Symbolique Du Crâne

Conséquences physiques Hypotonie musculaire, qui cause le retard de l’acquisition de la position assise et en marche. Hyper laxité ligamentaire, ce qui donne une trop grande souplesse des articulations d’où le retard dans l’apprentissage des mouvements. Crâne plus petit que chez les enfants normaux Visage arrondi qui donne l’effet qu’il est aplati et asiatique. Nez court avec la racine plus large. Cou court Lèvres épaisses Oreilles plus petites que la normale. Langue craquelée et volumineuse, ce pourquoi

fantastique dans le texte. De plus, on observe dans les premiers paragraphes du texte de nombreuses descriptions longues et monotones, qui cherchent à produire une atmosphère lourde et pesante. On se doit de remarquer la forte présence de la symbolique des couleurs tout au long du texte. On constate par exemple une présence insistante du blanc ,que ce soit pour décrire la couleur du ciel à la ligne 4 ou les cheveux de neige du père de Bertram ligne 36. Le blanc peut représenter la vertu –c’est

par la pauvreté de la descrip° La descrip° est celle d’un officier de santé toujours sans aucune poésie -il recherche des signes de santé l.21 « ses pommettes étaient roses » -il emploie un voc anatomique l.16 « la courbe du crâne », l.19 « tempes » = Il observe sans chercher a comprendre / approfondir La médiocrité de Ch. est prouvée par son attitude inadaptée Ses gestes maladroits, excessifs l.36.67 « Ch. par galanterie se précipite » et Emma se

que SON maître est le Marquis de Carabas. Impressionné par la richesse qu'on lui montre, le roi fait du jeune homme son gendre. Choix d'édition : LE CHAT BOTTÉ - Ill. par CHARLOTTE Roederer - Nathan - 2014 TROIS CONTES MERVEILLEUX - Ill. par Walter Crane - MeMo (éditions) - 2013 LE CHAT BOTTÉ - Ill. par Raphaël Gauthey - Milan - 2013 LE CHAT BOTTÉ - Ill. par Chiara Arsego - Marmaille et Compagnie - 2013 LE CHAT BOTTÉ - Ill. par Nicolas Duffaut - Albin Michel Jeunesse - 2012 LE CHAT BOTTÉ - Ill

se précipite vers Hamm et lui en assène un grand coup sur le crâne » (page 99). Nous pouvons faire une remarque sur les noms des personnages, Hamm vient du mot «hammer» qui veut dire marteau en allemand, et Clov qui fait allusion au clou. Nous comprenons donc ici la relation maître-valet. Mais pour cette scène nous pouvons imaginer que le chien serait un marteau et frapperait le clou qui cette fois serait Hamm. Ce geste est symbolique au moment de l’œuvre. Et pour provoquer Clov, Hamm lui dit: «Si

présence d’un crâne ; la mort de l’homme matériel. Puis un 4 miroir pour lui renvoyer sa propre image, ou comme les symbolistes disent, qui permet à l’être de visiter son inconscient. Les anciens égyptiens1 le désignaient comme un ouvreur de visage, celui qui révèle la face. Une cruche d’eau et un peu de pain pour seule nourriture. Et puis trois coupelles contenant respectivement su sel, du mercure et du soufre. Sur les murs noirs en couleur argentée, une faux entrecroisée avec un crâne, un coq

retranchement, mon introspection. Là, un coq réveilla en moi le souvenir du levée du jour, « la lumière ». Il me fit penser à une effigie sur un étendard hindou, caractérisant le jour contre les ténèbres et notamment le symbole de la la vigilance. Un crane prenait place, n’est-il point le symbole de la mort et de la force ? Malgré ma faim, je n’osai prendre ce pain, repas primitif qui permet de se nourrir, de faire fonctionner son esprit. Le pain est le symbole de la connaissance pour le franc maçon

Guerre mondiale d'où le nom du tableau. Il dresse un portrait à la fois cru et réaliste mais aussi rempli de symbolique dont il a été témoin. Il dénonce la barbarie et l’absurdité de la guerre et ne nous épargne rien de ce qu’est réellement le combat : la souffrance, la solitude, la saleté et l’horreur. « La mort, c’est laid et la guerre encore plus », aura-t-il dit. DIAPO 9/10/11 : Le crâne 1924 : une gravure qui dérange. Assaut sous les gaz 1924 : gravure exposée musée historique allemand à Berlin

poétique de réécriture de l’oralité traditionnelle et des images archaïsantes1 Lilian Pestre de Almeida Emerentia 17132, de Corinna Bille (1912-1979), ce récit apparem- ment si limpide, pose plusieurs problèmes de lecture du point de vue symbolique. C’est une nouvelle souvent analysée dans des cours de littératures francophones ou mise en scène dans des adaptations théâtrales en Suisse. Les critiques emploient soit le modèle bachelar- dien, soit la problématique féministe. Et l’on retrouve

causes de souffrance, il mentionne les conséquences physiques précises et les symptômes de ces souffrances, avec parfois l’évolution des malaises : la chaleur provoque un « étouffement » qui « à la longue devenait mortel » ; la lampe « chauff(e) le crâne » et « brûl(e) le sang » ; l’humidité « couvr(e) » les mineurs « de sueur » ; les « gaz […] pesaient sur les yeux »… Plus loin, c’est un « halètement », un « grognement » qui sont le symptôme de la « gêne » et de la « fatigue ». On croirait entendre