Syndicalisme Et Socialisme

pour son livre sur les partis politiques qui décrit la loi d'airain de l'oligarchie. Robert Michels fut un élève de Max Weber. Il s'installa en Italie, à Turin, où il continua de militer au sein du parti socialiste. Il fut proche des idées du syndicalisme révolutionnaire et fut en contact avec Georges Sorel et Hubert Lagardelle. Dans les années 1910, il évolua vers la droite et finit par adhérer au fascisme. Michels, Robert (1876-1936), sociologue italien d'origine allemande, l'un des fondateurs

boulangismes, celui conservateur des campagnes et social des villes. Mouvement polymorphe , qui évolue d'une manière assez ambigues selon la vision de son maitre Boulanger. 1 ) radical orthodoxe 2) repudiant de la rep jacobine 3) fait preuve d'un socialisme intransigeant cette ambiguité de direction qui rend instable ce mouvement : Ainsi on peut remarquer certaines divisions entre boulangistes: boulanger s'eloigne des sources et du comité central banquet de tours: 17 mars 89 veut

fondé sur la propriété privée des capitaux et des moyens de production et sur la recherche du profit. L’Etat doit avoir un rôle modeste pour favoriser l’initiative individuelle Partisans du socialisme réformiste : dénonciation des conditions de vie et de travail difficiles des ouvriers / apparition des syndicalismes : doctrines prônant l’association des travailleurs afin de défendre leurs intérêts communs (liberté syndicale en 1884) - 2 B. Une croissance qui connaît des variations dans le temps

du monde ouvrier lui-même. Des textes importants sont votés dès le second empire (droit de grève de 1864) et surtout sous la 3ème république (législation des syndicats en 1884) avant les grandes lois sociales de 1936. 4. Socialisme, anarchisme, syndicalisme : une remise en question de l’organisation sociale. A. Les thèses socialistes et anarchistes Le libéralisme a ses limites observables dès la 1ère révolution industrielle. A partir des années 1830, on constate

Zeppelin allemand 1902 radiotéléphone Valdemar Poulsen et Reginald Aubrey Fessenden danois et américain 1903 avion Wilbur et Orville Wright américains C) Lutte des classes, syndicats, socialisme, marxisme. • Ces rudes conditions de vie et de travail expliquent le développement du syndicalisme : - il débute en Angleterre - il veut faire voter des lois pour protéger femmes et enfants (âge minimum, heures réduites, pas dans les mines) - toutes les grèves étaient illégales d’où des violences

désengagement de l'Etat, les libertés politiques. • le socialisme avec les internationales socialistes et les partis socialistes • pour ou contre l'Etat : marxisme (fondateur des idées communiste), anarchisme, totalitarisme • Le syndicalisme : révolutionnaire ou réformiste • Les partis politiques • Réformisme symbolisé par le paternalisme, les politiques sociales comme en Allemagne avec Bismarck, le catholicisme social. • Socialisme : doctrines et mouvements hostiles au capitalisme qui

Marché), restent l'exception. Les couches les plus défavorisées du monde ouvrier, notamment les immigrés et les femmes, sont sans cesse menacées par le chômage. Un sentiment dominant de précarité et d'exclusion sociale explique l'audience du syndicalisme révolutionnaire de la CGT, fondée en 1895. III. La consolidation de la république Après des décennies de révolutions, de tentatives de restaurations monarchiques et d’agitation violentes, la France républicaine fait figure d’exception dans

69 74 Leçon 1 Leçon 2 Leçon 3 Leçon 4 Leçon 5 Leçon 6 Leçon 7 Leçon 8 Leçon 9 Leçon 10 Les découvertes scientifiques et les mutations économiques. Le développement du capitalisme et les mutations sociales. Les doctrines sociales : syndicalisme et socialisme. Les missions et les explorations. Les rivalités coloniales : La conférence de Berlin et ses conséquences. Les résistances : formes, exemples, bilan. Les systèmes coloniaux (exemples français et britannique). L’impérialisme japonais. L’impérialisme

CATHOLIQUE : Le pape Léon XII promulgue l’encyclique rerum novarum (les choses nouvelles) sur la question sociale. Cela s’oppose au CAPITALISME LIBERALE, contre socialiste hâté. On encourage le syndicalisme sociale, le catholisme et condamne les patrons qui versent des salaires insuffisants. 2) Le socialisme Karl Marx prône la révolution du prolétariat afin de ne plus avoir de classes sociales (= rêve utopique) Obj : liberté, égalité et la fin de l’exploitation de l’homme par l’homme 1848 :

Italie du nord, dans une famille bourgeoise, s’intéresse très tôt au socialisme puis à l’anarchisme. A vingt ans il émigre à New York où il exerce toutes sortes de métiers. C’est un militant syndicaliste actif et influent. Comme en Europe, les années 1919-1920 sont difficiles aux États-Unis : il faut reconvertir l'économie de guerre et faire face à l'inflation. La fin du dirigisme étatique mis en place en 1917 et la montée du syndicalisme provoquent de nombreuses grèves dans tout le pays. En 1919, on