Surproduction

et des périodes de dépressions longues d’une durée semblable. Ces périodes sont désignées phase A & B du Kondratiev (Simiand). II) Des premières interprétations à la théorie des crises de surproduction et aux premières analyses du mouvement long. 1° De l’analyse des crises périodiques comme crises de surproduction à l’étude du cycle classique. ♦La naissance de la théorie : de Sismondi à Marx Prolongeant les travaux de Sismondi, Marx sera le premier auteur à produire une théorie du capitalisme productif

marche pouvant affecter les entreprises citées. Le marché est équilibré lorsque les quantités offertes sont égales aux quantités demandées. Mais le marché peut connaître des situations de déséquilibre :les cas de surproduction : l’offre est supérieure à la demande. Ici, la surproduction de pastèques correspond à une offre excessive des producteurs de pastèques sur le marché, ce qui fait chuter les cours ;les cas de pénurie : la demande est alors supérieure à l’offre. C’est le cas du marché des œufs

omniprésent dans notre société de consommation, or il était difficile pour les producteurs de savoir quelle quantité produire donc il y a eu surproduction. Pour régler ce problème, l’Etat a racheté les surplus de production et a instauré une méthode de quotas, c'est-à-dire : fixer des quantités maximum à produire aux producteurs, pour éviter toute surproduction. Autre exemple (document 11) : aux Etats-Unis, le président de la République Barack Obama a lancé une réforme de santé visant à permettre

solutions pour retrouver le profits:-baisse des salaires suppression de postes(baisse de la demande) -baisse des prix= diminution profit =>baisse de la demande Etapes3: Crise de surproduction: baisse des salaires, suppression de poste pour augmenter les profits=baisse de la demande=>nouvelle crise de surproduction. A terme il va y avoir une opposition violente entre les possesseur des moyens des productions et les prolétaires qui ont une conscience de classe(« dictature du prolétariat »=guerre

laquelle on a massivement exporté vers l'Europe, a accéléré cette tendance. La paix revenue, les fermiers américains écoulent de plus en plus difficilement leurs produits. Les prix, donc le revenu agricole, baissent fortement. - Un danger de surproduction industrielle, non par rapport aux besoins (ils sont illimités), mais par rapport aux capacités d'achat sur le marché. Ce danger n'a rien de nouveau dans l'histoire économique. Mais il est plus grave dans un pays produisant massivement des biens

celui-ci. Mais les ouvriers travaillaient plus pour gagner moins. Ils s’appauvrissaient. Ce qui suit la surproduction Dans ce chapitre, P. Lafargue nous démontre que le progrès et l’apparition de la machine n’a pas eu l’effet escompté : Au lieu de remplacé et de diminuer le travail de l’Homme, la machine est rentrée en concurrence avec lui, une concurrence « absurde et meurtrière ». Il y a surproduction, et donc surconsommation de la part de la classe bourgeoise, paresseuse, que l’idée de travaille révulse

réinvesti Il en résulte qu’il ne peut y avoir de crise généralisée de surproduction (entreprise qui n’arriverait pas à écouler sa production) puisque tout ce qui est produit sera re dépensé, tout sera réinjecter. Si on suppose que l’argent n’est pas détenu pour lui-même= HYPOTHESE il ne peut pas y avoir de crise généralisé de sur production. Implication de la loi des débouchés : il ne peut y avoir de crise généralisée de surproduction. Tous les revenus (ce qui est produit : PIB) sont soit consommés

réserve », cet ensemble des d’ouvriers éliminés de la production, réduit au chômage et à la misère. Cette paupérisation croissante de la population salariée réduit les débouchés de la production. Le système entier est alors menacé par des crises de surproduction ! L'appauvrissement durable des travailleurs génère des tensions sociales qui sont encore accrues par les crises économiques qui manifestent une contradiction majeure du mode de production capitaliste : la recherche de profit s'effectue sans se

Crise Dépression =baisse des prix Reprise La 1ere étape correspond souvent à une innovation technologique. La 2emeetape équivaut à une surproduction. La 3eme étape est marquée par les faillites d’entreprises (= chômage) et la 4eme est une nouvelles innovation technologique. Les crises dans les cycles courts ont pour élément déclenchant la surproduction. Ces crises se manifestent au milieu social par une augmentation du chômage et se résorbe par de nouvelles innovations ou une amélioration technique

la spéculation boursière (achat et vente de valeurs mobilières : actions, or, devises… dans le but de réaliser une plus-value) La crise de 1929 est une crise : • financière qui éclate aux Etats-Unis puis en Europe • une crise économique : surproduction, baisse des prix, mévente, faillite, réduction de la production. • le commerce s’effondre • une crise sociale : 30 millions de chômeurs dans les pays capitalistes. La crise s’étend à l’ensemble du monde capitaliste jusqu’aux pays fournisseurs