Surproduction

n’est qu’un voile qui facilite les échanges. Bien entendu, Keynes critiquera ceci en montrant qu’une partie du revenu peut être épargnée et que la monnaie peut servir à autre chose ! Selon les classiques, pourquoi existe-t-il des crises de surproduction ? Car les mécanismes naturels du marché rencontrent parfois des obstacles (de la part de l’état qui réglemente par exemple les salaires, qui taxe……). Donc l’état ne doit remplir que ses fonctions régaliennes (police, justice et armée) : c’est

aujourd’hui par le conflit entre la liberté de l’économie et la protection sociale. B- Une contagion de la crise sur tous les secteurs relatifs à l’économie Pour aller plus loin dans les causes de la crise de 1929, on peut parler de la surproduction, du désordre monétaire et du déclin agricole, c'est-à-dire du changement net de la société. Avant la guerre de 1914, l’Europe ravitaille le monde mais suite à cette guerre, l’Europe a perdu de la puissance et doit se reconstruire. Alors

Et il semble s’en dégager deux caractères majeurs : le rôle révolutionnaire de la bourgeoisie et son désir inaltérable d’accumulation et de surproduction ; Marx évoque même une « épidémie de la surproduction». Ces deux caractères propres à la bourgeoisie sont toutefois intimement liés : c’est en effet cette envie, ce besoin d’accumulation, de surproduction, de richesse qui entraînerait une révolution des moyens de production, et ceci grâce à la bourgeoisie. Les progrès techniques, les avancées en

entre les normes édictées. L'inflation réglementaire est par ailleurs indissociable de l'inflation législative dénoncée depuis une trentaine d'années, et l'idée d'inflation, empruntée au vocabulaire économique, traduit bien l'idée à la fois d'une surproduction de normes, et à une perte de leur valeur. La cohérence constitutionnelle est aujourd'hui sacrifiée au nom de l'efficacité normative (I) qui, répondant aux impératifs d'une société en constante évolution, conduit à une dispersion de l'autorité

une tendance à la diminutioné Crise de surproduction : les nouvelles machines achetées permettent aux capitalistes de produire en grande quantité ; cependant, ils compressent au maximum les salaires pour empêcher la diminution de son taux de profit ; parallèlement, le remplacement des ouvriers par des machines a entraîné une montée du chômage ; l’ensemble d’ouvriers aura moins de moyens pour acheter ; le capitalisme rentre ainsi dans une crise de surproduction

automobile, mais aussi dans la production d’acier et de textile. La spécificité de ces crises réside dans leur rupture avec les crises du XIXème siècle. Si celles-ci sont des crises de sous-production, les crises de 1929 et de 1973 sont des crises de surproduction. On passe de crises agricoles (de subsistance) à des crises industrielles (de consommation). Ainsi ces crises sont d’un type nouveau. La crise économique engendre la crise sociale et se propage dans l’ensemble de la société. Le graphique B montre

déverse en France et constitue une grande concurrence.--> coalition protectionniste (de jules Méline) pour protéger l’agriculture française du commerce mondial. En 1897 : loi cadenas : augmentation des droits sur la viande et les céréales si surproduction En 1910 : barème des douanes plus élevés période favorable aux paysans car la demande agricole augmente MAIS le protectionnisme ne compense pas la crise a cause de l’archaïsme des machines + crise accentuée par la maladie de la vigne, concurrence…

personnel on aboutit alors au niveau collectif à la prospérité général. Le même débat chez les sociologues entre individualisme méthodologique et holisme. Jean-Baptiste SAY : dans un système éco libéral il ne peut pas y avoir de crise général de surproduction car dès qu’il y a production il y a distribution d’un montant de revenu égal à la valeur de la production. Ce revenu va servir à acheter la production. CONCLUSION : Les classiques sont les premiers économistes qui vont susciter un réel enthousiasme

demande réelle par rapport à la demande effective crée des crises de surproduction. o L'équilibre n'est pas spontané. L'équilibre est imparfait en cas de sous-emploi. Rôle de régulation de l'État. Une politique de déficit peut créer de la croissance. De taux d'intérêt bas favorisent l'investissement. o Ici le facteur déterminant est la demande Pour les Néo-classiques : o Toute offre crée sa propre demande. Les crises de surproduction sont impossibles en cas de concurrence pure et parfaite. o L'économie

occidentaux comme les États-Unis à baisser considérablement leurs importations de denrées. Comme l’on peut le voir sur la photographie du document 2, les pays d’Amérique Latine ne vendent plus assez et accumulent leur production. De fait, cette surproduction entraîne une baisse générale des prix, ici du café brésilien, et ruine sur le long terme les producteurs et agriculteurs. Nous pouvons observer une opposition entre la photographie et l’affiche publicitaire qui marque en quelque sorte un décalage