Syndicalisme de lutte

Dissertation de Ressources Humaines Tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale et adhérer au syndicat de son choix. [Préambule de la Constitution du 27 octobre1946]. Les années 1880 ont marqué la naissance du syndicalisme en Europe. En France, c'est la loi Waldeck-Rousseau du 21 mars 1884 qui a autorisé la création de syndicats, en effet les organisations ouvrières et les corporations de métier sont interdites par la loi Le Chapelier promulguée le 14 juin 1791.

mœurs et coutumes partagés par une population : les choix d'organisation sociale, des valeurs et normes. Lorsqu’elle est bloquée, elle tombe dans l’isolement de l’individu, la prédominance des activités formelles, l’isolement de chaque strate, la lutte des strates entre elles pour leurs privilèges. En effet, vu sa rigidité, elle ne peut pas s’adapter facilement aux évolutions de son environnement. Il résiste et ne peut pas opérer le changement qu’à travers les crises alternant des longues périodes

importantes dont jouissent les compagnies étrangères dans leur province. Duplessis usera de lois, telle la loi du cadenas (Loi qui autorise la police à cadenasser et à interdire l'accès à tout édifice utilisé à des fins communistes) pour contrer le syndicalisme, qu'il considère comme du communisme. Il ira même jusqu’à user de la police provinciale pour contrer les grévistes. Les prochaines lignes traiteront des 4 grandes grèves les plus marquantes que je vous ai énoncé précédemment durant la période de

de la société industrielle au 19 ème siècle est à l’origine d’un clivage entre les entrepreneurs (les nobles) et les ouvriers ( les prolétaires) dans le monde du travail . Cette opposition a été sujet de conflit sociaux entre les deux classes. La lutte des salariés à la fois syndicale et politique a entrainé le gain en droit, en revenu , en sécurité … Ainsi , ces conflits ont permis des mutations sociales et ont modifiés la situation de travailleurs . Cependant, une catégorie de la classe ouvrière

donc démissionner. Il s'est soumis et s'est démis comme l'avait dit Gambetta. Jules Grévy arrive à la tête de la présidence. Il va exprimer sa conception de son rôle pour témoigner de son retrait de la vie politique. « je n'entrerai jamais en lutte contre la volonté nationale » Il jette l'interprétation dualiste de Mac Mahon. Pour lui, le président doit se soumettre à la volonté nationale. → S'en ai fini de la double responsabilité des ministres devant le président et devant l'assemblée.

(Beveridge, 1945) Marx prévoyait la polarisation de la société. Le XX° aura au contraire vu l’apparition d’une vaste classe moyenne. 2) Les grands conflits du XX° : - Classe ouvrière était très ORGANISEE (syndicats) ( lutte contre organisation totale du système ( conflit de classe. Outil privilégié : GREVE GENERALE ( solidarité. - 1936 : Elections du Front Populaire (1° gvt de gauche) ( GREVES pcq désir de chgmt ( Mesures très importantes en faveur des ouvriers

travailleurs et travailleuses en améliorant les diverses branches de leur milieu. Nous allons nous focaliser sur les points économiques, politiques et sociaux. En premier lieu, ce volet de la synthèse va se concentrer sur l’aspect économique du syndicalisme. De ce fait, il faut parler du salaire et de son évolution à travers le temps selon l’époque. Au début des années 1900, le salaire annuel était, au Québec, de moins de 300 dollars par an comparativement à, par exemple, l’Ontario qui versait 700

militant Le militantisme désigne l’ensemble des pratiques par lesquelles des individus s’engagent pour la défense d’une cause, donnent de leur temps et éventuellement prennent des risques. Le domaine d’engagement peut concerner la politique, le syndicalisme ou encore l’associatif. Le but du militantisme étant de parvenir à une transformation économique, idéologique ou sociale. A l’origine, les personnes qui combattaient armées pour défendre leurs idées et leurs convictions étaient des militants. Ce

1895,le syndicalisme révolutionnaire va peu à peu apparaître marquant un tournant important du mouvement ouvrier. Parmi ces syndicaliste on trouve le militant anarchiste Emile Pouget qui fait parti de ce que l’on appellera à partir de 1922 des anarchosyndicaliste. Né en 1860, Emile Pouget, profondément marqué par le procès des Communard de Narbonne, s’est très tôt investie dans le mouvement ouvrier. Dès 1889, il devient l’auteur du père Peinard dans lequel il dénonce l’illusion de la lutte politique

survie de la famille dépend du travail de toute la famille, femme et enfants compris. Les conditions d’existence des ouvriers au XIXe siècle sont déplorables et la vie ouvrière consiste en une lutte constante contre la sous-alimentation, la misère et pour la conservation de sa force de travail (lutte contre la maladie, le chômage et l’accident). Les logements ouvriers sont souvent des taudis petits et mal aérés, où les épidémies font des ravages (choléra, tuberculose, forte mortalité infantile)