Suzeraineté

de la ratification ou de l’adhésion que, par leur acceptation de la présente Convention, elles n’entendent assumer aucune obligation en ce qui concerne l’ensemble ou toute partie de leurs colonies, protectorats ou territoires placés sous leur suzeraineté ou mandat; dans ce cas, la présente Convention ne sera pas applicable aux territoires faisant l’objet de pareille déclaration. Les Hautes Parties contractantes pourront à tout moment dans la suite notifier au Secrétaire général de la Société des

idées, parfois à portée plus symbolique que pratique, mais qui contribuent toutes à promouvoir le principe que la pyramide féodo -vassalique ne peut qu’avoir le roi à sa tête. Quatre idées clés sont mises en évidence : la mouvance, le Couronne, le suzeraineté de la royauté et l’adage « la vassal de mon vassal n’est pas mon vassal ». Ces théories, conjuguées les unes aux autres, permettront au roi de remettre au pas sa mouvance : les grands qui rentreront progressivement dans sa vassalité seront insérés

idées, parfois à portée plus symbolique que pratique, mais qui contribuent toutes à promouvoir le principe que la pyramide féodo -vassalique ne peut qu’avoir le roi à sa tête. Quatre idées clés sont mises en évidence : la mouvance, le Couronne, le suzeraineté de la royauté et l’adage « la vassal de mon vassal n’est pas mon vassal ». Ces théories, conjuguées les unes aux autres, permettront au roi de remettre au pas sa mouvance : les grands qui rentreront progressivement dans sa vassalité seront insérés

au nord et au sud du Tarim étaient les étapes naturelles de la route des caravanes qui allait mettre en communication l’empire chinois et le monde gréco -romain. Dès 108 avant J.-C. nous voyons les lieutenants de l’empereur Wou -ti imposer la suzeraineté chinoise à deux des principales oasis de cette région, celle du Lobnor et celle de Tourfan. En 102 un des capitaines chinois, Li Kouang-li, dans une marche d’une audace inouïe, poussa avec plus de soixante mille hommes jusqu’au seuil de l’actuel

de faire exécuter Halil mais doit quitter le pouvoir après cette insurrection. Un autre problème s'installe, en 1731, sur la situation déjà mauvaise de l'Empire Ottoman, celui du Caucase. Les Russes puis les Perses, en viennent en réclamer la suzeraineté. D'un côté, les Russes se disent légitimes de ces territoires car habités par d'anciens Cosaques ; de l'autre, les Perses les réclament car ayant autrefois été sous leur domination. En effet, estimant que la plus grande population cosaque habitant

propres états. - Au niveau de l’Empire Les ducs de Bourgogne après avoir rassemblé les principautés de l’Empire dans les Pays-Bas. Philippe le Bon, et puis Charles le Téméraire projetèrent d’arracher définitivement ces principautés à la suzeraineté impériale et de les ériger en un royaume indépendant. Mais toutes leurs tentatives furent vaines, elles échouèrent toutes (1454, 1460, 1463, 1473). En effet, l’empereur craignait la puissance de ce nouvel Etat, de plus les princes allemands se

lensemble de cette socit fodale. On tend se reprsenter cette configuration comme une sorte de pyramide constitue de degrs successifs. En termes de vocabulaire, le lien seigneur suprieur est appel suzerain. Suzerainet et souverainet ont lorigine la mme signification, et cest lvolution de ces suzerainets qui va mener la souverainet. Dans le premier ge fodal les choses ne fonctionnent pas ainsi (Xme XIme sicles), les liens se rompent souvent. 1- Les principes de fonctionnement Ce qui empche essentiellement

s’y trouvera pour le contrecarrer, le freiner, le gêner, le dérouter. Christopher décide aussi d’être autosuffisant. Il cherche ainsi à se déprendre de toute adhésion : il sera un maître sans sujet, ou mieux il sera maître et sujet, car une suzeraineté implique une dépendance ce qu’il exclut radicalement. Se passer de l’autre est son défi ultime. Chez lui, la confusion est patente entre autonomie et indépendance. Dans son esprit, liberté comme autonomie ne se conçoivent que comme opposables

l’hommage lige vaut pour le seigneur qui reçoit l’intégralité des services du vassal. Seulement là encore les hommages liges se multiplient et le système du statut préférentiel du seigneur lige est vidé de tout son sens. CHAPITRE 4 : DE LA SUZERAINETE A LA SOUVERAINETE Les rois ont réussi à tirer profit des ressources de l’effervescence intellectuelle résultant de la renaissance du droit romain et de la montée en puissance du droit canonique. Section 1 : La reconstruction des principautés

montrer qu'il est libre de la loi, alors il faut qu'il soit libre au grand conseil plus entraver par le grand conseil, pour exercer pleinement sont pouvoir il doit avoir la plénitudo potestatis, c'est par cette charnière que s’opère le passage de la suzeraineté a la souveraineté B- les théorie dite absolutiste c'est après la reconquête de Charles VII et la réforme proteste qu'elle va se développer dans les théorie ce qui demeurai un limite au pouvoir du roi c'est le respect du a l'église , le respect