Surpoids

La personne obèse ou en surpoids devrait pratiquer un exercice physique en moyenne 1 heure par jour durant 5 jours. II – Les bienfaits de l’exercice physique sur une personne obèse. Le sport permet de lutter contre l’obésité en diminuant les masses graisseuse et en augmentant la masse musculaire. Il permet également d’améliorer la souplesse des articulations et de lutter ainsi contre l’ankylose (fixation de l’articulation) qui menace les personnes en surpoids. Enfin l’exercice physique

permet de lutter contre l’ostéoporose, prévenir les l’infarctus, favoriser le chute du taux de cholestérol et la baisse de la tension artérielle. En second lieu, afin d’être plus beau, le sport est le moyen le plus efficace pour lutter contre le surpoids et diminuer de la masse graisseuse. Etant donné que plus nous bougeons, plus la masse musculaire augmente, nous pouvons maigrir en faisons du sport. En outre, la pratique d’un sport certes fait maigrir mais elle doit aussi être associé à un régime

personne a un poids correcte on calcule son (IMC)Indice de masse corporel . Pour le calculer on fait: Ce calcul reste à ce jour le seul moyen simple pour estimer la masse grasse d’un individu. Selon la classification de l’OMS, on parle de surpoids lorsque l’IMC est supérieur à 25 et d’obésité lorsqu’il dépasse 30. Chez l’enfant, il faut se référer aux courbes de croissance présentes dans les carnets de santé. L'obésité humaine a été reconnue comme une maladie en 1997 par l'OMS(organisation

personnes depuis 2010. De plus on sait que chaque minute plus de 5 personnes meurent des conséquences de leur obésité ou de leur surpoids. La santé vient – elle en bougeant ? Généralement, les problèmes de surpoids surviennent lorsqu’on consomme plus de calories que ce que l’on en dépense… En France, l'obésité touche 15% de la population adulte, le surpoids, quant à lui, touche 32,3% de la population. Les facteurs de protection contre les maladies cardio-vasculaires, le cancer ou encore

surmortalité à l’âge adulte estimée entre 50 et 80%. Cet excès de mortalité s’explique essentiellement par une augmentation des facteurs de risque tels que le diabète, l’hypertension artérielle et l’excès de cholestérol. Ainsi, 42,5 % des adultes en surpoids ou obèses présentent au moins l’un de ces facteurs de risque contre 18,6% chez les adultes de poids normal. Chez l’enfant obèse, des anomalies telles qu’une augmentation de la pression artérielle, du cholestérol ou une hyperinsulinémie peuvent

population en agissant sur l’un de ses déterminants majeurs : la nutrition. Le programme a été prolongé en 2006 puis en 2011. Plusieurs objectifs initialement fixés ont été partiellement ou totalement atteints, comme la réduction de la prévalence du surpoids et de l’obésité chez l’enfant, la réduction de la consommation de sel ou de sucre, l’augmentation de la consommation de fruits chez les adultes. Pour autant, ces améliorations n’ont pas concerné de façon homogène toutes les composantes de la population

Habitudes de vie et obésité en France Certaines mauvaises habitudes de vie entraînent un surpoids extrême ,c'est ce qu'on appelle l’obésité. En France 6,5 millions de personnes sont considérées comme obèses. En quoi l'obésité est-elle un problème? I-Les facteurs entraînant l'obésité L'obésité est due à l'augmentation de notre masse grasse(ou tissus adipeux).Celle-ci est constituée de petits sacs,appelés adipocytes,qui stockent la graisse. Quand tous les sacs sont pleins,l'organisme

5 kg/m²) était nettement plus important en milieu rural (24,7% chez les femmes et 19,1% chez les hommes) qu'en milieu urbain (respectivement 10,6% et 8,4%). De nouveau, c'est la zone nord du pays qui apparaissait la plus touchée. A l'inverse, le surpoids ou l'obésité se retrouvaient davantage en milieu urbain (12,3% d'IMC > 25 kg/m² pour les femmes et 5,8% pour les hommes) qu'en milieu rural (respectivement 8,0% et 3,2%). Mais il faut souligner que ces derniers chiffres restent modérés comparés à

du diabète de type 2, la plupart des diabétologues s accordent sur un algorithme décisionnel qui repose surtout sur l HbA1c, l indice de masse corporelle et le rapport bénéfice-risque des différents médicaments. Monothérapie Chez les sujets en surpoids, instaurer le traitement si l HbA1c 6, 5% Metformine Effet démontré sur les complications cardiovasculaires. Sulfamide ou Glinide si IMC 27 Kg/m2 Inhibiteur de l alpha-glucosidase en cas d hyperglycémie post-prandiale En cas d échec

généraliste assure le suivi du poids et de l’état de santé de la jeune fille. Dans les cas graves, une hospitalisation est souvent nécessaire si l’indice de masse corporelle est inférieur à 12. Sachant que l’on parle de maigreur en dessous de 18, de surpoids entre 25 et 30, d’obésité au dessus de 30. L’IMC normal est entre 18 et 25. L’entourage familial L’entourage familial peut être bénéfique pour certaines anorexiques. Les parents qui acceptent la maladie, conseillent, dirigent, soutiennent, encouragent