Surmortalité

de 10 ans de fonctionnement. Le coût direct des chutes : entre 55 et 150 millions d’€ par an en Bourgogne En France, les chutes sont à l'origine de plus de 9 000 décès par an chez les plus de 65 ans. Et on observe depuis plusieurs années une surmortalité par chute dans la région par rapport à la moyenne nationale. D'après l'étude des 3 cités, enquête épidémiologique auprès de 10 000 personnes en population générale sur les maladies cérébrales conduite à Dijon, Bordeaux et Montpellier, une personne

des bombardements aériens (ex : 35000 morts à Dresde le 13 février 1945 ; 60000 à Hiroshima et 40000 à Nagasaki), les otages exécutés et les villages entiers massacrés. Aux victimes directes du conflit, il faut encore ajouter les effets d’une surmortalité provoquée par la sous-alimentation (restrictions et rationnement alimentaire) et le retour de maladies comme la tuberculose. Par exemple, en avril 1945, 25000 personnes sont emportées par la famine aux Pays-Bas. 2)Des mouvements de

cumulatifs, aussi bien pour les personnes concernées que pour le parc de logement concerné : * Impayés, endettement progressif, coupures d’énergie * Restriction et privation de chauffage * Problèmes de santé (maladies respiratoires, surmortalité hivernale) * Problèmes de sécurité (chauffage d’appoint) * Repli chez soi, isolement social Les familles en situation de précarité énergétique, avant d’être acculées éventuellement à l’impayé, ont principalement trois types de réactions :

sanitaires et alimentaires : de type épidémies (comme la peste en 2003 et 2004 en Afrique (Congo et Algérie), la grippe aviaire de 2009 puis 2012/2013 aux USA) ou des crises liées à des évènements climatiques comme la canicule de 2003 qui a entraîné une surmortalité des personnes âgées : 19490 en Europe), de type alimentaire (malnutrition ou sous-alimentation)… 2 – Quelle est la différence entre un risque majeur naturel et un risque technologique ? Citer un exemple pour chaque La différence entre un risque

femmes en 2016. 9782340-026568_001-216_EP4.indd 14 18/06/2018 15:5215 Fi ch e 2 • La s an té : dé fin it io ns e t ou ti ls d e m es ur e La France est très bien placée par rapport aux pays développés, mais se distingue par une surmortalité prématurée (avant 65 ans) des hommes (282 pour 100 000) par rapport aux femmes (133 pour 100 000) en 2010 (causes : accidents de la circulation, suicides, pathologies aéro-digestives liées à l’alcool et au tabac), même si la différence se réduit

La sous-alimentation, assez fréquente par exemple en temps de crise, causait également une stérilité temporaire. En revanche la mise en nourrice permettait une fécondité plus forte grâce à la mise en nourrice, même si elle était compensée par la surmortalité infantile impliquant ce même facteur. On constate une lente décrue de la fécondité en France en débit de l'accroissement de la population. Ce dernier a donc pour origine la baisse de la mortalité. Par exemple, à Rouen au XVIIème une famille affichée

11 ans Cycle long : 30 – 40 ans | Extension géographique | Locale, régionale, parfois nationale voire continentale | Continentale, voire mondiale au sein des pays industrialisés | Conséquences directes | Disettes, voire famines et crise de surmortalité Chômage en ville, misère | Hausse du chômage, baisse du PIB, baisse des revenus et de la consommation, hausse du nombre de faillites | Conséquences indirectes | Émeutes rurales et urbaines | Crispation des relations internationales | Théorie

de l’insuffisance cardiaque chronique avec une amélioration de la tolérance à l’effort, mais sans aucun effet sur la survie. De même, une utilisation excessive pour obtenir des valeurs très élevées de transport artériel en oxygène provoquent une surmortalité [29]. Finalement, la dobutamine reste le médicament de la dysfonction systolique aiguë avec une possibilité d’effet bénéfique régional au travers de ses propriétés secondaires. 3.1.3. DOPAMINE Cette catécholamine naturelle, précurseur de la noradrénaline

l’échelle nationale, à 42% de la population. Dans les Hauts-de-France, 20% des jeunes n’ont ni emplois, ni formations, ni études. De plus, ce territoire est confronté à une surmortalité prématurée, d’autant plus grave qu’elle s’installe dans la région la plus jeune de France. En effet, la part des seniors y est peu élevée. Cette surmortalité prématurée est liée à la pénibilité des métiers, à l’obésité, au tabac, à l’alcool et aux conditions de vie plus difficiles, avec davantage d’exposition aux polluants

chromosome X, contrairement à la femme. Cette différence biologique se traduit par l'apparition de maladies présentent quasi exclusivement chez les hommes comme l'hémophilie ou le daltonisme. Ces facteurs génétiques amplifient le phénomène de la « surmortalité masculine » qui est caractérisé par un taux de mortalité infantile supérieur chez les hommes que chez les femmes et cette situation amène aussi des conséquences sur la population car même si il naît moins de filles que de garçons dans le monde