Sybille Rembard

qui l’ont nourri Sybille Rembard En attendant Au bord de l’étang de l’incertitude en espérant que le rêve éclose la respiration berce l’attente manège d’un mouvement perpétuel* barbare bal musette* rythmé par l’instant présent seule réalité permettant de poursuivre jusqu’aux demains ivres d’illusions jusqu’au crépuscule de l’impatience réitérant le carrousel sempiternel mouvement en devenir mécanique logique d’un arrêt inexistant horloge de l’humanité. Sybille Rembard

de jouir de tes mains, chaleur enivrante Ma peau est là encore aujourd’hui, demain, qui sait, elle ne sera point Cuirasse, bouclier ou coquelicot sauvage Pétales à cueillir cet instant Chair sublime Engrenage de reproduction humaine Sybille Rembard, Beauté fractionnée, 2002 A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d’une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet; Agile et noble

conservée dans un écrin brindille d’un parcours de vie couleur de sa jeunesse étourdie de plaisirs partagés de dialogues révélateurs de conquêtes le temps est élastique il passe et il revient immuable à la pureté des gens qui l’ont nourri Sybille Rembard, 2012  Empoisonné J’ai vu la Croix par dessus la Lune merveilleux soir de brume j’avais vingt ans passés Mille cornes plantées Mille crevasses brunes et faisceaux éclatants Mille pas gravés sur terre et parfums enivrants J’ai vu l’homme

différents, de sources différentes tout en restant dans le thème de la mort. J’aborde plusieurs grands poètes du 19éme siècles comme : Victor Hugo ; Arthur Rimbaud ; Charles Baudelaire ; Pierre Corneille ; Paul Verlaine ; Leconte De Lisle et Sybille Rembard. Il n’est donc pas étonnant que le thème de la mort soit un grand sujet d’époque car ce siècle est celui du romantisme. « Remords Posthume » Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Au fond d'un monument construit en

poème parle d'un voyage en bateau qui à pour but de fuir la vie dans laquelle le personnage se trouvait avant son départ et qui est à présent oublié tous ses problèmes. Le troisième, lui se nomme « Théâtre humain … déchu » et fut écrit par Sybille Rembard, née à Turin en Italie le 21 juin 1966. Elle à écrit se poème dans production poétique qui va être plutôt marquée par les aléas de la vie, sources inépuisables d’inspiration. Et dans ce poème c'est le voyage maritime de l'auteur qui tente de découvrir

dichotomie de notre amour, fusionne nos étincelles. Crois-tu pouvoir survivre ? Moi, je sais ! Je marche à la dérive dans un désert en décomposition avec cette seule pensée un jour tu ne seras plus. Et je serai Dépariée. Sybille Rembard, 2009 Résumé : Dans ce poème, Sybille parle d’une personne (peut-être un ami) qui va-peut-être mourir en disant «  la vie sans toi sera néantisée ». Artémis La Treizième revient… C’est encor la première; Et c’est toujours la seule, ou c’est le seul moment;

solution, celle qui les delivrerait de leurs peines. Cependant le sujet de la mort reste vague et ne s'applique pas uniquement aux etre humains, mais bien a tous les êtres vivants, tel que les animaux par exemple, on peut le voir dans le poème de Sybille Rembard, « châtiment d'un chat renversé » ou elle y explique la mort tragique d'un animal. Cela peut paraître futil, cependant, il est vrai que meme lors des films, notre peine se porte plus aisement sur la mort des animaux que celle des hommes puisque

écrit et au moment ou vous allez lire cette préface, et heureusement des poètes n’oublie pas les gens qui souffrent et elles ont écrient des poètes pour ces personnes. Les poèmes sont « Le Jeu » d’Esther Granek (2009) et « Exécution » de Sibylle Rembard (2010). J’ai choisi de ranger les poèmes de mon anthologie de façon chronologique pour vous permettre de mieux voir de développement de la poésie engagée : au début peu présente à cause des gouvernements puis lorsque la république est mise en

côté des étoiles. Sous l’astre de l’été je revis notre amour : colonne ivre du temple de l’éternité Les saisons se succèdent Et moi je crois encore aux feux d’artifices. Sybille Rembard (1966- )

l’a conservée dans un écrin brindille d’un parcours de vie couleur de sa jeunesse étourdie de plaisirs partagés de dialogues révélateurs de conquêtes le temps est élastique il passe et il revient immuable à la pureté des gens qui l’ont nourri Sybille Rembard, 2012