Surproduction

rajoute les exportations cela fait près de 11.4 millions d’hectolitres qui restent en stock. Cette surproduction n’est pas conjoncturelle mais structurelle, elle tient du fait que l’offre est inadaptée à la demande. L’augmentation de la demande en vin dans les années 50 avaient suscité le développement de la production mais aujourd’hui la demande diminue plus vite que la production d’où une surproduction chronique. Cette baisse de la consommation affecte surtout en premier lieu les vins de table et

la reproduction du capital se trouve réduite au minimum (…) Les achats et les ventes se bloquent mutuellement, et le capital inoccupé prend la forme d’argent sans emploi ». La baisse des prix générée par la surproduction, entraine un blocage de l’investissement, ce qui généralise la surproduction étant donné que l’épargne n’est plus réinvestie. Le mode de production capitaliste, en effet a pour finalité d’extraire de la force de travail des salariés un « surtravail » que s’approprient les détenteurs

graphique suivant : [pic] Comparer les informations suivantes avec le doc p. 14 N° 1 et p. 15 N° 4. 1830 : Diffusion de la 1ère révolution industrielle en Europe : textile, métallurgie, chemin de fer (machine à vapeur) 1873 : crise de surproduction en Autriche, Allemagne, France => crise boursière. Se résout par les mécanismes du marché. 1896 : Diffusion de la 2ème révolution industrielle : pétrole, électricité, automobile, aviation 1929 : crise de 1929, n’est surmontée que par une

une croissance économique soutenue. C – Les États-unis. a – les gouvernements républicains successifs : entre libéralisme et interventionnisme. b – une répartition des revenus déséquilibrée : vers une grave crise de surproduction. IV – De la crise à la guerre. 1 – Les années 1930 dans les pays capitalistes industrialisés. A – Les Etats-unis. a – une récession très sévère. b – une première réponse libérale. c – le New Deal du président

prix, leur fixation autoritaire par les pouvoirs publics, constituent toujours une aberration économique. Si le prix est fixé à un niveau trop élevé, la surproduction est inévitable ; c'est par exemple le cas de nombreux produits agricoles, à l'intérieur du marché commun, pour lesquels il existe des prix garantis qui favorisent une surproduction et créent les excédents que l'on connaît. Un raisonnement identique peut être appliqué au marché du travail, où un salaire minimum trop élevé est créateur

commune mesure avec l’évolution de la production industrielle. Le jour où la confiance disparaît et que chacun veut vendre ses actions, leur cours chute brutalement… et la crise est déclenchée. Q 3 : La baisse des prix est une conséquence de la surproduction: pour vendre et écouler les stocks, on est acculé à baisser les prix. Le chef d’entreprise répercute alors cette baisse de revenue sur les salaires. Or des salaires réduits accentuent encore la baisse de la demande. Q 4 : Voir commentaire du doc

→ Bulle spéculative → La plupart de cette spéculation a été faite à crédit par des petites banques, qui empruntent à des plus grosses banques et ainsi de suite.→ Fin des 1920’s, la bourse monte, mais la santé de l’économie n’était pas bonne → surproduction → bulle spéculative → crise financière (Black Friday 24/10/1929) → Dès 1927, les entreprises vendaient moins et les dividendes baissaient→ Perte de confiance de la part des ménages et surtout des banques → 1er crack : 13M d’actions vendues → 2eme

avec « la loi des débouchés » selon laquelle l’offre crée sa propre demande. Cette loi des débouchés signifie que la production génère des revenus et ces revenus permettent d’assurer des débouchés pour cette production. Dès lors, les crises de surproduction sont impossibles. 3. Les théories du libre échange La conception mercantiliste faisait du commerce international un jeu à somme nulle dans lequel les gains des uns sont la contrepartie des pertes des autres. Les classiques vont promouvoir

(mauvaises récoltes, guerres, famines…) Toutefois, ayant atteint un rythme de production effroyable, le système alla bientôt connaître une crise de surproduction sans précédent. La fameuse bulle spéculative qui explosa en 1929 en témoigne. Cette crise fut liée à la surévaluation des titres boursiers, à un abus de crédit et bien sûr à une surproduction, les gens n’étant plus en mesure d’assumer la quantité de biens produite (créant une accumulation). Les nations étant interdépendante économiquement

franc succès dans sa démarche. Il existe d’après la théorie initiale sept catégories de gaspillages différentes : surproduction, temps d’attentes, transports ou manutentions inutiles, tâches inutiles, stocks, mouvements inutiles et productions défectueuses. Naturellement il ne faut pas oublier le travail à réaliser en amont de l’entreprise. Pour lutter contre la surproduction l’entreprise va adopter une production en flux tirés, autrement dit nous aurons un pilotage par l’aval et non plus