Surproduction

une forte industrialisation due à des innovations majeures (électricité, moteur à explosion et progrès dans le domaine de la physique) et d’autre part par la modernisation des entreprises américaines (Taylorisme et Fordisme). Ceci entrainant une surproduction et une spéculation boursière, deux facteurs principaux du krach boursier du 24 et 29 octobre 1929. La faillite bancaire, comme un véritable château de carte, provoque le retrait des investissements qui à son tour provoque l’effondrement des productions

aux classiques apparaît de prime abord dans les fondements théoriques de sa pensée. La première polémique concerne le problème d’accumulation du capital. Pour Sismondi, la séparation entre propriété et travail conduit à une « crise générale de surproduction ». En effet, la hausse des revenus des capitalistes tandis que ceux des ouvriers restent au strict minimum entraîne une hausse de la demande d’objets de luxe au détriment des anciennes industries. On aura donc des licenciements, une sous consommation

faillite de nombreux producteurs et raffineurs. La Standard Oil de Rockfeller en profita pour absorber la plupart des sociétés de ce domaine d’activité. Dans ce domaine, Le modèle de concurrence changea en monopole. Cette crise est donc une crise de surproduction. Elle a fait passer le système économique de libre échange au protectionnisme. Elle a permis le développement de grandes entreprises nationales et de nouvelles organisations du travail comme le taylorisme ou le fordisme. On peut considérer que

généralement associées à un recul de la production. Sa loi des débouchés n’était pas une négation des crises de surproduction localisées (celles-ci sont inhérente au nouveau système capitaliste qui est structuré autour d’une production industrielle de masse). En revanche, Say réfutait totalement l’idée d’une crise de surproduction généralisée. Pour Say, une crise de surproduction dans un secteur particulier (ex : les chaussures) est nécessairement compensée par une crise de sous production dans

|Exemple | |ASC : 1896-1920 |(dépression : 1882,1890,1900,1907,1913 | | | |DESC :1873-1896 | | |Explication | |innovation technologiques |Surproduction | | | |variation de la masse |Sous consommation | | | |monétaire | | Problèmes et limites

l'accumulation du capital, un manque de liquidités (monnaie) va apparaître en même temps qu'une surproduction relative de marchandises et de moyens de production. Ces marchandises ne se vendant pas (par manque de liquidités du client potentiel), les investisseurs ne peuvent récupérer leur argent, des sociétés font faillites ainsi que des banques, et nous avons la crise classique dite de surproduction (que Braudel appelle crise du crédit). L'économie entrait en récession accompagnée d'un inévitable

longtemps. Cela nous rend influençable et peut créer un cancer du foie si il y a un abus. L'homme à créé des " fautes " qui se répercutent sur le présent. Alimentation: depuis le 20ème siècle, l'alimentation des humains s'est détériorée pour cause la surproduction ( les animaux sont engraissés et aussi l'utilisation de produits chimiques, les ), la mal nutrition. Les ondes : les ondes des scanners qui servent à détecter les cancers, les ondes téléphonique, les centrales électriques, les micro ondes, les

l'agriculture et la guerre ont conduit à une production supérieure aux besoins. Une fois la paix établit, les fermiers vendent difficilement leurs produits. Les prix baissent fortement et par conséquent le salaire des agriculteurs aussi. - Une surproduction industrielle par rapport aux capacités d'achat sur le marché se met en place. En effet , le pays produit des biens industriels qui ne sont pas indispensables (voitures, radios...).  Les salaires diminuent, la misère s'installe et beaucoup de personne

déséquilibres partiels sont possibles, et ils sont régulé sur les marchés où ils lieu. Mais globalement, il n’y a pas de risque de surproduction, parce que l’offre générer un revenu qui est toujours dépensé : - soit en consommation - soit en investissement Toutefois, dés les origines de la science économique, certains auteurs ont émis des doutes sur l’impossibilité de la surproduction généralisée. Par exemple T. R. Malthus envisage la possibilité d’une insuffisance de la demande globale. D’ailleurs, c’est

PIB III. Les analyses de la crise de 1929 Une analyse de la crise de 29 assez contrasté selon les économiste, très longtemps lié ç une surproduction, après une insuffisance de la demande, puis problème monétaire. C’et finalement la thèse monétaire qui a le plis de crédit. * La thèse de la surproduction Pour les marxiste, descendant de Ricardo. La crise de 29 était un peu la preuve que l’hypothèse de l’effondrement du Capitalisme était fondée. Insuffisance de la