Symbolisme des sons

comparative Correspondance – La vie antérieure Le 19éme siècle marque la littérature française par le renouveau de la poésie, grasse à l’arrivée d’un nouveau mouvement littéraire, une association entre le Romantisme et le réalisme, c'est-à-dire le Symbolisme. De nombreux auteurs adoptent de ce style d’écriture, Arthur Rimbaud ou Paul Verlaine, mais surtout Charles Baudelaire, un écrivain considéré comme l’un des poètes faisant partie de la génération des « poètes maudits ». Il apport la fin d’un esthétique

le lecteur. L'état de cette souffrance est quelque chose de récurent. Quelque chose de récurent dans la souffrance présent d’habitude et participe présent. Assonance en i / en allitération en l/ n / S / le fait de répéter souvent les même sons colle à l'idée de récurrence. On essaye de faire partager sa souffrance au lecteur. On provoque une musique qui accentue le mal être. Un crescendo se fait tout au long du texte. Deuxième temps avec le deuxième quatrain. L’espérance est personnifié

la beauté des goujats », « la prière s’exhale en pleurs des ordures », « cauchemar plein de choses inconnues ». On comprend mieux dès lors « une charogne » ou les poèmes horrifiants de Baudelaire. B. Une poétique des correspondances : vers le symbolisme On l’a vu pour Baudelaire, l’artiste est un déchiffreur qui donne accès à des mondes inconnus (strophe sur Léonard = le mystère). Baudelaire est en quête d’un langage résumant tout. Le quatrain sur Delacroix rend compte de cette recherche puisqu’il

premier en le précisant...  Quatrain construit sur deux comparaisons imbriquées. « Comme de longs échos qui de loin se confondent » Sonorités : échos dans les sons " KDL : qui de loin ", " comme de la… ". Assonances nasales en " on ". Dernier vers, noyau du poème, il résume les synesthésies des sens.  " Les parfums, les couleurs et les sons se répondent ".  C'est un vers particulièrement travaillé au niveau syntaxique, avec l'énumération de 3 sujets participant à la même action. Trois sens sont

premier en le précisant... Quatrain construit sur deux comparaisons imbriquées. « Comme de longs échos qui de loin se confondent » Sonorités : échos dans les sons " KDL : qui de loin ", " comme de la… ". Assonances nasales en " on ". Dernier vers, noyau du poème, il résume les synesthésies des sens. " Les parfums, les couleurs et les sons se répondent ". C'est un vers particulièrement travaillé au niveau syntaxique, avec l'énumération de 3 sujets participant à la même action. Trois sens sont évoqués

les sonorités et les rythmes. II Type de rimes: rime féminine terminée par un « e » muet, rime masculine se termine sur un autre son que le « e » muet. Rime pauvre → un seul son commun (phonème) ; rime suffisante → 2 sons communs; rime riche → au moins 3 sons identiques. Disposition des rimes : ABAB → rime croisée ; ABBA → rimes embrassées III Le rythme : la coupe la plus importante se situe au milieu d'un vers et porte le nom de cesure : elle sépare les vers supérieurs

et L. Michard, Les Grands auteurs français, Paris, Bordas, 1966 J.-B. Barionan, Catulle Mendès, rapporteur du parnasse, in Magazine Littéraire, no 482, 2009 T. Bayle, Panorama littéraire, in Magazine Littéraire, no 348, 1996 Le symbolisme : Le symbolisme est un mouvement littéraire et artistique apparu en France et en Belgique vers 1866, en réaction au naturalisme et au mouvement parnassien. Le mot est proposé par Jean Moréas, qui utilise ici l'étymologie du mot "symbole" (« jeter ensemble »)

la chance de franchir le pas de la pure spéculation intellectuelle à la compréhension interne. Cette compréhension intérieure est assimilable à une sensation et s’est produite la nuit après un travail conséquent sur du symbolisme. Cela a fonctionné de façon identique sur le symbolisme alchimique. Nous savons que la clef de l’alchimie interne est la sensation, de même le symbole se trouve par la sensation. Il existe même parfois au cours de ce type de travail la sensation du " MAIS OUI ! C’EST CA ! "

mais pour l’instant il sont malhonnête et représente le mal 3/- Le symbolisme : mouvement littéraire de la fin du XIXème siècle qui mit l'accent sur les valeurs suggestives du langage, seules aptes à déchiffrer l'univers considéré comme le "symbole d'un autre Baudelaire). Monde" ("l'homme intérieur est le ciel sous sa petite forme et le ciel est un grand homme" - Correspondance étroite entre l'homme et l'univers. Le symbolisme est une opposition au monde matériel => suprématie de la sensibilité

extraordinaires Le contexte culturel et sociale Epoque de bouillonnements et experimentations / heureuse et féconde collaboration entre arts / décadence (« un mélange d’esprit charnel et de chair triste » de Verlaine) Le contexte litteraire Symbolisme: - inquiétude métaphysique - existence de correspondances secrètes dans l’univers - Déchiffrage des correspondances Recherche d’un idéal sensoriel La biographie de l’auteur Adolescent genial et révolté / remarqué par