Surprise

tableau : 1 : le combat. 2 : l’expression d’une jalouse rage. 3 : le vainqueur. Chaque tableau est construit de manière identique. Le fil directeur suit l’idée de surprise dans cette fable. Etude de détail : Titre: Les deux Coqs : titre qui n’est pas évocateur. Vers 1: Il n’y a non pas deux protagoniste mais 3 : effet de surprise. Vers qui est fort marqué par la symétrie qui est protidique et syntaxique. On a un double hémistiche. L’équilibre est rompu par la poule, évènement souligné par

de R. sur Julien : lui progresse de la voix vers le regard, le vêtements et le teint ; elle observe sa figure, ses vêtements, les « grands yeux noirs  », les « jolis cheveux » mouillés. * La naissance du sentiment amoureux observée depuis la surprise (« Mme de R. resta interdite ») jusqu’à la joie (« elle se mit à rire, avec toute la gaieté folle d’une jeune fille ») ; de la perte de tous ses moyens (« tressaillit », « frappé du regard », « étonné » (au sens propre : sous un coup de foudre…)

dévorant du nouveau commerce (celui des grands magasins). Dans l’extrait étudié Denise arrive à Paris en compagnie de ses deux frères, Jean et Pépé, et cherchent le magasin de leur oncle Baudu, le Vieil Elbeuf. Au détour d'une rue, ils découvrent avec surprise le Grand Magasin du BDD. Problématique : quelle est la relation particulière qui se noue ici entre Denise et le grand magasin, et entre le lecteur et le roman ? I- La découverte du cadre du roman, annonciateur et révélateur Un incipit

est son épouse. Nicole décide alors de le ramener chez elle, de le soigner et ensemble ils vont parler du passé et notamment de Layla leur fille de cinq ans, disparue il y a cinq ans. Puis place à l’irréel : un coup de téléphone laisse place à la surprise et à l’incompréhension : leur fillette aujourd’hui âgée de dix ans a été retrouvé à l’endroit même où elle avait disparu. Elle est vivante mais plongée dans un profond mutisme. A la joie des retrouvailles succèdent alors les interrogations : où

garçon de la différence de classe sociale * l’éclat du visage " un teint si éblouissant "l.34 et la douceur de l’apparence : indications relativement asexuées qui placent l’attrait de Julien pour Mme de Rênal sous le signe du respect et de la surprise : c’est la première fois qu’une femme si belle lui adresse gentiment la parole : l.33-35. Notons que la précision apportée par l’expression " surtout une femme " souligne avec peut-être une certaine ironie la totale inexpérience de Julien en matière

esprit est perpétuellement victime. Baudelaire utilise quelques procédés qui sont devenus caractéristique de son œuvre. Nous allons en traiter quelques une ici que le critique a abordé également comme l’utilisation de paradoxes, l’effet de surprise et l’utilisation d’image. Le poète est en perpétuelle contradiction ce qui donne un effet surprenant à ses écrits, notamment lorsqu’il est sujet de la beauté. En effet, le Beau physique s’oppose au Laid moral ce qui entretient une certaine esthétique

parallélisme, chiasmes, hyperboles... b) Fond: - Scène d'exposition → intéresser, informer. - Surprises → Agrippine, image de la maîtrise, de l'impératrice est désarçonnée. (Albine la commande !) Néron : plutôt bon empereur. Ambiguïté : Néron est t-il vraiment ce qu'il paraît être ? Acte II, scène 1. (vers 381 à 418) Contenu : Néron annonce, à la grande surprise de Narcisse, son amour pour Junie. Il raconte l'arrivée de celle-ci au palais entourée de gardes

liberté internes du système à l'échelle microscopique (atomes, molécules). La mécanique statistique avait dans ce cas permis de rendre compte de façon satisfaisante des propriétés macroscopiques de ces systèmes à l'équilibre. Ce fut donc une grande surprise lorsqu'on s'aperçut à la fin du XIXe siècle qu'une dynamique d'une grande complexité pouvait résulter d'un système simple possédant un très petit nombre de degrés de liberté1, pourvu qu'il possède cette propriété de sensibilité aux conditions initiales

Bour Chloé 1g2Commentaire de français sur la peste d’Albert CamusCet extrait provient de la Peste, qui est un roman d'Albert Camus qui paraît en 1947, deux ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale en France. Ce roman appartient au cycle dit « de la révolte », en compagnie de l'essai intitulé L'Homme révolté (1951) et de la pièce de théâtre Les Justes (1949). Ce cycle, qui vient après le « cycle de l'absurde » fait voir des personnages conscients de l'existence comme absurdité, et qui se perçoivent

intéressante opposition entre les deux personnages. Le prince de Clèves ne respecte pas les bienséances, notamment en laissant paraître trop visiblement sa réaction face à Mlle de Chartres : “Il fut tellement surpris de sa beauté qu'il ne put cacher sa surprise”. Un homme du monde ne doit pas montrer ainsi ses sentiments, et surtout pas à une jeune femme ! Il aggrave cet irrespect en la regardant trop fixement et trop longtemps, ce que traduit la répétition du verbe : il “la regardait avec admiration”,