Surnaturel

cette scène ? I. Dom Juan insolant et courageux par rapport à la statue inquiétante (elle ne parle pas mais bouge la tête = surnaturel) - Scène qui se découpe en 3 temps : L’entré du mausolée, la découverte de la statue et l’invitation - Sganarelle qui est la voie de la raison. Dom Juan répond avec insolence et défit avec provocation - La didascalie révèle le surnaturel -Le défit de Dom Juan prend la forme d’une dénonciation de la vanité (superbe) du commandeur. Dom juan est irrespectueux 

A ce stade, les personnages et les situations sont établis dans l’imaginaire de l’auditeur mais, les problèmes posés par ces relations incestueuses ne sont pas résolus. Il va falloir recourir à un médiateur. Un nouveau personnage (animal, être surnaturel ou esprit) est le plus courant des médiateurs dans les contes figurant dans les articles traités. Ce médiateur symbolise la dualité dans l’unité qui va annuler les contradictions. Il appartient au monde des vivants et à celui des morts pour Nycticèbe

Sganarelle marquent l’urgence de la situation -L’étau se referme autour de Don Juan, Sganarelle l’a compris et le presse de changer 2) Un dénouement atypique et ambivalent A. Un dénouement spectaculaire et surnaturel : l’empreinte du baroque Intervention de deux personnages surnaturels : le spectre et la statue « DON JUAN, UN SPECTRE en femme voilée, SGANARELLE » « LA STATUE ? DON JUAN ? SGANARELLE » -Représentation symbolique de Dieu Allégorie : le spectre présent, s’envole représente

les objets. Et puis un jour plus rien ne disparus. Les mois continuèrent de passé puis un matin alors qu’il se promenait il vit une rose se cueillir toute seule, puis elle disparu. Il pensa donc qu’il avait des hallucinations car il ne croyait pas surnaturel mais il fut certain qu’un être invisible vivait au près de lui. Puis un soir il lisait un livre et s’endormis quand il se réveilla il vit une page tournée toute seule alors qu’il n’y avait pas de souffle d’air. Puis il se leva et resta dans la pièce

Sainte-Colombe a apparemment un rôle dramatique, principalement avec son mari, puis nous verrons que le fantôme possède une fonction musicale et créative, apparaissant comme muse de M. de Sainte-Colombe, et enfin, elle possède un rôle mythique et surnaturel. Bien que les apparitions de Mme de Sainte-Colombe est un rôle pictural, révélé par la petite peinture commandé par M. de Sainte-Colombe au peintre Baugin, le fantôme de la femme a également un rôle dramatique. Ce rôle dramatique se joue principalement

car il nous donne une impression, une vision à la fois surnaturelle et réaliste de Chabert. Et l’intérêt de ce passage est là, c’est-à-dire la façon dont Balzac arrive à rendre réaliste le portait d’un homme qui n’est plus qu’un fantôme. Alors comment Balzac s’y prend- il pour construire cette vision à la fois fantastique et réaliste ? Et d’abord en quoi le portrait de Chabert est-il celui d’un homme surnaturel ? « Le spectacle surnaturel que présentait l’ensemble du personnage ». C’est à travers

entourent car nous y sommes habitués.   Pour Montaigne, les "monstres" sont des phénomènes naturels, pour Ambroise Paré, ce sont des phénomènes surnaturels.       La conception de Montaigne est une conception "humaniste", par son affirmation de la primauté des lois naturelles sur les explications surnaturelles et religieuses et son refus du recours au surnaturel, sans évidence vérifiable.   Nous sommes en présence ici d'un exemple de ce que Michel Foucault appelle une "configuration du savoir".  

énonciation qui explique explicitement pourquoi Dj est puni C)Le personnage éponyme meurt -Dimension tragique -Le spectre et la statue appartiennent au merveilleux chrétien -Voc de l'enfer ex:”feu” II°)Le dénoument atypique A) Présence du surnaturel sur scène -le spectre devient l'allégorie de la mort. B) Le comique - le comique est représenté par la présence de Sganarelle qui après la mort de DJ créer un rebondissement comique en réclament ces gages (« mes gages ») ce qui s'oppose

sur le mode ironique : « je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit » (Acte III, scène 1). Il nie l’existence de tout Dieu, d’après Sganarelle, Dom Juan est athée. Dom Juan refuse de croire en Dieu, au surnaturel. De plus, l’attitude de Dom Juan envers le Pauvre (Acte III, scène 2), montre à quel point Dom Juan est libertin. En effet, il demande au Pauvre de jurer son Dieu pour un Louis, c’est-à-dire d’outrager Dieu, de le nier. A l’époque, le blasphème

des hauteurs : l’expression donne le vertige. -L’aspect surnaturel de cette nuit transparaît aussi dans l’expression « des mottes luisantes de nuit » qui peut être considérée comme un oxymore, qui rend la nuit paradoxalement lumineuse. Les sonorités dentales de l’expression et sa position en fin de phrase la mettent en valeur. On trouve aussi plus loin une comparaison métallique, qui donne une matérialité au ciel, également surnaturelle. Transition Il y a bien dans ce texte une fusion extraordinaire