des USA. Ce n’est qu’en 1952, lors des Jeux Olympiques d’Helsinki qu’ils décident de participer aux jeux. Pour rivaliser avec l’ennemi et affirmer leur suprématie, les sovietiques vont vouloir créerl’Homo Sovieticus, un surhomme, une espéce de sportif par excellence afin de prouver au monde leur suprématie sur le bloc de l’Ouest. Ils vont alors sur-entraîner leurs athlètes dès le plus jeune âge ce qui va déclencher une forte polémique autour de ces derniers, notamment à

la couleur rouge celle du pouvoir, mise en avant par la place au premier plan de Hitler. Il y a aussi plein de symboles croix gammée (= nazisme), aigle (= pouvoir), et la lumière qui avec l' aigle descendant sur Hitler et lui donne l’image d’un surhomme, voire d’un dieu ,que les autres suivent et obéissent Ca cherche à mettre en valeur Hitler, et ça veut provoquer chez le spectateur à la fois la crainte, le respect et l’admiration, Hitler semble au-dessus des hommes, il est le Guide (le Furher

de pierre (présenté pour la première fois en 1665). La légende et la personnalité de Dom Juan furent ensuite modifiées par des auteurs comme lord Byron dans sa satire épique Dom Juan (1819-1824) et George Bernard Shaw dans sa comédie l'Homme et le surhomme (1903). La légende est aussi à l'origine de chefs-d'œuvre musicaux, en particulier le célèbre opéra Don Giovanni (1787) de Mozart sur un livret de Lorenzo da Ponte, et le poème symphonique Dom Juan (1889) de Richard Strauss. Ces deux œuvres font

appartiennent Nous crions « heil ! » droit vers la figure d’Herr Goebbels Quand Herr Göring dit qu’ils ne nous atteindront jamais Nous crions « heil ! » droit vers la figure d’Herr Göring Ne sommes-nous pas des surhommes, nous la pure race aryenne Ja ! nous sommes des surhommes (des surhommes et des supermenteurs) Notre terre nazie est si belle La quitterions-nous si nous le pouvions ? Ja ! cette terre nazie est belle Nous la quitterions si nous le pouvions Nous remettrons de l’ordre sur la Terre Faire