Surveillance électronique

16 056 en détention provisoire, 7 005 parmi ces 72 142 qui sont en surveillance électronique avec aménagement de peine. Il y’a 651 mineurs détenus avec seulement 30% dans des établissements pour mineurs. Les criminels les plus nombreux ont entre 18 et 50 ans. Il y’a 2 263 femmes incarcéré et 18% des personnes sont des étrangers. Le milieu carcéral a évolué notamment vers le milieu ouvert (permission de sortie, bracelet électronique). La caractéristique de la criminalité des auteurs est qu’ils sont

filière en sortant car il y a plein de drogues et d’informations liées au trafic en milieu carcéral. Certains diront qu’ils peuvent être dangereux, cependant il existe d’autres punitions que la prison où ils restent encadrés tels que le bracelet électronique et différentes formes de libertés conditionnelles. Ensuite, l’établissement de ces nouveaux centres coûte énormément à l’Etat ce qui creuse encore plus notre dette nationale (qui n’est déjà pas négligeable) or si nous ne voulons pas finir comme

existent, la violence contre les femmes continue malgré tout. Alors il est évident que l’article que j’ai choisi me plaît beaucoup, parce que certains ont enfin aperçu l’importance et le degré de ce problème. Toutefois à mon avis le port du bracelet électronique pour les conjoints violents n’est pas la seule solution pour arrêter la violence domestique. Tout d’abord, il faut apporter un éclairage sur cette problématique très large afin de saisir l’ampleur du phénomène, en analyser les causes profondes

d’incarcérés et on remédierait à la surpopulation carcérale. Il ne s’agit pas de relâcher tout le monde, ni de fermer les tribunaux. Mais au contraire, appliquer une répression effective : favoriser les peines de substitution, la probation, le bracelet électronique, remplacer la prison par des amendes dans les cas les moins graves etc. Il suffit de réserver la prison aux récidivistes. De plus, il est démontré que les sanctions alternatives sont moins nocives que les courtes peines. En effet, elles coupent

un acte en faveur du mariage gai. Toujours chez Chanel, le « mini-sac de cheville pour bracelet électronique de remise en conditionnelle » est signe que la marque française plaide en faveur de la mise en conditionnelle. Il faut dire que depuis l’on compte parmi leurs clients des starlettes du nom de lindsay lohan ou encore Paris Hilton qui ont toutes deux été condamnées à porter un bracelet électronique. D’autre part, véhiculer son opinion à travers la mode n’est pas sans conséquence. Cela peut

Examen final sous surveillance D’une durée de trois heures, l’examen final sous surveillance permet de vérifier votre maîtrise de l’ensemble des concepts abordés dans le cours, mais également les habiletés développées dans ce cours. Il représente 40 % de votre note finale et couvre toute la matière étudiée. Il est composé de trois parties distinctes : cinq questions de type vrai/faux; deux questions à développement (au choix parmi trois) sur la matière abordée dans le cours; une analyse de

l Un homme âgé de vingt-huit ans dont on ignore encore l'identité a été interpellé à Marseille et conduit au commissariat de la ville phocéenne. Il s'agit d'un Belge d'origine camerounaise qui portait un bracelet électronique lorsqu'il a été arrêté. Connu de la justice, il avait déjà été écroué pour avoir commis des actes de violence sur des fonctionnaires de... police ! Mais, dans le cas qui nous occupe, ce n'est pas pour cela que les gendarmes français le cherchaient. Il est accusé par

récidive, maintenir ou restaurer les liens familiaux, sociaux et de travail. En 2009, 50 000 personnes ont eu accès à un aménagement de peines. Pourtant les solutions alternatives existantes aujourd'hui comme la liberté conditionnelle ou le bracelet électronique comportent des avantages mais également des inconvénients. Le gouvernement français précise également que ces solutions font augmenter le nombre de récidives. Les objectifs des peines alternatives sont principalement de limiter les effets désocialisant

| 2010-2011 | | Master 2 Droit pénal et sciences criminelles Anne-lise Ourmières | [La surveillance judiciaire des personnes dangereuses] | Droit de l’application des peines Introduction :La question de la prévention de la récidive est devenue un enjeu majeur de politique pénale. Cela explique donc la multiplication des rapports sur ce thème et l’intitulé de plusieurs lois récentes. Il est vrai que la récidive « est perçue, et encore plus pensée, comme un échec du système pénal ». De

les nombreux acteurs et partenaires, nous avons fait le choix de rencontrer un CIP à Rennes, le directeur de la maison d’arrêt de Saint Brieuc, un juge d’application des peines du tribunal de Saint-Brieuc, un ancien détenu ayant porté un bracelet électronique en chantier d’insertion à Guingamp, une ASS au CHRS de la Maison de l’Argoat à Guingamp. Il nous a semblé pertinent de nous entretenir avec ces différents acteurs du fait de notre sujet et notre problématique, ainsi il nous paraissait essentiel