Syllabe

vers du poème doit comporter 12 syllabes. Le « e » muet : Un « e » muet en fin de vers ne compte pas pour une syllabe. Un « e » muet à la fin d un mot, suivi d’un mot commençant par une voyelle ne compte pas. Un « e » muet dans un mot (exemple : « m'entretienne ») ou à la fin d’un mot, suivi d’un mot commençant par une consonne compte pour une syllabe ( « où sommes-nous »). Lecture des hiatus : Il y a un hiatus quand deux voyelles sont dans la même syllabe (ex : « ciel », « affection» )

définis par le nombre de leurs syllabes comme l’alexandrin français. Les poètes français introduisent dans la deuxième moitié du XIXe siècle le vers libre puis le verset, et en remettant aussi en cause les conventions classiques de la rime. La versification : est attachée au nombre des syllabes. dans les vers. Il y a aussi la versification rythmique, qui dépend de la place des syllabes accentuées ou atones dans les vers. Le caduc : Il compte toujours comme syllabe, quand il est placé entre deux

qu’est la correspondance graphie-phonie au CP. D’autre part j’imagine ce rituel par une approche ludique de la langue, par le biais de comptines relatives à chaque phonème. Les comptines peuvent en effet favoriser l’acquisition de la conscience des syllabes et phonèmes, ou la renforcer en cours de CP, et servent de supports à des activités de manipulation linguistique. Je débuterai donc cette séance par une phase de découverte et la lecture à la classe de la comptine suivante : Un gai grillon anglais

lieux réels et imaginaires y sont mêlés. L’odyssée d’un genre de registre épique est un long poème en hexamètre dactyliques jouant sur l’alternance de syllabe long et brève non pas sur les effets de rime et les nombre de syllabe. Mais il y a difficultés de traduction par rapport à l’oralité et la dimension poétique du texte. De 11 à 14 syllabes alternant rime croisé et embrassés en restant au plus près du texte homérique. Cette traduction ne se lit pas seulement, elle doit s’entendre et puisse

est semblable. Il ne s'agit que d'une simple assonance (ex. ami / pari). - Rimes suffisantes : la consonne précédant la voyelle accentuée est la même dans les deux mots (ex. bannir / finir). - Rimes riches ou très riches : présence de plusieurs syllabes identiques de son et d'articulation (trois sonorités ou plus : ex. vaillant / travaillant). Pour valoriser la richesse des rimes, à partir du XVIIe siècle, certains choix sont proscrits. - Les mots de même catégorie grammaticale (ex. calmement

comme le nombre et la répétition de vers, une certaine alternance des rimes, l'apparition de certains mots (ex : ballade, rondeau, sonnet). Les poèmes à forme libre : Dans ce type de poème, on ne retrouve plus une forme particulière ou un nombre de syllabes par vers défini, il n’obéit pas aux règles. Le vers est défini par le retour à la ligne. Cependant, les jeux de sonorités et de rythme sont essentiels. Les poèmes en prose : Le poème en prose ne présente pas de retour à la ligne permettant d'identifier

 LES VERS Nombres de syllabes 12 syllabes : alexandrin 10 syllabes : décasyllabe 8 syllabes : octosyllabes 6 syllabes : l’hexasyllabes Le son de la rime La rime est pauvre lorsque il n’y a qu’un seul élément vocalique commun Suffisante lorsqu’il y a 2 élément vocalique en commun Riche lorsqu’il y a 3 élément vocalique en commun La rime a un genre définie une final : La rime féminine se termine par un E muet, les rimes

L’unité du vers Vers parasyllabiques : vers comportant un nombre pair de syllabes → hexasyllabe (6 syllabes), octosyllable (8 syllabes), décasyllable (10 syllabes), alexandrin (12 syllabes car la vie d'Alexandre le Grand a été racontée par des vers de 12 pieds) Vers imparasyllabiques : vers comportant un nombre impair de syllabes → pentasyllabe (5 syllabes), heptasyllabe (7 syllabes), ennéasyllabe (9 syllabes) *Vers à 3 syllabes est très rarement utilisé → « La pauvre fleur disait au papillon céleste :

L’unité du vers Vers parasyllabiques : vers comportant un nombre pair de syllabes → hexasyllabe (6 syllabes), octosyllable (8 syllabes), décasyllable (10 syllabes), alexandrin (12 syllabes car la vie d'Alexandre le Grand a été racontée par des vers de 12 pieds) Vers imparasyllabiques : vers comportant un nombre impair de syllabes → pentasyllabe (5 syllabes), heptasyllabe (7 syllabes), ennéasyllabe (9 syllabes) *Vers à 3 syllabes est très rarement utilisé → « La pauvre fleur disait au papillon céleste :

Formes Poétiques Les Vers Le décompte des syllabes : Le début d’un vers est indiqué par une majuscule, et la fin par un retour à la ligne. En français, la nature du vers tient à son nombre de syllabes. Toutes les syllabes prononcées comptent. Le e muet est élidé (non prononcé) devant une voyelle, et ne compte jamais à la fin d’un vers. Quand deux voyelles se suivent, chacune d’elles peut être prononcée distinctement : on compte alors deux syllabes, c’est une diérèse. Si au contraire les deux